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L'indicateur de dépense pour l’enseignement supérieur, publié par l'OCDE est légèrement différent de l'indicateur de dépense intérieure d'éducation utilisé en France dans le compte satellite de l'éducation. L'indicateur de l'OCDE retrace « la dépense d'éducation au titre des établissements d'enseignement ». Ainsi – à la différence de l'indicateur de dépense intérieure d'éducation (fiche 01) – il ne comprend pas les dépenses d’éducation effectuées par les ménages en dehors des établissements (livres, fournitures, leçons particulières, habillement...), même si ces dépenses privées portant sur les biens et services liés à l'éducation et/ou de subsistance sont subventionnées par des aides publiques.

En outre, pour l’activité d’enseignement supérieur, l’OCDE prend en compte un périmètre de recherche plus large que celui retenu par le compte de l’éducation puisqu’il inclut toutes les dépenses de recherche liées à l’enseignement supérieur elles qu’elles sont calculées pour la Direction de la science, de la technologie et de l’industrie de l’OCDE, c’est-à-dire y compris les organismes de recherche comme le CNRS ou l’INSERM.

Cet indicateur est présenté en $PPA (équivalents-dollars des États-Unis) convertis en utilisant les parités de pouvoir d’achat pour le PIB qui sont des taux de conversion monétaire permettant d’exprimer dans une unité commune les pouvoirs d’achat des différentes monnaies.

Deux évolutions méthodologiques majeures entre 2011 et 2012 sont à signaler :

- En 2012, le Produit Intérieur Brut est exprimé en base 2010 selon le nouveau système européen des comptes, de ce fait le poids de la dépense en % du PIB n’est pas comparable à celui publié les années précédentes.

- En 2012, le Royaume-Uni a procédé à une révision de classification de dépenses liées à l’enseignement supérieur qui a un fort impact sur la part des financements publics/privés et sur le montant des dépenses d’éducation de ce pays.

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Cette fiche a été actualisée. Consultez la fiche 02. la dépense pour l’enseignement supérieur dans les pays de l’OCDE dans L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°10 - Avril 2017

En 2012, la dépense moyenne par étudiant en France est proche de la moyenne des pays de l’OCDE. Depuis 2005, elle a progressé plus vite que dans la plupart des autres pays, rattrapant ainsi une grande partie de son retard. Cependant, l’effort national consacré à l’enseignement supérieur reste légèrement en dessous de la moyenne (1,4 % du PIB contre 1,5 %).

Les comparaisons internationales des dépenses d’éducation sont délicates du fait de la diversité démographique et socio-économique des différents pays et de la spécificité des systèmes éducatifs nationaux. Dans l’enseignement supérieur, cette difficulté est renforcée par la grande hétérogénéité des dispositifs éducatifs à ce niveau d’enseignement. On peut cependant apprécier la situation de la France au regard de quelques indicateurs généraux.

Le poids de la dépense d’éducation en pourcentage du Produit Intérieur Brut (PIB) est l’indicateur qui permet d’évaluer de la façon la plus globale l’effort concrètement effectué par l’ensemble des financeurs en faveur des systèmes éducatifs nationaux (graphique 02.01). Avec 1,4 % du PIB consacré en 2012 à l’enseignement supérieur, la France se situe à un niveau proche de la moyenne des pays de l’OCDE (1,5 %). Elle devance des pays européens comme l’Espagne (1,2 %), l’Allemagne (1,2 %) ou l’Italie (0,9 %) mais est distancée par les pays scandinaves (entre 1,6 et 1,8 %). Trois pays réalisent un effort financier pour l’enseignement supérieur très au-dessus de la moyenne : les États-Unis (2,8 %), le Canada (2,5 % en 2011) et la Corée du Sud (2,3 %).

Si on compare maintenant les montants des dépenses annuelles par étudiant de l’enseignement supérieur effectuées dans les différents pays, on observe une modification de la hiérarchie des pays par rapport à l’indicateur précédent (graphique 02.02). En 2012, les États-Unis (26 560 $PPA) et le Royaume-Uni (24 340 $PPA) se détachent nettement par le niveau élevé de leur dépense, suivis de la Suède et du Canada, qui dépensent plus de 22 000 $PPA par étudiant. La France dépense 15 280 $PPA par étudiant, soit légèrement plus que la moyenne des pays de l’OCDE (15 030 $PPA). Sa dépense est supérieure à celle de l’Espagne ou de l’Italie, mais inférieure à celle de l’Allemagne ou du Japon.

Entre 2005 et 2012, la dépense moyenne par étudiant a augmenté plus vite en France que dans la moyenne des pays de l’OCDE (+ 14 % contre + 11 %) (graphique 02.03). La progression est plus importante encore en Corée du Sud (+ 38 %), au Japon (+ 19 %), en Suède (+ 19%) et en Finlande (+ 18 %). A l’inverse, on constate une baisse du niveau de la dépense annuelle par étudiant entre 2005 et 2012 en Espagne (- 1 %) et aux États-Unis (- 4 %).

Dans l’enseignement supérieur, avec une moyenne, pour les pays de l’OCDE, de 69,7 % contre 30,3 %, la part relative des financements d’origine publique (État, collectivités locales et autres administrations publiques) est supérieure à celle d’origine privée (ménages et autres financeurs privés tels que les entreprises) (graphique 02.04). Les pays scandinaves et la Belgique affichent un financement des établissements d’enseignement supérieur quasiment public (supérieur ou égal à 90 %). A l’opposé, pour la Corée du Sud, le Japon, les États-Unis, et l’Australie, le financement est majoritairement d’origine privée. La France, avec un financement public à hauteur de 79,8 %, se situe bien au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE (+ 10,1 points).

Pour citer cet article :

RUDOLF Marguerite. La dépense pour l’enseignement supérieur dans les pays de l’OCDE. In : État de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France - 50 indicateurs [en ligne]. KABLA-LANGLOIS Isabelle (dir.). Paris : Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, 2016 (9e éd.), fiche 02 [Consulté le 29/03/2024]. ISBN 978-2-11-151570-3. Disponible à l'adresse : https://publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/9/EESR9_ES_02-la_depense_pour_l_enseignement_superieur_dans_les_pays_de_l_ocde-ILL_02.php

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L'indicateur de dépense pour l’enseignement supérieur, publié par l'OCDE est légèrement différent de l'indicateur de dépense intérieure d'éducation utilisé en France dans le compte satellite de l'éducation. L'indicateur de l'OCDE retrace « la dépense d'éducation au titre des établissements d'enseignement ». Ainsi – à la différence de l'indicateur de dépense intérieure d'éducation (fiche 01) – il ne comprend pas les dépenses d’éducation effectuées par les ménages en dehors des établissements (livres, fournitures, leçons particulières, habillement...), même si ces dépenses privées portant sur les biens et services liés à l'éducation et/ou de subsistance sont subventionnées par des aides publiques.

En outre, pour l’activité d’enseignement supérieur, l’OCDE prend en compte un périmètre de recherche plus large que celui retenu par le compte de l’éducation puisqu’il inclut toutes les dépenses de recherche liées à l’enseignement supérieur elles qu’elles sont calculées pour la Direction de la science, de la technologie et de l’industrie de l’OCDE, c’est-à-dire y compris les organismes de recherche comme le CNRS ou l’INSERM.

Cet indicateur est présenté en $PPA (équivalents-dollars des États-Unis) convertis en utilisant les parités de pouvoir d’achat pour le PIB qui sont des taux de conversion monétaire permettant d’exprimer dans une unité commune les pouvoirs d’achat des différentes monnaies.

Deux évolutions méthodologiques majeures entre 2011 et 2012 sont à signaler :

- En 2012, le Produit Intérieur Brut est exprimé en base 2010 selon le nouveau système européen des comptes, de ce fait le poids de la dépense en % du PIB n’est pas comparable à celui publié les années précédentes.

- En 2012, le Royaume-Uni a procédé à une révision de classification de dépenses liées à l’enseignement supérieur qui a un fort impact sur la part des financements publics/privés et sur le montant des dépenses d’éducation de ce pays.

 

Chiffre clé


Dépense intérieure d'éducation consacrée à l'enseignement supérieur rapportée au PIB
1,4 %
 
2012
France entière
 
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02.01 Dépenses annuelles des établissements d'enseignement supérieur en 2012 (en % du PIB)

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Danemark, données non disponibles.
1 2011.
2 Établissements publics uniquement.

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02.02 Dépenses annuelles des établissements d'enseignement supérieur par étudiant en 2012 (en $PPA)

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1 2011.
2 Établissements publics uniquement.

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02.03 Évolution de la dépense annuelle par étudiant entre 2005 et 2012 (Indices base 100 en 2005)

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Canada, Danemark, Royaume-Uni, Allemagne : données non disponibles.

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02.04 Part relative des financements publics et privés alloués aux établissements d'enseignement supérieur, en financement final 1 en 2012 (en %)

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1 Financement final : financement après prise en compte des transferts existant entre les différents agents économiques. Les subventions publiques aux ménages sont donc comptabilisées dans la dépense des ménages et retranchées de celle des agents publics.
2 2011.
3 Établissements publics uniquement.
Danemark : données non disponibles.

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Note d'information DEPP 16.05 - La dépense pour le parcours d'un élève ou d'un étudiant en France et dans l'OCDE en 2012 - Marguerite Rudolf - Février 2016
En 2012, le coût théorique du parcours d’un élève entre le début de sa scolarité obligatoire et la fin de ses études secondaires en France est dans la moyenne de l’OCDE. Ce coût théorique est inégalement réparti entre le primaire et le secondaire. Il dépend d’une part du coût annuel par élève dans chaque cycle et d’autre part de la durée théorique de scolarité dans le primaire et le secondaire. La France dépense moins que la moyenne de l’OCDE pour le parcours d’un élève dans le primaire, et plus pour un élève pendant la durée des études secondaires. La dépense pour un parcours dans l’enseignement supérieur est un peu plus élevée en France que dans la moyenne de l’OCDE.

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Regards sur l'éducation - Regards sur l'éducation 2015 - 2015
Regards sur l’éducation : Les indicateurs de l’OCDE fait figure de publication de référence sur l’état de l’éducation dans le monde. Elle fournit des données sur la structure, le financement et les performances des systèmes d’éducation dans les 34 pays membres de l’OCDE, ainsi que dans un certain nombre de pays partenaires.

Avec plus de 100 graphiques, 150 tableaux et des liens vers 150 tableaux supplémentaires consultables en ligne, Regards sur l’éducation 2015 présente des données clés sur : les résultats des établissements d’enseignement ; l’impact de l’apprentissage dans les différents pays ; les ressources financières et humaines investies dans l’éducation ; l’accès, la participation et la progression au sein des systèmes d’éducation ; et l’environnement d’apprentissage et l’organisation scolaire.

L’édition de 2015 présente un certain nombre de nouveautés, dont :

• des données de 2014 sur les niveaux de formation et de participation au marché du travail, ainsi que des données de 2015 sur le temps d’instruction et les mécanismes d’évaluation ;

• des analyses plus détaillées sur la participation à l’éducation de la petite enfance et à l’enseignement tertiaire ;

• des indicateurs sur l’incidence des compétences sur le taux d’emploi et les revenus, les différences de niveau de formation et de taux d’emploi entre les sexes, et les systèmes d’évaluation des enseignants et des chefs d’établissement ;

• des analyses sur les adultes diplômés de l’enseignement tertiaire de la première génération et leur mobilité éducative et sociale, les débouchés des nouveaux diplômés sur le marché du travail, et la participation aux activités formelles et/ou non formelles de formation financées par les employeurs ;

• des données et des analyses sur les compétences en technologies de l’information et de la communication et la volonté de les utiliser pour la résolution de problèmes dans l’enseignement et l’apprentissage :

• des informations sur les temps de récréation et de pause durant la journée de classe, les qualifications typiques des enseignants, les critères retenus pour fixer leur salaire de base et leurs primes, et les salaires dans l’enseignement tertiaire ;

et

• pour la première fois, des données sur le Costa Rica et la Lituanie.

Autres éditions

Etat de l'enseignement supérieur et de la rechercheL'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°10 - Avril 2017
02 - la dépense pour l’enseignement supérieur dans les pays de l’OCDE - Marguerite Rudolf
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Etat de l'enseignement supérieur et de la rechercheL'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°8 - juin 2015
02 - la dépense pour l’enseignement supérieur dans les pays de l’OCDE - Marguerite Rudolf
En 2011, la dépense moyenne par étudiant en France se situe au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE. Depuis 2005, elle a progressé plus vite que dans la plupart des autres pays. Cependant, l’effort national consacré à l’enseignement supérieur reste encore légèrement en dessous de la moyenne (1,5 % du PIB contre 1,6 %) [Consult the following page]
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02 - la dépense pour l’enseignement supérieur dans les pays de l’OCDE - Marguerite Rudolf
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En 2009, suite à une progression au cours des dernières années, la dépense moyenne par étudiant s’établit en France à 14 642 équivalents dollars, légèrement au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE. Cependant l’effort national consacré à l’enseignement supérieur reste au-dessous de la moyenne (1,5 % du PIB contre 1,6 %) [Consult the following page]

Traduction

 Etat de l'enseignement supérieur et de la rechercheHigher education & research in France, facts and figures 9th edition - November 2016
02 - expenditure on tertiary education in OECD countries - Marguerite Rudolf
In 2012, average expenditure per student in France was close to the average of OECD countries. Since 2005, it has increased more quickly than in the marority of countries, thus catching up considerably on its shortfall. However, national expenditure on tertiary education is still slightly below the average (1.4% of GDP compared to 1.5%) [Consult the following page in english]


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