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MENESR-DGESIP/DGRI-SIES

Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Direction générale de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle
Direction générale de la recherche et de l'innovation
Service de la coordination des stratégies de l'enseignement supérieur et de la recherche
Sous-direction des systèmes d'information et des études statistiques - SIES

1 rue Descartes, 75231 Paris Cédex 05

Les pages mobilisant cette source :

À la rentrée 2013, le nombre d’étudiants aidés s’établit à plus de 660 000, soit environ 35 % des étudiants inscrits dans une formation ouvrant droit à bourse. Au total, l’aide financière et sociale en leur faveur atteint quasiment 6 milliards d’euros (Md€) en 2013, contre 3,5 Md€ en 1995. [lire la suite]

En 2013, on compte 2 430 100 étudiants, 8 fois plus qu’en 1960. Aujourd’hui, un peu plus de six étudiants sur dix sont inscrits à l’université. Mais ces 10 dernières années, c’est l’enseignement supérieur privé qui a concentré l’essentiel de ce dynamisme. Il représente, en 2013, près de 18 % des effectifs d’étudiants. [lire la suite]

Environ 75 % des bacheliers 2013 s’inscrivent immédiatement dans l’enseignement supérieur (hors alternance). Plus de la moitié des bacheliers généraux s’inscrivent à l’université mais c’est près de 7 points de moins qu’en 2000. Près d’un bachelier technologique sur deux s’inscrit dans une filière professionnelle courte. Les bacheliers professionnels, dont les effectifs ont considérablement augmenté avec la réforme de la voie professionnelle, sont de plus en plus nombreux à s’inscrire dans l’enseignement supérieur. [lire la suite]

À la rentrée 2013, les bacheliers généraux représentent 79,2 % des nouveaux bacheliers inscrits en université. Leur part dans les entrants en IUT a crû de 3,5 points depuis 2004 et atteint 67,5 % en 2013, mais elle régresse par rapport à 2012. Les STS recrutent encore principalement des bacheliers technologiques, mais leur part diminue à mesure que celle des bacheliers professionnels augmente. [lire la suite]

Avec 2 430 100 étudiants inscrits à la rentrée 2013, les effectifs de l’enseignement supérieur augmentent sensiblement (+ 1,8 %). Ils n’ont jamais été aussi nombreux. Cette hausse s’explique par une plus forte attractivité de l’enseignement supérieur, alors même que les jeunes en âge d’étudier sont moins nombreux. Les jeunes femmes sont majoritaires parmi les étudiants comme parmi les diplômés. [lire la suite]

Dans l’enseignement supérieur français, 295 100 étudiants sont de nationalité étrangère, soit un sur huit. En dix ans, les étrangers ont contribué à près d’un tiers (29 %) de la croissance des effectifs. Les trois quarts des étudiants étrangers étudient à l’université. Ils sont proportionnellement plus nombreux dans les cursus Master (18 %) et Doctorat (41 %) qu’en Licence (11 %). [lire la suite]

La 5ème année suivant leur baccalauréat, 72 % des étudiants entrés par la filière STS et 89 % des étudiants entrés par la filière IUT sont diplômés de l’enseignement supérieur, dont respectivement 22 % et 52 % détiennent un diplôme de niveau bac + 3. Huit bacheliers sur dix entrés en classe préparatoire scientifique ou commerciale sont inscrits au terme de deux ou trois ans dans une école menant à un diplôme de niveau bac + 5. En revanche, près de la moitié des étudiants initialement inscrits en classe littéraire ont rejoint l’université, même si leurs débouchés vers les écoles augmentent. [lire la suite]

Les étudiants entrés en première année de Licence en 2009 obtiennent un peu moins souvent la Licence en trois ans que ceux entrés en 2005 (- 1,7 point). La réussite en 3 ou 4 ans, en revanche, reste stable, à près de 40 %. En Master, 47 % des étudiants obtiennent leur diplôme en deux ans et 57 % en trois ans, ce qui représente une hausse de huit points en quatre ans. [lire la suite]

À la rentrée 2013, 18 200 étudiants des universités, STS et CPGE publics se déclarent handicapés et bénéficient d’un accompagnement. Une forte majorité d’entre eux (90 %) sont inscrits à l’université. Leur nombre a doublé en 5 ans. Ils bénéficient d’aides plus nombreuses, diverses et mieux connues qui leur permettent de ne pas rester à l’écart du mouvement général d’allongement des études. Néanmoins, ils se concentrent en Licence et leur présence décline au fil des cursus. [lire la suite]

Les femmes, plus nombreuses que les hommes dans l’enseignement supérieur (55 %), s’inscrivent moins souvent dans les filières sélectives ou scientifiques et sont minoritaires en Doctorat. Leur taux de chômage en 2013, trois ans après leur sortie, est identique à celui des hommes, mais leurs conditions d’emploi sont moins favorables. [lire la suite]

Multipliée par 2 depuis 1982, la dépense intérieure de recherche et développement représente 2,23 % du PIB en 2012, soit 46,5 milliards d’euros. À elles seules, les entreprises exécutent 65 % des dépenses de R&D et financent 59 % de la dépense nationale de R&D. [lire la suite]

En 2012, la moitié de la dépense intérieure de R&D des entreprises se concentre au bénéfice de six des 32 branches d'activités bénéficiaires de travaux de R&D (Automobile, Aéronautique, Pharmacie, Activités informatiques et service d’information, Activités spécialisées, scientifiques et techniques et Chimie). Dans le secteur public, les organismes de recherche (EPST, EPIC) exécutent 55 % de la dépense intérieure de R&D des administrations. [lire la suite]

En 2012, les PME représentent 86 % des entreprises ayant réalisé des activités de R&D en France. Elles effectuent 16 % des dépenses intérieures de R&D des entreprises (DIRDE), dont la moitié en faveur des activités de services. Les grandes entreprises, à l’origine de 59 % de la DIRDE, réalisent les trois-quarts de leur effort dans les industries de haute et moyenne-haute technologie. [lire la suite]

En 2012, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) des principaux organismes publics de recherche s’élève à 9,1 milliards d’euros (Md€), en baisse de 1,1 % par rapport à 2011. Réalisant 55 % de la recherche publique, ils sont des acteurs majeurs de la recherche en France. Le CNRS et le CEA civil effectuent un tiers de la recherche publique avec 5,5 Md€ de DIRD. [lire la suite]

En 2012, les dotations budgétaires consommées par la recherche publique pour la R&D s’élèvent à près de 13 milliards d’euros (Md€) et financent 69 % de leur activité totale de R&D. En 2012, les ressources propres représentent près de 6 Md€ et comptent pour près de 30 % des financements de la R&D de la recherche publique. [lire la suite]

Depuis la réforme du Crédit d’impôt recherche (CIR) de 2008, le nombre d’entreprises l’utilisant a très fortement augmenté. Désormais, la quasi-totalité des entreprises actives en R&D en France connaissent et utilisent le CIR lorsqu’elles mènent des projets de R&D. La créance atteint 5,3 milliards d’euros au titre de 2012, soit 0,26 % du PIB et le double des financements publics directs à la R&D des entreprises. [lire la suite]

En 2013, les collectivités territoriales consacrent 1,3 milliard d’euros (Md€) au financement de la recherche et du transfert de technologie (R&T). Ces financements concernent en premier lieu des opérations immobilières et de transfert de technologie. Les conseils régionaux pèsent pour 68 % de ces financements. Les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) développent leur participation. [lire la suite]

En 2014, la Mission interministérielle Recherche et enseignement supérieur (MIRES) regroupe 14 Md€ de crédits budgétaires pour la recherche. Environ 80 % de ces crédits sont attribués aux opérateurs de recherche et d’enseignement supérieur au titre de subvention pour charge de service public. Les dépenses d’intervention et de pilotage s’élèvent à 1,7 Md€, soit 13 % des crédits. Enfin, 7 % des crédits de la MIRES sont mobilisés en faveur des programmes et organismes internationaux. [lire la suite]

Le financement de la recherche nationale (DNRD) repose majoritairement (60 %) sur les entreprises. Les entreprises implantées sur le territoire national financent environ 55 % de la dépense intérieure de recherche (DIRD). Ce niveau de financement par le secteur privé est très inférieur à celui observé au Japon, en Allemagne et aux États-Unis. [lire la suite]

En 2012, 564 500 personnes participent à une activité de recherche en France. Au cours des trois dernières années, le nombre de chercheurs a progressé plus rapidement dans les entreprises (+ 16 %) que dans les administrations (+ 2 %). Les femmes représentent 29 % de l’ensemble du personnel de recherche et 26 % des chercheurs. [lire la suite]

Un chercheur sur trois dans les administrations et un sur cinq dans les entreprises est une femme. Comme dans d’autres pays, elles sont partout moins représentées parmi les chercheurs que dans les professions de soutien à la recherche. Le rapport femmes-hommes dans les effectifs de recherche est lié au domaine de recherche. [lire la suite]

En 2011, près de 197 000 chercheurs ont une activité de R&D en entreprise. C’est une population jeune, dont la moitié a moins de 38 ans. Elle reste faiblement féminisée (à 20 %). La majorité des chercheurs en entreprise ont un diplôme d’ingénieur. Seuls 12 % ont un doctorat. Les femmes sont fortement représentées dans les sciences médicales et les sciences biologiques. [lire la suite]

À la rentrée 2013, environ 67 000 étudiants sont inscrits en doctorat dont 62 700 à l'université. En 2012, près de 13 000 doctorats ont été délivrés. Le nombre de doctorants inscrits baisse depuis 2007, tandis que le nombre de doctorats délivrés est en augmentation. Ce contraste résulte notamment d’un raccourcissement de la durée des thèses. Plus de la moitié des étudiants inscrits pour la première fois en France en doctorat à l'université n'étaient pas inscrits dans une formation universitaire diplomante sur le territoire national l'année précédente. [lire la suite]

Le statut de jeune entreprise innovante (JEI) a été créé pour favoriser la création et le développement des PME qui conduisent des travaux de R&D. En 2012, leurs dépenses de R&D s’élèvent à 730 millions d’euros et se concentrent essentiellement dans des branches de services. [lire la suite]

La dépense intérieure de R&D des entreprises (DIRDE) en biotechnologie s’élève à 2,7 milliards d’euros (Md€). Elle représente environ 9 % de la DIRDE, part stable depuis 2006. La proportion d’entreprises actives dans ce domaine d’activité progresse d’un point en un an pour atteindre 11 % en 2012. Les entreprises spécialisées en biotechnologie sont surtout des petites structures. [lire la suite]

En 2012, près d’un quart des entreprises en France (23 %) ayant une activité interne de R&D engagent des dépenses de recherche dans les domaines des nouveaux matériaux ou des nanotechnologies. Cette part est en progression sur un an. Dans le domaine des nouveaux matériaux, l’industrie chimique reste en tête quant aux dépenses engagées. Les nanotechnologies impliquent surtout de petites structures et sont orientées essentiellement vers la branche des composants et des cartes électroniques. [lire la suite]

En 2012, les dépenses de R&D consacrées directement ou indirectement à l’environnement est évaluée à 5 milliards d’euros (Md€), soit 11 % de la dépense intérieure de R&D. Près de 60 % (contre 20 % en 2000) des dépenses de R&D en environnement (hors Énergie et Transports) sont pris en charge par les entreprises. [lire la suite]


 
 
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