Pendant l'année universitaire 2006-2007, 90 000 enseignants ont été en fonction dans les établissements publics d'enseignement supérieur. Huit tableaux font apparaître le nombre d'enseignants et enseignants-chercheurs en fonction selon leur grade, la discipline, le type d'établissement, par tranche d'âges et par sexe, les enseignants titulaires d'un corps du second degré, une étude et comparaison des effectifs et de l'âge moyen de recrutement, du stock et des départs en retraite, une répartition par académie des enseignants en activité. En graphiques : évolution de l'effectif des personnels de 1992 à 2007, en pourcentages, par rapport à 1992 ; proportion de femmes parmi les enseignants-chercheurs, par tranche d'âges et discipline. En encadré : sources et méthode.
A la rentrée 2006, 2 254 400 étudiants sont inscrits dans les principales filières de l'enseignement supérieur. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières, les bacheliers, le taux de poursuite des bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, la comparaison entre le scénario tendanciel et le scénario de cadrage, les effectifs des universités et établissements assimilés hors IUT. En encadré : principales hypothèses retenues pour les prévisions.
En 2006, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur a diminué de 1,3 %. La baisse des effectifs concerne principalement les universités et les IUFM. Les filières des grandes écoles, par contre, continuent de progresser. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions à la hausse ou à la baisse entre 2001 et 2006, la répartition par académie des principales filières et l'évolution par rapport à 2005-2006, le poids des différentes filières du supérieur ; cinq graphiques illustrent l'évolution des effectifs de bacheliers, de l'enseignement supérieur, universitaires (hors IUT) par cycle, la proportion d'étrangers, la répartition des étudiants étrangers selon leur origine.
En 2002, la majorité des nouveaux inscrits en quatrième année à l'université ont obtenu un baccalauréat plus de quatre années plus tôt. Un tiers d'entre eux sont des bacheliers scientifiques ; les femmes sont majoritaires. Un quart des inscrits en 4ème année d'enseignement supérieur obtiennent un master, un DEA ou un DESS dans les délais prévus. La formation suivie l'année précédant l'inscription en 4ème année, la filière choisie et la série du baccalauréat ont influé sur la réussite. En encadré : source et définitions.
En 2006-2007, 1 404 100 étudiants sont inscrits dans les 81 universités publiquesfrançaises et les deux centres universitaires de formation et de recherche. Les inscriptions de nouveaux bacheliers diminuent (moins 2,4 % en cursus licence) mais les effectifs en cursus master et doctorat restent stables. Les formations de santé rencontrent pour la cinquième année consécutive une forte augmentation, mais les effectifs de STAPS diminuent à nouveau. Les étudiants du cursus licence représentent 62,9 % de l'ensemble, ceux du cursus master 32,2 % et ceux du cursus doctorat 4,9 %. Quatre tableaux donnent la répartition des étudiants par discipline et cursus LMD, la part des nouveaux bacheliers qui entrent à l'université, les effectifs universitaires par académie et université et l'évolution (en %) par rapport à l'année précédente, la proportion de femmes, d'étudiants étrangers et de non-bacheliers de nationalité étrangère dans les effectifs universitaires (en %). Complément sur les étudiants inscrits dans un grand établissement, dans un institut national polytechnique (INP) ou dans une université technologique (UT) : répartition selon le cursus LMD des effectifs dans ces établissements. Un graphique met en relief l'évolution du nombre d'étudiants étrangers non-bacheliers entre 2005 et 2006. En encadrés : source et définitions ; pour en savoir plus.
En 2006, 22 284 dossiers déposés par des candidats à l'obtention d'un diplôme de l'enseignement professionnel ou technologique de l'Éducation nationale par validation des acquis de leur expérience ont été examinés, soit près de 4 % de plus qu'en 2005. Un candidat sur trois recherche un BTS et l'obtient dans 58 % des cas ; les diplômes de niveau V (CAP-BEP) occupent une place moins importante, mais sept candidats sur dix à un CAP obtiennent leur diplôme complet. 7 tableaux donnent : le bilan de l'activité des DAVA (dispositif académique de validation des acquis) de 1995 à 2006, le nombre total de dossiers examinés par un jury de 2000 à 2006, la répartition des dossiers examinés selon les caractéristiques des candidats (sexe, âge) entre 2002 et 2006, selon le diplôme postulé ; en 2006 : répartition par diplôme des candidats selon qu'ils ont obtenu le diplôme complet ou une partie du diplôme, les diplômes les plus demandés en VAE, les résultats par académie. En graphique : candidats à la VAE ayant bénéficié d'un accompagnement de la part de l'Éducation nationale de 1995 à 2006. En encadré : définition.
The first edition of The State of Higher Education and Research presents a detailed overview, backed up by figures, of current developments within the French system, the resources it deploys and its outcomes, situating it, wherever data permit, in relation to its international counterparts.
This first edition of Higher Education and Research, Facts and Figures is more than a mere inventory of a system: it is designed as an informational tool to be used by all. It illustrates the political and strategic choices made on behalf of the Nation and, in the interests of transparency, it reports on the effectiveness of public policy: democratisation of higher education, success in university studies, outcomes for students, research effort, scientific publications, staff situations, etc.
En 2005, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s'élève à 36,7 milliards d'euros et est estimée à 38 milliards d'euros en 2006. La DIRD progresse ainsi à un rythme stable depuis 3 ans. Cinq tableaux donnent l'évolution du ratio DIRD/PIB des principaux pays de l'OCDE, la répartition des effectifs de recherche des entreprises et des administrations en 2005, les dépenses intérieures de R&D des entreprises et financements publics reçus par branche de recherche en 2005, l'importance et la nature des financements publics reçus par les entreprises selon leur taille en 2005, les dépenses intérieurs de R&D des administrations par secteur d'exécution en 2005. En graphiques : évolution en volume des composantes de la DIRD entre 2003 et 2005, le financement et l'exécution de la recherche en 2005, l'évolution en volume du PIB et des composantes de la DIRD et de la DNRD entre 2002 et 2006, la DERDE et ses composantes entre 2003 et 2005, les financements extérieurs de la DIRDE entre 2003 et 2005, la répartition de BCRD 2005 par objectifs socio-économiques, la structure du financement de la recherche publique en 2005. En encadrés : avertissement méthodologique ; les aides publiques à la recherche en entreprise : financements directs et mesures fiscales ; sources et définitions.
En 2006, dans l'enseignement supérieur, 1842 diplômes ont été octroyés dans leur totalité au titre de la validation des acquis de l'expérience (VAE). Quatre tableaux mettent en lumière la validation des acquis dans les universités et au CNAM en 2006, la validation des acquis dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2006, la répartition des bénéficiaires entre les différentes formations ou diplômes (en %) et la répartition des bénéficiaires selon l'âge. En graphiques : évolution de la validation des acquis de 1998 à 2006, évolution de 2002 à 2006 (répartition entre VAE et diplômes complets), répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi, répartition par catégorie socioprofessionnelle des bénéficiaires ayant un emploi selon le dispositif choisi. En encadrés : source ; les dispositifs de validation des acquis.
Les trente et un IUFM ont accueilli à la rentrée 2006-2007 en première année 48 546 étudiants pour la préparation aux concours de l'enseignement et en seconde année 24 547 professeurs stagiaires. En outre 1560 professeurs titulaires se destinant à l'enseignement spécialisé y ont suivi une formation. Figurent les effectifs par concours préparé et concours réussi ainsi que la répartition géographique de la population. Les variations d'effectifs depuis 1991 sont exposées.
Le nombre d'étudiants dans les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) s'établit à 76 200 étudiants. Après six années consécutives de hausse, les effectifs croissent encore de 1,8 % par rapport à la rentrée 2005. L'augmentation des effectifs se produit dans tous les secteurs et dans toutes les filières. L'évolution des nouveaux entrants en CPGE est comparable à celle des bacheliers de la session 2006. Trois tableaux et deux graphiques donnent la répartition des élèves des CPGE par filière et année de préparation, le taux d'accueil et de poursuite par académie, la répartition par voie de CPGE entrant en première année, l'évolution du pourcentage de nouveaux bacheliers généraux et technologiques entrant en CPGE, la répartition des voies de CPGE selon l'origine sociale et l'âge relatif des étudiants de première année. En encadré : source et définitions.
A la rentrée 2005, 66 % des 125 000 étudiants ayant obtenu, au cours de l'année, une licence dans une université française poursuivent leurs études, majoritairement dans la même discipline, en master à l'université et 12 % s'inscrivent dans un institut universitaire de formation des maîtres. 80 % des licenciés sont titulaires d'un baccalauréat général et 66 % sont des femmes ; l'âge moyen d'obtention du diplôme est 23 à 24 ans. Le devenir des licenciés varie avec l'âge, le sexe et l'origine sociale.
En 2004, la formation continue dans l'enseignement supérieur accueille 427 000 stagiaires, dont une part toujours plus grande de demandeurs d'emploi et d'individuels payants. L'enquête a porté sur l'ensemble des établissements publics sous tutelle du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Huit tableaux donnent l'évolution de la formation continue dans l'enseignement supérieur entre 2002 et 2004, la répartition des stagiaires par type de statut, les diplômes délivrés en formation continue, les publics de particuliers inscrits aux conférences inter-âges, les vingt premières universités qui proposent des formations à distance, la répartition des stagiaires selon les spécialités de formation en 2002-2004 dans les universités (y compris IUT et INP), la répartition des recettes de la formation continue dans les universités et INP, écoles et CNAM (en %). En graphiques : répartition des stagiaires selon le type de formations dans les universités, évolution de la durée de formation par statut des stagiaires des universités entre 2002 et 2004. En encadré : le champ de l'enquête.
A la rentrée 2006, les sections de techniciens supérieurs ont accueilli un peu plus de 210 000 étudiants, recrutés après le baccalauréat. Quatre tableaux donnent la répartition des étudiants par groupe de spécialités, par secteur (public ou privé) du ministère de l'Education nationale et des autres ministères (hors Agriculture), par sexe ; l'évolution des effectifs de STS par secteur d'activité de 1996 à 2006, la série de baccalauréat d'origine des étudiants, les académies de départ et d'arrivée des étudiants migrants. En encadré : sources et définitions.
A la session 2006, 102 150 brevets de techniciens supérieurs ont été délivrés en métropole et dans les DOM par le ministère de l'Education nationale, soit 390 de moins qu'à la session 2005. Six tableaux donnent la réussite au BTS selon le type de formation suivie, selon le diplôme initial, selon le domaine de spécialité et le sexe, selon la PCS du chef de famille. Un tableau donne la réussite au BTS par académie de France métropolitaine et des DOM. En graphiques : évolution du nombre de BTS délivrés entre 1976 et 2006, répartition des candidats du BTS selon la formation suivie de 1995 à 2006, répartition des candidats et taux de réussite selon le diplôme initial, évolution du taux de réussite selon la formation des candidats entre 1995 et 2006. Carte : taux de réussite au BTS par académie. En encadré : pour en savoir plus.
En 2005, 522 000 étudiants reçoivent une aide de l'Education nationale (soit 1,3 % de plus qu'en 2004). La progression du nombre de boursiers est plus forte que celle de la population éligible. 72,5 % des étudiants boursiers sont inscrits à l'université. Ce taux progresse régulièrement et atteint 28.8 %, mais les STS restent le type de formation où la part des boursiers est la plus forte (42,8 %). On constate un élargissement des aides vers les classes moyennes. En encadré : sources et définitions.
Entre 2002 et 2004, 92 % des entreprises ayant une activité interne de recherche et développement ont mis en place des activités d'innovations de produit ou de procédé contre 25 % de l'ensemble des entreprises en France et 36 % des entreprises industrielles. Trois tableaux montrent la part (en pourcentage) des entreprises innovantes selon le nombre de salariés, le secteur d'activité, l'appartenance ou non à un groupe français ou étranger ; la proportion à innover pour le marché et la part du chiffre d'affaires induit ; l'importance de l'environnement, des sources externes d'information et de l'existence d'autres types d'innovations pour les entreprises innovantes en produit. En graphiques : comparaison des caractéristiques générales des entreprises innovantes et non-innovantes, répartition des branches de recherche des entreprises ayant introduit des produits nouveaux pour le marché, poids des produits nouveaux dans le chiffre d'affaires. En encadrés : définitions, sources des données.
A la rentrée 2005, près de 111 300 étudiants sont inscrits à la préparation du diplôme universitaire de technologie, soit une hausse de 200 étudiants par rapport à la rentrée 2004. Sept tableaux répartissent le taux d'accueil en IUT des bacheliers 2005 selon la série du baccalauréat, l'effectifs total et les nouveaux bacheliers par spécialité de DUT, par sexe, les nouveaux bacheliers entrant en première année d'IUT par académie, le taux de réussite en deux et trois ans des étudiants qui ne se sont pas réorientés : par spécialité, par série du baccalauréat, par sexe et secteur, par établissement. En encadré : source et définitions.
La réussite en licence professionnelle des étudiants inscrits pour la première fois dans cette formation à la rentrée 2003 est particulièrement élevée : 85,3 % réussissent la 1ère année. Les bacheliers généraux représentent la moitié de la population des inscrits. Les chances de succès varient selon l'établissement d'inscription, les caractéristiques sociodémographiques, les origines scolaires, la série et l'ancienneté du baccalauréat, le domaine de formation choisi. Un étudiant sur six poursuit l'année suivante en université ou en IUFM. En encadré : source et définitions.
Huit nouveaux bacheliers inscrits en première année de licence à la rentrée 2006 sur dix déclarent être dans la formation qu'ils souhaitaient en fin de terminale. Plus de deux étudiants sur trois n'ont pas cherché à s'inscrire ailleurs qu'à l'université, 32 % déclarent avoir déposé au moins un dossier dans une filière sélective. Internet occupe une place croissante dans l'information des bacheliers ; près de trois étudiants sur quatre se déclarent satisfaits des informations reçues sur leur orientation. Le choix de la formation est déterminé par l'intérêt du contenu des études, par la spécialité de la licence, par la confiance à l'égard des débouchés possibles. Moins d'un nouvel étudiant sur dix n'a aucune idée de ce qu'il veut faire : un sur trois veut devenir enseignant ; ils sont de moins en moins aidés financièrement par leurs parents.
Le relèvement, entre 1997 et 2002, du numerus clausus - qui fixe le nombre d'étudiants autorisés à poursuivre en deuxième année de médecine ou en odontologie - a eu pour effet d'augmenter l'attractivité des études médicales. 95 % des étudiants sont titulaires du baccalauréat scientifique et les filles représentent 67 % des étudiants de première année. La réussite au concours dépend fortement du parcours antérieur (graphique 2 sur l'âge d'obtention du baccalauréat) et est également liée aux origines sociales (graphique 1). $12% des bacheliers de la session 2002 ont accédé à l'issue de la première année de médecine à la seconde année; 70% de ceux qui ont échoué se réinscrivent en première année (graphique 3).
D'après les premières estimations, le nombre d'étudiants inscrits à la rentrée 2006 dans les principales formations de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS), augmenterait de 0,1 %. Cinq tableaux mettent en lumière l'évolution des effectifs et les flux d'entrée en première année pour les années 1990-91, 1995-96, 2000-2001, 2005-2006 et 2006-2007, l'évolution des nouveaux bacheliers de 1990 à 2006, les effectifs inscrits en 2006 dans les universités et établissements assimilés (hors IUT) et, par académie, l'évolution des inscriptions en première année, entre 2005-2006 et 2006-2007. En encadré : définitions, sources et méthode d'estimation des effectifs.
Les trois quarts des bacheliers inscrits dans une filière générale de l'université après leur baccalauréat sont sortis du système éducatif avec un diplôme de l'enseignement supérieur. Plus de 60 % ont obtenu un diplôme universitaire. Les plus nombreux des bacheliers extraits du panel se sont inscrits en DEUG (36 %). De grandes disparités d'accès à un diplôme universitaire apparaissent selon le parcours antérieur des bacheliers. En tableaux et en graphiques : taux d'inscription selon leur mention au bac, devenir la deuxième année, devenir et réussite selon qu'ils sont dans la filière de leur choix, selon les spécialités de DEUG ; impact des différentes caractéristiques des bacheliers inscrits en DEUG sur leur probabilité de sortir de l'université avec un diplôme (sexe, âge, PCS, spécialité de DEUG, motivation). En encadré : source.
Les effectifs des trente et un instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) s'élevaient, à la rentrée 2005, à près de 82 000, dont 62 % d' étudiants, 36 % de fonctionnaires stagiaires et 2 % de fonctionnaires titulaires en formation de longue durée. La population est majoritairement féminine (tableau 3). Les tableaux 1 et 2 présentent l'évolution des effectifs inscrits en IUFM depuis la rentrée 1999-2000. Un graphique compare les âges des étudiants de première année d'IUFM et des inscrits en bac plus 4 à l'université. Six tableaux sont consacrés aux étudiants de première année. En encadrés : champ de l'étude ; méthodologie de couplage des fichiers SISE - IUFM ; l'intégration des IUFM.
En 2005, dans l'enseignement supérieur, la validation des acquis de l'expérience (VAE) confirme sa progression avec une hausse de 21,3 % de validations délivrées. Quatre tableaux mettent en lumière la validation des acquis dans les universités et au CNAM en 2005, la validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2005, la répartition des bénéficiaires entre les différentes formations ou diplômes (en %) et la répartition des bénéficiaires selon l'âge. En graphiques : évolution de la validation des acquis de 1998 à 2005, répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi, répartition par catégorie socioprofessionnelle des bénéficiaires ayant un emploi selon le dispositif choisi. En encadrés : source ; les dispositifs de validation des acquis.
Pendant l'année universitaire 2005-2006, 89 366 enseignants ont été en fonction dans les établissements publics d'enseignement supérieur. Huit tableaux font apparaître le nombre d'enseignants et enseignants-chercheurs en fonction selon leur grade, la discipline, le type d'établissement, par tranche d'âge et par sexe, les enseignants titulaires d'un corps du second degré, une étude et comparaison des effectifs et de l'âge moyen de recrutement, du stock et des départs en retraite, une répartition par académie des enseignants titulaires et stagiaires. En graphiques : évolution de l'effectif des personnels de 1992 à 2006, en pourcentages, par rapport à 1992 ; proportion de femmes parmi les enseignants-chercheurs, par tranche d'âges et discipline. En encadré : sources et méthode.
Les étudiants étrangers représentent en 2005 plus d'un étudiant sur dix ; plus d'un tiers d'entre eux sont inscrits dans un établissement d'Ile-de-France. La grande majorité des étudiants étrangers s'oriente vers les universités mais les choix d'orientations sont très différents selon le pays d'origine. Le tableau 1 présente, par type d'établissement, les effectifs et le poids des étrangers depuis 1998-1999 ; le graphique 1 donne la répartition dans les trois cycles en 2005 et le graphique 2 dans les disciplines. Le tableau 3 donne la répartition selon l'origine géographique et la part des femmes et le tableau 4 par nationalité et formation. La nationalité la plus représentée est la nationalité marocaine ; la nationalité en plus forte augmentation est la nationalité chinoise. En encadré : source et définitions.
A la rentrée 2005, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur français progresse très faiblement : la hausse générale est due aux étudiants étrangers ; le nombre d'étudiants français diminue. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions à la hausse entre 2001 et 2005, les poids des différentes filières du supérieur en 2005-2006, la répartition par académie des principales filières en 2005-2006 et l'évolution par rapport à 2004-2005, la répartition des étudiants français selon la PCS du chef de famille en 2004 ; quatre graphiques illustrent l'évolution des effectifs de bacheliers, les taux d'accès d'une génération à l'enseignement supérieur par série du baccalauréat et par type de formation, l'évolution des effectifs universitaires (hors IUT) par cycle. En encadré : définitions.
This atlas presents the numbers of students enrolled in institutions and programmes of higher education, as recorded in the information systems and surveys of the Ministry of National Education, Higher Education and Research, the Ministry of Agriculture, Food, Fishing and Rural Affairs and the Ministry of the Family and Social Protection. The combination of the above resources can sometimes lead to an incremental number of duplicate records of students enrolled in the higher education system. This is because the same student may enrol in several programmes and may be counted more than once if assigned a different identification number for each enrolment.
The geographic unit used in the present document is the 'urban unit', or agglomeration; for the Ile-de-France region, the commune is the geographic unit of reference.