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MENESR-DGESIP/DGRI-SIES

Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation
Direction générale de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle
Direction générale de la recherche et de l'innovation
Service de la coordination des stratégies de l'enseignement supérieur et de la recherche
Sous-direction des systèmes d'information et des études statistiques - SIES

1 rue Descartes, 75231 Paris Cédex 05

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Durant l’année 2015-16, 711 000 étudiants ont perçu au moins une aide, soit environ 36 % de la population concernée. L'aide financière et sociale en leur faveur est de 6,1 milliards d'euros en 2015, 61 % provenant d’aides directes de l’État. [lire la suite]

En 2015, on compte 2 551 000 inscriptions dans l’enseignement supérieur, 8 fois plus qu'en 1960. Aujourd'hui, un peu plus de six étudiants sur dix sont inscrits à l'université. Cette part a cependant décru au cours des 50 dernières années en raison de la diversification des formations offertes. [lire la suite]

70,1 % des bacheliers généraux s’inscrivent à l’université, soit 3 points de moins qu’en 2000. Plus d’un bachelier technologique sur deux s’inscrit dans une filière professionnelle courte (STS ou IUT). Les STS sont la filière de prédilection des bacheliers professionnels puisque 27,8 % s’y inscrivent, soit 2,4 points de plus qu’en 2014. Cette année, les inscriptions sont marquées par une hausse importante des doubles inscriptions CPGE-université. Ce phénomène ne permet pas de comparaisons rigoureuses entre 2015 et les années antérieures sur le champ universitaire. [lire la suite]

Les bacheliers généraux de la session 2015 représentent 79,7 % des nouveaux bacheliers inscrits à l’université. Ce taux est ramené à 78,1 % hors doubles inscriptions CPGE. 43 % des nouveaux inscrits dans la filière courte des STS sont des bacheliers technologiques, et 35 % sont des bacheliers professionnels. [lire la suite]

À la rentrée 2015, on compte 2 551 100 inscriptions dans l’enseignement supérieur. Le nombre d’étudiants inscrits progresse de 3,2 % par rapport à l’année précédente. Le nombre de jeunes s’engageant dans les études supérieures progresse fortement depuis 5 ans. [lire la suite]

Les femmes, plus nombreuses que les hommes dans l'enseignement supérieur, s'inscrivent moins souvent dans les filières sélectives ou scientifiques et sont minoritaires en Doctorat. Leur taux de chômage en 2013, trois ans après leur sortie de l’enseignement supérieur, est plus élevé à presque tous les niveaux de diplôme, et leurs conditions d'emploi sont moins favorables. [lire la suite]

Dans l’enseignement supérieur français, 310 000 étudiants sont de nationalité étrangère, soit un sur huit. Depuis 2000, la part des étrangers dans la population étudiante est passée de 8 % à 12 %. Les trois quarts des étudiants étrangers étudient à l’université. [lire la suite]

À l’université, 27 % des étudiants obtiennent leur Licence 3 ans après leur première inscription en L1 et 39 % après 3 ou 4 ans. Ces taux évoluent peu au cours des dernières années. Près des trois quarts des licenciés s’inscrivent en Master l’année suivante. La réussite en Master a elle fortement progressé depuis 2007 ; 53 % des étudiants obtiennent désormais leur diplôme en deux ans et 65 % en deux ou trois ans. [lire la suite]

La dépense intérieure de recherche et développement expérimental (DIRD) a progressé à un rythme annuel moyen de 1,6  % depuis une quinzaine d’année. Cette croissance a été portée principalement par le dynamisme de la dépense intérieure de R&D des entreprises (1,9 % en moyenne annuelle). La DIRD représente 2,24 % du PIB en 2014, soit 47,9 milliards d’euros. Les entreprises exécutent 65 % des travaux de R&D réalisés sur le territoire national et financent 61 % de la dépense nationale de R&D. [lire la suite]

En 2014, six branches de recherche (automobile, aéronautique, pharmacie, activités spécialisées, scientifiques et techniques, activités informatiques et services d’information et chimie) exécutent la moitié de la dépense intérieure de R&D des entreprises. Dans le secteur public, les organismes de recherche (EPST, EPIC) exécutent 54 % de la dépense intérieure de R&D des administrations. [lire la suite]

En 2014, les PME (y compris les micro-entreprises) réalisent 17 % des dépenses intérieures de R&D des entreprises (DIRDE). Elles consacrent plus de la moitié de leurs dépenses aux activités de services. Les grandes entreprises, à l’origine de 58 % de la DIRDE, réalisent les trois-quarts de leur effort dans les industries de haute et moyenne-haute technologie. [lire la suite]

En 2014, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) des principaux organismes publics de recherche s’élève à 9,1 milliards d’euros (Md€). Elle baisse de 1,1 % en volume par rapport à 2013, après avoir légèrement augmenté de 0,1 % l’année précédente. Réalisant 54 % de la recherche publique, ils sont des acteurs majeurs de la recherche en France. Avec 5,5 Md€ de DIRD au total, le CNRS et le CEA civil effectuent un tiers de la recherche publique. [lire la suite]

En 2014, les dotations budgétaires consommées par la recherche publique pour la R&D s’élèvent à près de 13 milliards d’euros (Md€) et financent 68 % de l’activité totale de R&D des administrations. Les ressources propres représentent 6 Md€ et comptent pour 32 % des financements du secteur public. [lire la suite]

En 2014, les collectivités territoriales consacrent 1,3 Md€ au financement de la recherche et du transfert de technologie (R&T). Ces financements concernent en premier lieu des opérations immobilières et de transfert de technologie et de l’innovation. Les régions apportent les deux tiers de ces financements R&T. Le niveau communal est le second interlocuteur local. [lire la suite]

En 2016, la Mission Interministérielle Recherche et Enseignement Supérieur (MIRES) regroupe 13 milliards d’euros (Md€) de crédits budgétaires pour la recherche. Environ 80 % de ces crédits sont attribués aux opérateurs de recherche et d’enseignement supérieur au titre de subvention pour charge de service public et 49 % sont dédiés à la recherche fondamentale. [lire la suite]

Les entreprises présentes sur le territoire national financent environ 55 % de la dépense intérieure de recherche (DIRD). La dépense totale de R&D des entreprises de 36,8 Md€, est financée à 85 % par des entreprises situées en France et pour 7 % par les ressources publiques Le reste vient de l’étranger. [lire la suite]

En 2014, plus d’un demi-million de personnes participent à l’activité de recherche en France. Les femmes représentent 30 % de l’ensemble du personnel de recherche et 26 % des chercheurs. Le nombre de chercheurs, 266 700 en équivalent temps plein en 2014, a progressé de 15 % en cinq ans. Le nombre de chercheurs a progressé plus vite dans les entreprises (+ 21 %) que dans les administrations (+ 6 %) sur la période 2009-2014. [lire la suite]

En 2014, les femmes représentent 30 % de l’ensemble des personnels de recherche et un peu plus d’un quart des seuls chercheurs. Par ailleurs, 36 % des chercheurs en administration sont des femmes contre 20 % en entreprise, contraste qui n’est pas propre à la France. Les proportions diffèrent selon le domaine de recherche, les plus féminisés étant ceux de la médecine, de la chimie et de l’agronomie. [lire la suite]

En 2013, près de 220 000 chercheurs ont une activité de R&D en entreprise sur le territoire français. Cette population est plutôt jeune, peu féminisée (à 20 %) et en majorité issue d’une école d’ingénieurs. En entreprise, 12 % des chercheurs sont docteurs et 17 % sont titulaires d’un Master. Les caractéristiques socioprofessionnelles des chercheurs dépendent cependant du secteur de recherche de l’entreprise. [lire la suite]

À la rentrée 2015, 74 450 étudiants sont inscrits en doctorat. Le nombre de doctorants est en baisse continue depuis 2009, tandis que le nombre de doctorats délivrés en 2015 s’élève à 14 500, niveau relativement stable depuis trois ans, après une période de hausse. Environ 3 doctorants sur 4 inscrits en première année bénéficient d’un financement pour leur thèse. [lire la suite]

Le statut de jeune entreprise innovante (JEI) a été créé pour favoriser la création et le développement des PME qui conduisent des travaux de R&D. En 2014, leurs dépenses intérieures de R&D s’élèvent à 916 millions d’euros, en hausse de 10 % par rapport à 2013. Elles se concentrent essentiellement dans des branches de services. [lire la suite]

La dépense intérieure de R&D des entreprises (DIRDE) en biotechnologies s’élève à 3,0 milliards d’euros (Md€) en 2014. Elle représente près de 10 % de la DIRDE. La proportion d’entreprises de R&D qui sont actives dans ce domaine est stable par rapport à 2013, à 11 %. Les entreprises spécialisées en biotechnologies sont surtout de petites structures. [lire la suite]

En France, en 2014, une entreprise active en de R&D sur cinq engage des dépenses intérieures de R&D dans les domaines des nouveaux matériaux ou des nanotechnologies. La dépense de recherche globale associée à ces deux domaines s’élève à 3,6 milliards d'euros (Md€) en 2014, soit 11,7 % de l’ensemble de la DIRDE. [lire la suite]

Les dépenses intérieures de recherche et développement des entreprises dans les technologies de l’information et de la communication (TIC) s’élèvent à 6,4 Md€ en 2014, soit 21 % de l’ensemble des dépenses intérieures de R&D des entreprises. On compte 60 416 personnels en équivalents temps plein employés dans des branches de recherche appartenant aux TIC, dont 82 % de chercheurs ou ingénieurs de R&D. Les administrations concourent de manière beaucoup plus limitée à l’effort de R&D en TIC. [lire la suite]

En 2014, les dépenses de R&D consacrées directement ou indirectement à l’environnement sont évaluée à plus de 5 milliards d’euros (Md€), soit 11 % de la dépense intérieure de R&D. La moitié des dépenses de R&D en environnement (hors Énergie et Transports) est prise en charge par les entreprises (contre 20 % en 2000). [lire la suite]


 
 
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