This 2004-2005 atlas shows numbers of students enrolled in higher education institutions and courses, drawn from the information systems and surveys produced by the French Ministry of Education, Higher Education and Research, and by the ministries of Agriculture, Fisheries, Health and Sports. The geographical unit used in this atlas is the urban unit, which is the equivalent of an agglomeration; for Île-de-France and the French overseas collectivities, the geographical unit used is the commune.
D'après les premières estimations, 1 788 500 étudiants seraient inscrits à la rentrée 2005 dans les quatre principales filières de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS), soit une augmentation de 0,5 %. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs des principales filières de l'enseignement supérieur, les nouveaux bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières, l'évolution des inscriptions en première année dans l'enseignement supérieur (carte) et les effectifs inscrits à l'université (hors IUT). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites dans l'encadré.
Pendant l'année universitaire 2004-2005, 88 796 enseignants ont été en fonction dans les établissements publics d'enseignement supérieur. Huit tableaux font apparaître le nombre d'enseignants et enseignants-chercheurs en fonction selon leur grade, la discipline, le type d'établissement, par tranche d'âge et par sexe, l'évolution des effectifs en activité par groupe de discipline, les enseignants titulaires d'un corps du second degré, une étude et comparaison des effectifs et de l'âge moyen de recrutement, du stock et des départs en retraite, une répartition par académie des enseignants titulaires et stagiaires. En graphiques : progression (en %) des effectifs pour chaque catégorie de personnels entre 1992 et 2005 ; proportion de femmes parmi les enseignants-chercheurs en 2004-2005, par grande discipline et tranche d'âges. En encadré : sources et méthode.
Les trente et un instituts universitaires de formation des maîtres ont accueilli à la rentrée 2004, près de 84 000 étudiants, professeurs stagiaires et titulaires en formation de longue durée. La baisse des effectifs amorcée en 2003 s'atténue à la rentrée 2004. Sept tableaux et un graphique présentent l'évolution des effectifs inscrits en IUFM depuis 1999-2000. Evolution des effectifs des IUFM. Répartition des effectifs d'IUFM selon les différents concours de recrutement. Répartition des effectifs 2004-2005 par IUFM (y compris spécialisation des professeurs titulaires). Répartition des effectifs de première année selon le sexe (en %). Situation en 2003-2004 des inscrits en première année d'IUFM en 2004-2005. Proportion d'étudiants titulaires de licence préparant le CRPE en IUFM en 2004-2005 et inscrits à l'université en 2003-2004 (en %). En encadrés : définitions, champ de l'étude et méthodologie.
A la rentrée 2004, 334 200 étudiants sont inscrits en IUT ou STS ; parmi eux, 31 % sont inscrits en IUT, 69 % dans une section de technicien supérieur. Les étudiants inscrits dans ces deux filières représentent 15% de l'ensemble des effectifs de l'enseignement supérieur court professionnalisant dans sa globalité. Cinq tableaux présentent l'évolution des effectifs de 1995-1996 à 2004-2005, répartissent les étudiants en IUT et STS par spécialité (services ou production) et par sexe, selon leur origine de baccalauréat, les effectifs par type de préparation, par sexe et par secteur. Le tableau 1 donne l'évolution des effectifs de 1995-96 à 2004-2005 ; le tableau 5 présente le taux d'accueil en IUT et STS des bacheliers selon la série du baccalauréat (formation initiale uniquement). En graphique : répartition des académies en fonction des taux d'accueil. En encadrés : sources et définitions.
En 2004, le nombre d'étudiants recevant une aide financière du ministère en charge de l'éducation nationale progresse de 1% pour s'établir à 516 000. La croissance du nombre d'étudiants aidés est plus modérée que les années précédentes ; en effet, la proportion de boursiers se stabilise à 30 %. Neuf tableaux montrent l'action sociale en faveur des étudiants (en millions d'euros), les bénéficiaires d'une aide de l'Education nationale entre 1997, 2001 et 2004, les plafonds de référence pour l'attribution des bourses sur critères sociaux en 1997, 2001 et 2004, les montants des aides en 1997, 2001 et 2004 pour les bénéficiaires d'une bourse sur critères sociaux (BCS), l'évolution du nombre d'étudiants boursiers sur critères sociaux selon l'origine sociale entre 1997 et 2004, les points de charge moyens déclarés par un boursier sur critères sociaux en 2004-2005, le rapprochement du barème de bourse et de l'échelle OCDE de calcul du niveau de vie d'un ménage, les effectifs et proportion d'étudiants aidés par académies. Sources et définitions en encadré.
A la rentrée 2004, la croissance du nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur français est moins soutenue (+ 0,5 %) qu'en 2003 et 2002. Ce ralentissement s'explique en particulier par la hausse plus modérée du nombre d'étrangers. Cinq tableaux, trois graphiques et une carte mettent en lumière les effectifs de bacheliers, les effectifs de l'enseignement supérieur, le taux de poursuite des bacheliers dans l'enseignement supérieur, les principales évolutions entre 2001 et 2004, les poids des différents cycles au sein de l'université, le poids des différentes filières en 2004-2005, la répartition des principales filières de l'enseignement supérieur en 2004-2005 en évolution par rapport à 2003-2004 et enfin l'évolution du nombre d'inscriptions dans l'enseignement supérieur entre les rentrées 2003 et 2004. Le taux d'accès à l'enseignement supérieur, définitions et méthodologie en encadré.
En 2004, 19136 dossiers déposés par des candidats à l'obtention d'un diplôme de l'enseignement professionnel ou technologique de l'éducation nationale par validation des acquis de leur expérience ont été examinés soit un tiers de plus qu'en 2003. Deux candidats sur cinq recherchent un BTS. Plus de 56% des candidats dont le dossier a été examiné par un jury ont obtenu un diplôme complet avec des différences selon le diplôme recherché et d'une académie à l'autre. En 2002 la VAE (validation des acquis de l'expérience) s'est substituée à la VAP (validation des acquis professionnels) dans le cadre des diplômes de l'enseignement professionnel ou technologique avec un champ d'application plus étendu. Contrairement à cette dernière, la VAE permet d'obtenir un diplôme complet. 7 tableaux et un graphique donnent le nombre total de candidats à la validation de 2000 à 2004, la répartition des candidats par sexe en 2002 , 2003 et 2004 selon leur situation professionnelle, selon leur âge, selon le diplôme postulé, la répartition des résultats académiques en fonction de la part des diplômes, le nombre de candidats par type de diplômes obtenus. En graphique : évolution du nombre de candidats à la validation et de personnes accompagnées entre 1995 et 2003. En encadré : définition de la VAE.
En 2004, on observe une forte hausse des diplômes octroyés par rapport à 2003. Quatre tableaux mettent en lumière la validation des acquis dans les universités et au CNAM en 2004, la validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2004, la répartition des bénéficiaires entre les différentes formations ou diplômes (en %) et la répartition des bénéficiaires selon l'âge. En graphiques : évolution de la validation des acquis de 1998 à 2004, répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi en 2004, répartition par catégorie socioprofessionnelle des bénéficiaires ayant un emploi selon le dispositif choisi. En encadré : les dispositifs de validation des acquis.
En 2003, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s'établit à 34,6 millards d'euros, la baisse en volume s'établissant à 1,4% par rapport à 2002. Cependant, pour 2004, il semblerait que la DIRD augmenterait pour atteindre 35,6 millards d'euros. La part de la DIRD dans le PIB est de 2,18%, en baisse pour la première fois depuis 2000. Néanmoins, la France se maintient au cinquième rang en matière d'effort de recherche. L'exécution et le financement des activités de recherche et développement (R&D) sont marqués par un recul du poids des entreprises, tandis que les dépenses de R&D dans le secteur public sont restées stables. En 2003, les effectifs de personnel en R&D augmentent plus faiblement, mais l'emploi de chercheurs progresse plus vite que celui des autres personnels de R&D. L'activté de recherche dans les entreprises reste concentré dans certains secteurs d'activité comme l'industrie pharmaceutique. L'activité publique de recherche, financée à 76% par des dotations budgétaires, est marquée par une progression des dépenses dans l'enseignement supérieur.
Après quatre années de hausse consécutive, les effectifs d'étudiants en classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) atteignent leur point le plus élevé depuis 1995 avec 73 150 étudiants. Trois tableaux mettent en lumière la répartition des élèves de classes préparatoires par discipline et année de préparation en 2004-2005, la situation des étudiants en première année, en 2003-2004, l'impact des différentes caractéristiques des étudiants sur leur probabilité de quitter la CPGE en première année. Deux graphiques montrent l'évolution du pourcentage de nouveaux bacheliers généraux et technologiques entrant en CPGE, la répartition des filières en terme de diversification sociale. En encadrés : source et définitions, la nouvelle procédure d'admission en CPGE, pour en savoir plus.
L'innovation et la recherche participent fortement à la croissance économique. Depuis plusieurs années, les pays de l'OCDE soutiennent les firmes innovantes en mettant en place des aides fiscales, différentes en poids selon les pays. Ces aides se sont développées, 16 pays de l'OCDE en 2003 avaient recours à celles-ci, contre 12 pays en 1996. Ces aides sont de 3 sortes : l'amortissement accéléré, l'abattement fiscal et le crédit d'impôt. Ces aides sont centrées sur l'activité de recherche & développement des entreprises considérées comme le coeur du processus innovant ; elles tiennent compte également d'autres coûts de l'innovation, comme les dépenses de développement industriel, la publicité, le design... Les dispositifs ont évolué, orientant les mécanismes d'incitations à l'innovation vers l'intégration de la sous-traitance de la recherche, la prise en charge des dépenses de coopération entre recherche publique et privée, ou celle de l'emploi de titulaires de doctorat. Cependant, les disparités sont importantes entre les mécanismes nationaux, dont les objectifs demeurent variés. En outre, les différents pays conservent parallèlement leurs aides directes à l'innovation. Les aides fiscales s'articulent avec l'ensemble du système fiscal national et dépendent de la fiscalité des autres pays développés.
Les effectifs dans les six principales filières de l'enseignement supérieur comptent 1927400 inscriptions, soit 0,2 % de plus que l'année précédente. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur, les bacheliers, le taux d'accueil des bacheliers dans les principales filières de l'enseignement supérieur, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, les entrants en troisième année en disciplines générales à l'université et les effectifs des universités hors IUT. Champ de l'étude, définitions et méthodologie en encadré.
Répartition des étudiants par académie et université et évolution (en %) par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 2003-2004 ; part des nouveaux bacheliers entrant à l'université. Proportion de femmes dans les effectifs universitaires, par discipline et cycle. Répartition par cycle des effectifs des grands établissements, des universités technologiques et des instituts nationaux poytechniques ; complément sur les étudiants inscrits dans ces établissements. En encadré : source et définitions ; complément sur les étudiants inscrits dans un grand établissement, dans un institut national polytechnique (INP) ou dans une université technologique (UT).
A la rentrée 2002, après l'obtention du baccalauréat, 88 % des bacheliers ont poursuivi leurs études. Un an après, 93,5 % suivent toujours une formation. Cinq tableaux répartissent (en pourcentages) le devenir des étudiants suivant l'orientation prise la première année après le bac, ceux qui sont inscrits à l'université, par filière, en classe préparatoire, en STS ou en IUT, suivant qu'ils continuent dans la même filière ou prennent une autre orientation. Quatre autres tableaux illustrent l'opinion qu'ont les nouveaux bacheliers, au cours de leur 2ème année d'études, sur leur filière de formation, les difficultés rencontrées, la satisfaction sur l'information reçue, le soutien pédagogique apporté. En graphiques : temps de travail personnel hebdomadaire, type de logement, pratique d'activités sportives ou artistiques. Source en encadré.
Si l'innovation est un facteur clef de la compétitivité économique, il est nécessaire de transférer et d'absorber des connaissances pour innover. La moitié des entreprises ont au moins une relation de coopération dans le domaine de la recherche et développement (R&D) et de l'innovation. Ces coopérations représentent un peu plus du quart de leur budget de R&D. La propension à coopérer augmente avec l'intensité de la R&D et l'intensité technologique, et celle-ci est plus fréquente dans les entreprises manufacturières de haute technologie et dans les entreprises de services en R&D. Les entreprises de petite taille ont une forte propension à coopérer et ceci tient au fait que le poids des entreprises de services est très important parmi elles. Plus des deux tiers des coopérations en R&D mises en place par des entreprises appartenant à un groupe se font avec des partenaires extérieurs au groupe et localisées dans une autre région de France. Ces coopérations hors groupe sont principalement motivées par l'acquisition et la création de ressources nouvelles. Lorsque la relation la plus stratégique est une relation hors groupe, pour 27% des entreprises, le partenaire est un laboratoire public ou universitaire de recherche. Les relations intra-groupes se distinguent par le fait qu'elles revêtent un caractère plus informel, qu'elles sont de long terme et imposées par le groupe.
Le choix d'orientation des bacheliers de la série S est guidé par l'importance qu'ils accordent au contenu des études qu'ils vont suivre et à leur insertion professionnelle. La baisse des inscriptions en DEUG scientifiques s'observe depuis 1995 (40 % contre 26 % en 2004 ; six sur dix s'orientent vers un premier cycle universitaire, deux sur dix vers une CPGE et deux sur dix encore vers une STS ou un IUT. Sept tableaux montrent les taux d'accueil des bacheliers S dans les principales filières du supérieur, les principales raisons avancées pour le choix de la série S (44 % par goût pour les matières scientifiques) et pour le choix de la filière, la part des bacheliers S inscrits en DEUG ayant déposé un dossier dans une filière sélective, la perception de leur formation et le diplôme ou concours envisagé à bac + 5, les principales attentes par rapport à leur futur métier. En graphiques : évolution des effectifs de bacheliers S et de nouveaux entrants en filière sciences, de 1995 à 2004, les opinions sur les débouchés assurés par les principales filières et sur la facilité à trouver du travail. En encadré : les raisons pour lesquelles les bacheliers S ne s'inscrivent pas dans un DEUG scientifique.
En hausse de 3 % par rapport à la rentrée précédente, l'effectif des élèves ingénieurs ne cesse de progresser. A la rentrée 2003, 98 000 élèves ont été recensés dans 227 écoles. Trois tableaux mettent en valeur les effectifs présents (dont étudiantes) en écoles d'ingénieurs en 2003-2004 et les diplômes décernés en 2003, la répartition par académie des effectifs présents dans les écoles d'ingénieurs publiques ou privées du ministère de l'Education nationale ou d'autres ministères, l'origine scolaire des nouveaux inscrits (en %). Deux graphiques montrent les évolutions des effectifs de 1990-91 à 2003-2004, les diplômes décernés de 1990 à 2003 et l'origine scolaire des nouveaux inscrits selon le type d'école fréquentée. En encadré : sources et définitions.
Après de fortes progressions d'effectifs depuis sa création en 1975, la filière STAPS connaît un ralentissement ; le nombre d'étudiants en STAPS évolue comme les autres disciplines universitaires. Quatre tableaux donnent la répartition des effectifs et nouveaux entrants en STAPS, en évolution de 1997-98 à 2003-2004, selon le cycle, en 2003-2004, la série de baccalauréat et le cycle, les impacts des différentes caractéristiques des nouveaux bacheliers en première année de DEUG sur la probabilité de réussir leur année. En graphiques : évolutions par rapport à l'année précédente des effectifs de la filière STAPS et de l'ensemble des disciplines depuis 1995, du nombre d'inscrits et de nouveaux entrants depuis 1994 ; l'origine sociale des étudiants, le baccalauréat obtenu : écart par rapport à l'ensemble des disciplines ; la réorientation des étudiants en première année de DEUG : poursuite en 2ème année, redoublement, autre discipline. Deux cartes montrent le pourcentage d'étudiants suivant leur formation en STAPS dans l'académie où ils ont obtenu leur baccalauréat et l'évolution entre 1997 et 2003. En encadré : source et champ.
Sur une cohorte de 146 604 étudiants entrant pour la première fois en licence en 1999, 65,1 % ont obtenu leur licence en un an, ce qui représente les deux tiers ; trois quarts d'entre eux l'obtiennent en deux ans. Sept tableaux et un graphique montrent les probabilités de réussite en licence en un an, deux ans ou trois ans selon l'origine de baccalauréat des étudiants, la discipline (probabilité plus forte en droit, STAPS et sciences de la nature et de la vie), le sexe (68,6 % des femmes réussissent en un an contre 59 % des hommes), l'origine socioprofessionnelle et l'établissement universitaire. En encadré : source et définitions.
En 2003, 17 710 personnes ont bénéficié d'une procédure de validation de leurs acquis. Quatre tableaux mettent en lumière la validation des acquis dans les universités et au CNAM en 2003, la validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2003, la répartition des bénéficiaires entre les différentes formations ou diplômes (en %) et la répartition des bénéficiaires selon l'âge. En graphiques : évolution de la validation des acquis de 1998 à 2003, répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi en 2003, répartition par catégorie socioprofessionnelle des bénéficiaires ayant un emploi selon le dispositif choisi. En encadré : les dispositifs de validation des acquis.
En 2002, 325 000 stagiaires ont été formés en formation continue dans l'enseignement supérieur. L'enquête a porté sur l'ensemble des établissements publics sous tutelle du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Huit tableaux donnent l'évolution de la formation continue dans l'enseignement supérieur entre 2001 et 2002, l'évolution du nombre de stagiaires par université, leur répartition, en 2002, selon leur statut (salariés, demandeurs d'emploi ou particuliers), la répartition des types de diplômes délivrés ; selon les régions : le nombre de stagiaires, heures-stagiaires en formations à distance, la part des fonds régionaux dans le chiffre d'affaires de la formation continue universitaire ; les universités, grands établissements et écoles publiques d'ingénieurs sont classés selon leur chiffre d'affaires. Quatre graphiques illustrent la répartition des stagiaires selon le type de formation, la part des stagiaires inscrits dans des formations diplômantes selon les régions, l'évolution entre 2001 et 2002 de la durée moyenne des formations, la part des différentes sources de financement. En encadré : le champ de l'enquête.
A la rentrée 2003, 330 100 étudiants sont inscrits en IUT ou STS ; parmi eux, 31 % sont inscrits en IUT, 69 % dans une section de technicien supérieur. Plus généraliste que le BTS, le DUT offre moins de spécialités. Trois tableaux répartissent les étudiants en IUT et STS par spécialité de la production ou des services et par sexe, selon leur origine de baccalauréat, pour les STS, les effectifs par type de préparation, par sexe et par secteur. Le tableau 4 donne l'évolution des effectifs de 1995-96 à 2003-2004 ; le tableau 5 montre l'impact des différentes caractéristiques des étudiants en première année sur leur probabilité d'être inscrits en IUT plutôt qu'en STS. En graphiques : répartition des académies en fonction des taux d'accueil, évolution des effectifs dans les domaines de la production et des services de 1996 à 2003. En encadrés : création et organisation des STS et des IUT, sources et définitions.
En 2001, 1 800 000 jeunes dans le monde poursuivent des études supérieures en dehors de leur pays d'origine. Ce nombre a progressé de près de 19 % entre 1999 et 2001. 46 % des étudiants scolarisés hors de leur pays d'origine viennent d'Asie ou d'Océanie, cinq pays se partagent un peu plus des trois quarts des étudiants expatriés : États-Unis, Royaume Uni, Allemagne, Australie et France. Les proportions les plus importantes d'étudiants étrangers sont en Australie et en Suisse. Des graphiques montrent la répartition par continent d'origine des étudiants scolarisés dans un des principaux pays de l'OCDE, la répartition des étudiants français selon leur pays d'accueil, la proportion d'étudiants étrangers par pays d'accueil. En encadré : sources et définitions de l'enquête UOE (Unesco, OCDE, Eurostat).