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MENESR-DGESIP/DGRI-SIES

Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Direction générale de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle
Direction générale de la recherche et de l'innovation
Service de la coordination des stratégies de l'enseignement supérieur et de la recherche
Sous-direction des systèmes d'information et des études statistiques - SIES

1 rue Descartes, 75231 Paris Cédex 05

Les pages mobilisant cette source :

Durant l’année 2014-15, presque 680 000 étudiants ont perçu au moins une aide, soit environ 36 % de la population concernée. L'aide financière et sociale en leur faveur atteint quasiment 6 milliards d'euros en 2014, 60 % provenant d’aides directes de l’État. [lire la suite]

En 2014, on compte 2 471 000 étudiants inscrits, 8 fois plus qu'en 1960. Aujourd'hui, un peu plus de six étudiants sur dix sont inscrits à l'université. Cette part a cependant décru au cours des 50 dernières années en raison de la diversification des formations offertes. [lire la suite]

Environ 75 % des bacheliers 2014 s'inscrivent immédiatement dans l'enseignement supérieur. Près des deux-tiers des bacheliers généraux s'inscrivent à l'université, soit 7 points de moins qu'en 2000 mais 2,7 points de plus qu’en 2012. Près d'un bachelier technologique sur deux s'inscrit dans une filière professionnelle courte. Les bacheliers professionnels, dont les effectifs ont considérablement augmenté avec la réforme de la voie professionnelle, sont tendanciellement plus nombreux à s'inscrire dans l'enseignement supérieur. [lire la suite]

En 2014 les bacheliers généraux représentent 65,3 % des nouveaux bacheliers inscrits dans l’enseignement supérieur. Ce taux est en léger retrait (- 2 points) par rapport à celui observé en 2005. Les bacheliers professionnels représentent désormais 13 % des nouveaux bacheliers inscrits. Cette part a crû de 8 points par rapport à 2005, tandis que celle des nouveaux bacheliers des séries technologiques a baissé de 6 points. [lire la suite]

Avec 2 470 700 étudiants inscrits à la rentrée 2014, les effectifs de l’enseignement supérieur augmentent sensiblement (+ 1,6 %). Ils n’ont jamais été aussi nombreux. Cette hausse s’explique par la croissance de la proportion de jeunes s’engageant dans les études supérieures, alors même que ces jeunes sont moins nombreux. [lire la suite]

Dans l’enseignement supérieur français, 300 000 étudiants sont de nationalité étrangère, soit un sur huit. Depuis 2000, la part des étrangers dans la population étudiante est passée de 8 % à 12 %. Les trois quarts des étudiants étrangers étudient à l’université. [lire la suite]

À l’université, 28 % des étudiants obtiennent leur Licence 3 ans après leur première inscription en L1 et 40 % après 3 ou 4 ans. Ces taux évoluent peu au cours des dernières années. Près des trois quarts des licenciés s’inscrivent en Master l’année suivante. La réussite en Master a fortement progressé depuis 2007 ; près de 54 % des étudiants obtiennent désormais leur diplôme en deux ans et 65 % en deux ou trois ans. [lire la suite]

À la rentrée 2014, 20 549 étudiants des établissements d’enseignement supérieur publics se déclarent handicapés, soit 1,17 % de la population étudiante, et bénéficient d’un accompagnement. 91,5 % d’entre eux sont inscrits à l’université où leur effectif a triplé depuis 2005. Ils bénéficient d’aides plus nombreuses, diverses et mieux connues qui leur permettent de ne pas rester à l’écart du mouvement général d’allongement des études. Ils se concentrent en Licence mais leur présence en Master progresse significativement depuis plusieurs années. [lire la suite]

Les femmes, plus nombreuses que les hommes dans l'enseignement supérieur, s'inscrivent moins souvent dans les filières sélectives ou scientifiques et sont minoritaires en Doctorat. Leur taux de chômage en 2013, trois ans après leur sortie de l’enseignement supérieur, est plus élevé à presque tous les niveaux de diplôme, et leurs conditions d'emploi sont moins favorables. [lire la suite]

Multipliée par 2 depuis 1983, la dépense intérieure de recherche et développement expérimental (DIRD) représente 2,24 % du PIB en 2013, soit 47,5 milliards d’euros. L’effort de recherche provient surtout des entreprises qui exécutent 65 % des travaux de R&D réalisés sur le territoire national et financent 59 % de la dépense nationale de R&D. [lire la suite]

En 2013, six branches bénéficiaires de la recherche (automobile, aéronautique, pharmacie, activités spécialisées, scientifiques et techniques, activités informatiques et services d’information et chimie) exécutent la moitié de la dépense intérieure de R&D des entreprises. Dans le secteur public, les organismes de recherche (EPST, EPIC) exécutent 54 % de la dépense intérieure de R&D des administrations. [lire la suite]

En 2013, les PME réalisent 17 % des dépenses intérieures de R&D des entreprises (DIRDE), dont plus de la moitié en faveur des activités de services. Les grandes entreprises, à l’origine de 57 % de la DIRDE, réalisent les trois-quarts de leur effort dans les industries de haute et moyenne-haute technologie. [lire la suite]

En 2013, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) des principaux organismes publics de recherche s’élève à 9,2 milliards d’euros (Md€), en hausse de 0,9 % par rapport à 2012. Réalisant 55 % de la recherche publique, ils sont des acteurs majeurs de la recherche en France. Le CNRS et le CEA civil effectuent un tiers de la recherche publique avec 5,6 Md€ de DIRD. [lire la suite]

En 2013, les dotations budgétaires consommées par la recherche publique pour la R&D s’élèvent à près de 13 milliards d’euros (Md€) et financent 69 % de l’activité totale de R&D des administrations. Les ressources propres représentent 6 Md€ et comptent pour 31 % des financements du secteur public. [lire la suite]

En 2014, les collectivités territoriales consacrent 1,3 Md€ au financement de la recherche, et du transfert de technologie (R&T). Ces financements concernent en premier lieu des opérations immobilières et de transfert de technologie et de l’innovation. Les régions apportent les deux tiers de ces financements R&T. Le niveau communal est le second interlocuteur local. [lire la suite]

En 2015, la Mission Interministérielle Recherche et Enseignement Supérieur (MIRES) regroupe 13 Md€ de crédits budgétaires pour la recherche. Environ 80 % de ces crédits sont attribués aux organismes de recherche et d’enseignement supérieur au titre de subvention pour charge de service public. Les dépenses d’intervention et de pilotage s’élèvent à 1,7 Md€, soit 13 % des crédits. Enfin, 9 % des crédits de la MIRES sont mobilisés en faveur des programmes et organismes internationaux. [lire la suite]

Les entreprises présentes sur le territoire national financent environ 55 % de la dépense intérieure de recherche (DIRD). La dépense totale de R&D des entreprises de 33,7 milliards d'euros (Md€), est financée à 85 % (soit 28,5 Md€) par des entreprises situées en France et pour 8 % (2,7 Md€) par les ressources publiques. [lire la suite]

En 2013, plus d’un demi-million de personnes participent à l’activité de recherche en France. Les femmes représentent 30 % de l’ensemble du personnel de recherche et 26 % des chercheurs. Le nombre de chercheurs, 266 200 en équivalent temps plein en 2013, a progressé de 17 % en cinq ans. Le nombre de chercheurs a progressé plus vite dans les entreprises (26 %) que dans les administrations (5 %) sur la période 2008-2013. [lire la suite]

En 2013, les femmes représentent 30 % de l’ensemble des personnels de recherche, et un peu plus d’un quart des seuls chercheurs. Par ailleurs, 40 % des effectifs de recherche en administration sont des femmes contre 22 % en entreprise, contraste qui n’est pas propre à la France. Les proportions diffèrent selon le domaine de recherche, les plus féminisés étant ceux de la médecine, de la chimie et de l’agronomie. [lire la suite]

En 2013, près de 220 000 chercheurs ont une activité de R&D en entreprise sur le territoire français. Cette population est plutôt jeune, peu féminisée (à 20 %) et en majorité issue d’une école d’ingénieur. En entreprise, 12 % des chercheurs sont docteurs et 17 % sont titulaires d’un Master. Les caractéristiques socioprofessionnelles des chercheurs dépendent cependant du secteur de recherche de l’entreprise. [lire la suite]

À la rentrée 2014, 75 600 étudiants sont inscrits en doctorat. 14 400 doctorats ont été délivrés durant l’année civile 2014. Le nombre de doctorants baisse depuis 2009, tandis que le nombre de doctorats délivrés augmente jusqu’en 2012 puis diminue en 2013 et 2014. Plus de la moitié des étudiants inscrits pour la première fois en France en doctorat à l’université n’étaient pas inscrits dans une formation universitaire diplômante sur le territoire national l’année précédente. [lire la suite]

La dépense intérieure de R&D des entreprises (DIRDE) en biotechnologie s’élève à 3,0 milliards d’euros (Md€) en 2013. Elle représente près de 10 % de la DIRDE. La proportion d’entreprises de R&D qui sont actives dans ce domaine est stable par rapport à 2012, à 11 %. Les entreprises spécialisées en biotechnologie sont surtout des petites structures. [lire la suite]

En France, en 2013, près d’un quart des entreprises de R&D engagent des dépenses intérieures de R&D dans les domaines des nouveaux matériaux ou des nanotechnologies. La dépense de recherche globale associée à ces deux domaines s’élève à 3,5 milliards d'euros (Md€) en 2013, soit 11,4  % de l’ensemble de la DIRDE. [lire la suite]

En 2013, les dépenses de R&D consacrées directement ou indirectement à l’environnement sont évaluées à près de 5 milliards d’euros (Md€), soit 10 % de la dépense intérieure de R&D. 60 % (contre 20 % en 2000) des dépenses de R&D en environnement (hors Énergie et Transports) sont pris en charge par les entreprises. [lire la suite]


 
 
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