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128 résultats pour « réussite »



NI SIES 22.13 - Profil, parcours et réussite des néo-bacheliers en première année du premier cycle d’études de santé
SIES A2.1
À partir de la rentrée 2020, la première année commune aux études de santé (PACES) a été remplacée par deux nouvelles voies d’accès : le parcours d’accès spécifique santé (PASS) et la licence accès santé (L.AS). À cette date, 34 800 bacheliers 2020 sont inscrits en première année d’études de santé, des effectifs en hausse de 2 % par rapport à l’année précédente. Près des trois quarts d’entre eux choisissent le parcours PASS. Un an après, en lien avec la mise en place du numerus apertus (encadré 1), le nombre de néobacheliers admis en deuxième année de santé a bondi de 33%, passant de 6 500 pour la promotion précédente à 8 400. Le taux de passage en 1 an des néobacheliers progresse de 6 points, pour atteindre 25 % pour cette première promotion issue de la réforme. Dans l’ensemble, les débuts de parcours des néobacheliers sont plus linéaires avec davantage de réussite en 1 an, des redoublements limités et un accès facilité en deuxième année de licence pour les étudiants non admis en deuxième année d’études de santé : à la rentrée 2021, 19% sont inscrits en deuxième année de licence, dont plus de la moitié en L.AS. En revanche, cette première année de mise en œuvre de la réforme n’a pas permis une diversification des profils des admis en deuxième année, malgré une ouverture à d’autres types de candidats, notamment en L.AS.
E&F 104 - Éducation & formations - Varia
Ce volume d’Éducation & formation est un varia, c’est-à-dire un recueil d'articles variés.

Co-publié par la DEPP et le SIES, il est constitué de contributions portant sur l’enseignement supérieur, sur les compétences des élèves ou des jeunes, sur les pratiques enseignantes dans l’apprentissage de la lecture, sur les jeunes décrocheurs scolarisés en micro-lycée, sur le taux d’emploi des anciens apprentis ou encore sur les effets de la séparation parentale sur la réussite scolaire des enfants.

Par la parution des deux premiers articles de ce numéro, consacrés à deux exemples de filières sélectives de l’enseignement supérieur, nous poursuivons et achevons la valorisation des analyses réalisées dans le cadre de l’appel à projets de recherche, piloté et financé conjointement par la DEPP et le SIES.
NI SIES 21.03 - Parcours des étudiants suivant un aménagement loi ORE
SIES A2.1
La loi ORE votée le 8 mars 2018 a pour objectif d'améliorer l'orientation et la réussite des étudiants. Dans ce cadre, les nouveaux bacheliers entrant en licence, notamment, peuvent bénéficier d'une individualisation de leur parcours afin d'améliorer leurs résultats en première année post bac. À la rentrée 2019, 25 600 étudiants en première année de licence générale suivent un aménagement de parcours, soit une hausse de près de 11 000 étudiants en un an. Ce sont 9,3 % des néo?bacheliers de licence qui suivent un aménagement de parcours (+ 3,7 points en un an). Les universités sont de plus en plus nombreuses à les mettre en place, passant de 46 à 62. Les étudiants concernés ont pour la plupart reçu comme proposition d'acceptation une réponse conditionnée « oui si » sur la plateforme Parcoursup. Ils ont très rarement obtenu une mention au baccalauréat et ont souvent accumulé un retard scolaire, facteurs statistiquement moins favorables à la réussite. Si 45 % des néo-bacheliers inscrits en première année de licence en 2018 sont passés en L2 en 2019, c'est le cas d'environ 30 % des nouveaux bacheliers inscrits avec un aménagement pédagogique. Parmi les étudiants bénéficiant d'un aménagement de durée de la licence, 25 % ont acquis le nombre d'E.C.T.S. attendus, dont 5 % sont passés en L2. Parmi ceux qui n'ont pas atteint l'objectif fixé pour cette première année, 62 % sont réinscrits en L1.
NI SIES 20.16 - Réussite et assiduité en première année de licence : impact de la loi ORE, nouveaux indicateurs
SIES A2.1
Pour l'année 2018-2019, le taux de passage en 2e année de licence des néo-bacheliers est de 45,4%. Après quelques années de stabilité, autour de 40%, ce taux a augmenté de 4,4 points entre 2016 et 2018. Cette hausse semble imputable à deux effets, liés à la loi ORE : un changement de structure de la population en 1re année de licence et le bénéfice des accompagnements pédagogiques à l'égard des entrants à l'université. Une mesure de la réussite par l'obtention d'au moins 60 ECTS conduit à des résultats semblables : 43,5% des néo-bacheliers ont acquis 60 ECTS ou plus à l'issue d'une 1re année universitaire en 2018-2019, pour 39, % en 2016-2017. Le taux de passage en 2e année peut être examiné en prenant en compte l'assiduité des étudiants, mesurée, a minima, par la présence de l'étudiant à au moins un examen dans l'année, ou, avec un critère plus exigeant, par la présence de l'étudiant à au moins un examen de chaque UE où il est inscrit. La moitié des néo-bacheliers ne répond pas à ce dernier critère ; cependant, 28% d'entre eux sont admis et inscrits en 2e année à la rentrée suivante. On peut calculer un taux de passage limité aux néo?bacheliers respectant le critère minimal d'assiduité, soit 90% de ceux inscrits en L1 : il atteint 50,3%, soit 4,9 points de plus que pour l'ensemble des néo?bacheliers.
NI DEPP 13.14 - Résultats provisoires du baccalauréat 2013
DEPP B1
À résultats en baisse, porte la part d’une génération obtenant le baccalaréat à 77,5 % contre la session de juin 2012, avec 84,5 % d’admis en France métropolitaine et dans les DOM hors Mayotte, le taux de réussite global au baccalauréat présente une légère baisse (- 1,1 pt) par rapport à la session 2011. Les taux de réussite au baccalauréat général et au baccalauréat technologique augmentent respectivement de 1,4 et de 1 point tandis que celui du baccalauréat professionnel est en baisse de 5,6 points en 2012.

Le taux de réussite au baccalauréat s’établit à 89,6 % dans la voie générale, 83,4 % dans la voie technologique et 78,2 % dans la voie professionnelle. L’année 2012 a encore connu une forte progression du nombre des candidats au baccalauréat professionnel (+ 28 %) qui, malgré des 71,6 % l’an dernier. À la session de juin 2013, avec 86,8 % d’admis, le taux de réussite global au baccalauréat en France est en hausse (2,4 points) par rapport à la session 2012.

Les taux de réussite au baccalauréat général et au baccalauréat technologique augmentent respectivement de 2,4 et de 3,3 points. Les résultats du baccalauréat professionnel se stabilisent en 2013 (+ 0,5 point) après trois ans de forte baisse. Le taux de réussite au baccalauréat s’établit à 91,9 % dans la voie générale, 86,4 % dans la voie technologique et 78,6 % dans la voie professionnelle.

La réforme de la voie professionnelle étant achevée, le nombre des candidats au baccalauréat professionnel baisse de 17 % en 2013 (- 40 300) ce qui réduit la part d’une génération obtenant ce baccalauréat à 19,9 % contre 23,6 % l’an dernier. Au total, la part des bacheliers 2013 dans une génération est ramenée à 73,1 % contre 76,4 % en 2012.
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°4
SIES A2.4,SIES A2.2,SIES A2.1,SETTAR C1,SETTAR,OVE,HCERES-OST,DGRH A1-1,DGESIP,DEPP B1,DEPP A3,DEPP A2,DEPP A1,Céreq
L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche 2010 permet de faire le bilan annuel chiffré du système d’enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme. Financement, ressources humaines, accès au supérieur, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 35 fiches de la 4e édition (2010) de cet ouvrage.
Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche