Répartition des effectifs en 1999-2000 par concours préparé, année, académie. Répartition des effectifs de première année selon le sexe et le concours préparé, en pourcentages. Spécialisation des professeurs des écoles titulaires. Aides-éducateurs inscrits en IUFM. Evolution des effectifs inscrits en IUFM depuis 1991-92, par académie, par année d'IUFM. Encadrés : les IUFM ; définitions ; champ de l'étude.
Les Etats de la zone OCDE finançaient, en 1998, un tiers environ de la dépense intérieure de recherche et développement, pourcentage moindre qu'en 1992. La situation contrastée entre les principaux pays (France, Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Etats-Unis, Japon) est liée à la part consacrée à la Défense, globalement en réduction cependant. Des différences existent aussi dans la façon dont les Etats soutiennent la recherche des entreprises et des administrations.
Depuis 1955, le nombre annuel de BTS délivrés a augmenté, s'élevant en 1999 à 87 700 ( 97 600 avec les BTSA, délivrés par le ministère de l'Agriculture), mais le rythme d'évolution se ralentit (graph. 1). Les taux de réussite progressent ces dernières années, mais varient selon le domaine de spécialité et le sexe (tabl. I), l'origine scolaire (tabl. II), la formation suivie, l'âge et la catégorie socio-professionnelle des parents. Il est possible de repérer les effets de chacune de ces variables sur la réussite (tabl. III), mais des disparités existent également entre les académies (tabl. IV, voir le document modifiéf). Pour ce dernier tableau, certaines données ayant été rectifiées, consulter le rectificatif (fichier 2).
Répartition des enseignants par grade, discipline, type d'établissement. Répartition par tranche d'âges et sexe (en %), dans chaque fonction (professeurs, maîtres de conférence, assistants et autres), par discipline. Evolution des effectifs d'enseignants-chercheurs de 1992 à 1999. Enseignants titulaires d'un corps du 2nd degré en fonction dans le supérieur. Répartition par discipline, catégorie, position administrative. Comparaison des effectifs et de l'âge moyen de recrutement, du stock et des départs en retraite des enseignants-chercheurs par corps et grande discipline. Répartition par académie des principales catégories d'enseignants en fonction dans l'enseignement supérieur. Encadré : source et méthode.
In 1997, 23,0% of researchers were women versus 21,6% five years earlier.
Growth in the number of researchers has marginally benefited women in public and industrial R&D.
However their numbers are higher in public research. The proportion of women involved in the research field varies to a considerable extent according to discipline. The similar position of women in public civil research where medical and life sciences predominate and in pharmaceutical industry is a good example. The proportion of women also differs according to their position : growth in numbers is inverse to the position they hold in the hierarchical order of their institution. Women?s participation grows fast in upper secondary and higher education or in engineering schools than on the labour market.
À la rentrée 1999, près de 117 400 étudiants sont inscrits dans les instituts universitaires de technologie de France métropolitaine et des DOM, soit une hausse du nombre des inscrits d'environ 2 800 (+ 2,5 %) par rapport à la rentrée 1998.
Le nombre de nouvelles inscriptions en première année de DUT s?accroît légèrement, tandis que les effectifs de deuxième année augmentent fortement (+ 13 %).
Le taux de poursuite d?études en DUT progresse pour les bacheliers ES mais baisse pour les bacheliers technologiques.
La capacité d?accueil des IUT est de 582 départements à la rentrée 1999 (contre 566 départements en 1998).
L'industrie pharmaceutique figure parmi les secteurs qui ont le plus investi en recherche développement (R&D) en France ces dernières années, malgré une baisse de la valeur ajoutée.
Cette évolution, conjuguée au repli de certains secteurs orientés vers la R&D militaire, place la pharmacie au premier rang des secteurs industriels en termes de dépense intérieure de R&D pour 1997.
Les flux avec l'étranger pour le financement de la R&D ont augmenté, à travers la hausse des dépenses des entreprises françaises vers des filiales à l?étranger, et celle des ressources en provenance d'entreprises à l'étranger et n'appartenant pas au même groupe.
Au niveau international, les États-Unis se détachent devant l'Europe et le Japon, et le Royaume-Uni au sein de l'Union européenne par leur niveau de dépenses en R&D dans la branche de la pharmacie.
Evolution de la dépense intérieure de recherche et développment (DIRD,) en graphique, depuis 1978. Répartition des financements entre les administrations et les entreprises. Evolution des financements publics en direction des entreprises de 1993 à 1998. Flux des dépenses avec l'étranger depuis 1993. Volume des dépenses affectées par les entreprises à la recherche et développement. Evolution des cinq principales branches d'activités de 1992 à 1998. Evolution des effectifs de chercheurs dans le secteur public et dans les entreprises de 1992 à 1998. Méthodologie, sources et définitions.
En 1997, 23,0 % des chercheurs sont des femmes, contre 21,6 % cinq ans auparavant.
La croissance des effectifs de chercheurs bénéficie marginalement aux femmes dans la recherche publique et en entreprise. Cependant, c'est dans la recherche publique qu'elles sont les plus nombreuses.
L'importance de l'emploi féminin dans la recherche varie fortement selon les disciplines.
La similitude de la place des femmes parmi les chercheurs du public où les sciences médicales et de la vie sont dominantes , et dans l'industrie pharmaceutique en est un exemple.
La place de l'emploi féminin diffère aussi beaucoup selon les postes occupés, avec une progression inverse de l'ordre hiérarchique.
La progression du taux de femmes dans les études secondaires et universitaires ou dans les écoles d?ingénieurs est plus rapide que sur le marché du travail.
Par type d'école et ministère de tutelle : effectifs 80-81, 85-86, 90-91, 95 à 2000 ; progression moyenne annuelle 80/85, 85/90, 90/95 et 95/99 ; en 1999-2000, nombre d'écoles, effectifs par sexe, taux de féminisation, flux d'entrée et évolution, diplômes délivrés en 1999 ; origine scolaire des nouveaux inscrits ; effectifs par académie. Graphiques : évolution des effectifs inscrits, de 1989-1990 à 1999-2000, par type d'école ; évolution du flux d'entrée de 1990 à1999 par type d'école et des diplômes délivrés de 1989 à 1999 par secteur de tutelle ; évolution, en pourcentage, du taux de féminisation entre 1985-86 et 1999-2000. Carte : évolution des effectifs par académie de 1994 à 1999. Encadrés : sources et définitions, les écoles d'ingénieurs, les nouvelles formations d'ingénieurs.
Après trois années de baisse, le nombre d?inscriptions dans les principales filières de l?enseignement supérieur est resté stable en 1999 : 1 878 000 inscriptions ont été enregistrées en université (dont IUT), IUFM, écoles d?ingénieurs, STS et CPGE.
Cette stabilité résulte d?une baisse des effectifs en premier et deuxième cycles universitaires (hors IUT), compensée par une
progression exceptionnelle du nombre d?étudiants en troisième cycle (+ 2,9 %) et de la poursuite du développement des filières STS et IUT.
En prévision pour 2000 et 2001, le nombre global d?inscriptions se maintiendrait à ce niveau. La part des formations courtes, IUT et STS, de 19 % en 1999, croîtrait légèrement et celle de l?université (hors IUT et IUFM) de 68 % aujourd?hui, diminuerait encore. Cependant, dans cette filière, seul le premier cycle universitaire perdrait des étudiants tandis que les ingénieurs universitaires seraient toujours plus nombreux.
NI DEPP 00.27 - La formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur relevant du ministère de l'Education nationale. 2. La production de certification en 1998.
Répartition des actions de formation continue dans les établissements publics d'enseignement supérieur selon la nature et le niveau de formation en 1998. Nombre de diplômes nationaux et types de diplômes délivrés en 1997 et 1998. Diplômes d'établissements délivrés selon le niveau pour ces deux années. Répartition des diplômes délivrés selon leur nature et le statut des établissements en 1997 et 1998. Définitions et sources.
Résultats observés à travers le suivi d'une cohorte des bacheliers de 1996, sur leur réussite dans l'enseignement supérieur, au DEUG, BTS et DUT. Taux de réussite au DEUG en deux ans selon le type de baccalauréat, selon le sexe, selon l'âge d'obtention du bac. Taux de réussite au DEUG en deux ans selon la discipline et réorientation éventuelle. Impact de différentes caractéristiques des bacheliers sur leur réussite au DEUG en deux ans : selon la série du Bac, l'âge d'obtention, la spécialité du DEUG, la localisation de l'université, le sexe, la PCS du chef de famille, la nationalité (Français, étranger), les conditions de vie, la motivation lors de l'inscription du nouveau bachelier. Etude de la réussite des étudiants au DUT, au BTS, selon le type de baccalauréat et l'âge des bacheliers. Devenir des étudiants qui ont obtenu leur DUT ou leur BTS (poursuite d'études ou entrée dans la vie active). Graphique concernant le devenir des bacheliers technologiques deux ans après l'obtention du baccalauréat selon l'âge d'obtention du bac. Sources et méthodologie.
Effectifs d'étudiants préparant le DAEU (diplôme d'accès aux études universitaires). Répartition selon le sexe, l'option (littéraire ou scientifique), l'âge. Evolution des effectifs par académie de 1996-97 à 1998-99. Rappel de l'ESEU (examen spécial d'entrée à l'université). Fonctionnement du DAEU. Source de l'enquête.
Evolution (1987-88 à 1999-2000) par type de classe (plus graphique). Effectif par type détaillé de classe et par année, par tutelle, pourcentage de filles. Les entrants par type de classe et selon le bac obtenu. Choix de la 2ème année pour les prépas scientifiques (MPSI, PCSI, PTSI) ; répartition par origine sociale et type de classe (public Education nationale seul pour ces deux derniers tableaux). Répartition par âge et par sexe, par année de formation (graph.). Répartition par académie et type de classe, poids de l'académie, comparaison avec 1998-99.
Répartition des étudiants inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM, selon les universités, les académies, en 1999-2000 et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, et évolution par rapport à 1998-99, dont les nouveaux bacheliers et les nouveaux entrants. Part des femmes selon les disciplines et les cycles. Répartition par discipline selon les académies. Effectifs inscrits dans les IUT et dans les filières d'ingénieurs.
Evolution des effectifs de chercheurs employés dans les entreprises entre 1984 et 1997. Répartition des effectifs en 1997 selon les branches d'activité et part des chercheurs dans l'effectif total (évolution entre 1992 et 1997). Part des femmes parmi les chercheurs et selon le niveau de diplôme (comparaison entre 1984 et 1997). Répartition des chercheurs selon le type et le niveau de diplôme (ingénieur et formation universitaire) et selon la taille de l'entreprise. Comparaison des flux d'entrée de chercheurs en 1984, 1991 et 1997. Répartition des débutants et flux de sortie selon le niveau de diplôme ; comparaison entre 1984, 1991 et 1997. Encadré sur les sources.
Par académie : de 1991-92 à 1998-99, effectifs inscrits ; en 1998-99 par concours préparé pour la 1ère année, par degré pour la 2ème année. Effectifs par année de formation et degré préparé de 1991-92 à 1998-99. Par concours préparé : par année pour 1998-99 et par sexe (1ère année), (quelques disciplines sont détaillées) ; par discipline des licences obtenues ; par situation avant la 2ème année. Graphique : niveau de formation universitaire des étudiants de 1ère année selon le concours préparé. Encadrés : les IUFM ; les parcours en IUFM ; définitions ; champ de l'enquête.