Effectifs d'étudiants inscrits dans les IUT de 1995-96 à 2000-2001, avec variation annuelle (tabl. I). Taux d'accueil des bacheliers 1999 et 2000 par série de bac (tabl. II et III). Effectifs et flux d'entrée par académie, taux d'accueil 1997-98, 1998-99, 1999-2000, 2000-2001 (tabl. IV et cartes). Effectif total, dont femmes, et nouveaux entrants par spécialité et type de bac, avec évolution par rapport à 1999-2000. Répartition des étudiants par CSP des parents (graphique). Encadrés : le concept de nouvel entrant ; le DNTS et les diplômes post-DUT ; source.
Le nombre d'inscriptions dans les principales filières semble se stabiliser depuis deux ans (tabl. IV) ; en effet, le fléchissement des effectifs en 1er cycle est compensé par la progression des 2e et 3e cycles. La baisse du nombre de nouveaux bacheliers (tabl. I) entraîne un recul du flux d'entrée dans toutes les disciplines universitaires, y compris IUT, alors que le nombre de nouveaux inscrits en STS et CPGE reste stable (tabl. II et III) ; il existe cependant des variations académiques (tabl. V). Les filières scientifiques ont perdu 5 % d'étudiants en 5 ans (encadré pp. 3-4). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites (p. 6).
Evolution des dépenses intérieures (DIRD) et nationales (DNRD) de recherche et développement entre 1994, 1998, 1999 et 2000. Répartition des financements entre les administrations et les entreprises, celles-ci jouant un rôle accru. Evolution des dépenses et des financements publics en direction des entreprises. Répartition par branche de la R&D des entreprises. Evolution des effectifs de chercheurs et spécialisation régionale. Encadrés : méthodologie, sources et définitions ; la R&D dans les technologies de l'information et de la communication ; estimations 2000 et perspectives 2001.
En 1999, 81 universités préparent au DEUG. Le taux de réussite national à ce diplôme atteint 79,7 % en tenant compte d'une durée d'obtention de 2 à 5 ans ; il est de 45,5 % après deux années et de 68,8 % après 3 années de 1er cycle. Selon les universités et leurs spécialisations, ce taux varie de 41,8 % à 100 %. Il varie aussi selon la discipline choisie et la série du baccalauréat obtenu.
Répartition des effectifs en 2000-2001 par concours préparé, année d'études, académie. Répartition des effectifs de première année selon le sexe et le concours préparé, en pourcentages. Spécialisation des professeurs des écoles titulaires. Aides-éducateurs inscrits en IUFM. Evolution des effectifs inscrits en IUFM depuis 1991-92, par académie, par année d'IUFM. Encadrés : les IUFM ; définitions ; champ de l'étude ; le CAFEP.
Suite à une transformation du mode d'enquête, il a été possible cette année de jeter un regard rétrospectif sur l'évolution des études doctorales depuis une dizaine d'années. Le nombre de thèses soutenues a été en perpétuelle évolution entre 1991 et 1996 en augmentant en moyenne de 4% par an. Suivi de cohortes de DEA jusqu'à leur soutenance en fonction des disciplines. Concurrence au sein des universités entre les DEA et les DESS, imbrication croissante des filières académiques et professionnelles. Financement et durée des thèses. Premiers résultats de l'insertion des docteurs : deux tiers de ceux-ci occupent un emploi stable.
Sur les 195 licences professionnelles créées à la rentrée 2000, 178 ont été mises en place dans l'ensemble des académies, accueillant 4364 étudiants (tabl. 1). Les 2/3 des inscrits et des diplômes ouverts se trouvent dans le secteur des services (tabl. 3) et plus de 60 % des étudiants sont des hommes. Des données sont également fournies sur l'âge (graph.), la répartition Français/étrangers, et l'origine sociale et scolaire des inscrits en licence professionnelle par rapport à ceux des licences classiques (tabl. 4 à 7). En encadré, indications sur la création de ce diplôme et sources du document.
Avec plus de 45000 étudiants inscrits dans cette filière à la rentrée 2000, les effectifs ont quadruplé en 10 ans. Toutes les académies proposent maintenant une formation dans ce domaine, mais la répartition géographique est hétérogène (tabl. 8) et le 3e cycle encore peu suivi (tabl. 2 et 9). Parmi les étudiants, dont l'origine sociale est diversifiée (tabl. 7), à peine un tiers sont des femmes (tabl. 1 et graph. 2) et moins de 2% des étrangers ; une majorité est titulaire d'un bac scientifique ( tabl. 5 et 6). En encadré : source.
Après une augmentation entre 1988 et 1993, cet effort a baissé au cours des 5 années suivantes, cependant que le poids des investissements de groupes étrangers en France dans ce domaine augmentait. Les activités de recherche et développement ont connu des recentrages et une croissance du financement propre. Elles sont concentrées dans les entreprises de grande taille et spécialisées dans les secteurs de haute technologie. En encadré : place des groupes étrangers ; méthodologie.
Avec 11 150 bénéficiaires en 1999, l'activité de validation des acquis professionnels des universités et du CNAM se développe à un rythme rapide (+ 18,6 % par rapport à 1998).
En particulier, la validation instaurée par la loi de 1992 (sous la forme de dispenses d'une partie des épreuves pour obtenir un diplôme) représente 12 % des validations en 1999 et a progressé de 53 % ; la hausse est principalement marquée dans les formations spécialisées.
Trois universités sur quatre la pratiquent de manière effective.
Ce qui offre des perspectives pour la mise en oe?uvre dela prochaine loi de modernisation sociale sur la validation des acquis de l?expérience.
Répartition entre les principales filières : constats 1999-2000 et 2000-2001, prévisions 2001-2002 et 2002-2003 et variations. Effectifs des bacheliers par type de bac : constats 1999, 2000, prévisions 2001, 2002 et variations. Taux d'accueil des bacheliers, par type de bac, dans les principales filières de l'enseignement supérieur (y compris grandes disciplines universitaires) en 1990 et de 1995 à 2000 et projections 2001 et 2002 ; entrée des nouveaux bacheliers, par type de bac, dans les principales filières de l'enseignement supérieur de 1995-96 à 2000-2001 et prévisions pour 2001-2002 et 2002-2003. Constats 1999-2000 et 2000-2001, et projections 2000-2001 et 2001-2002, variations en effectifs et en pourcentage : flux d'entrée en 1ère année, effectifs universitaires par discipline. Taux d'accès en 2nd cycle, en 1990-91et de 1995-95 à 2000-2001 et projections 2001-2002 et 2002-2003. Encadrés : prévisions et réalisations ; champ de l'étude, définitions et méthodologie.
A la rentrée 2000, les 138 343 étudiants inscrits en langues représentaient 9,7 % des effectifs universitaires. Ce nombre, en baisse depuis 1994 (tabl. 1), voit sa répartition évoluer entre les secteurs de la filière (tabl. 2 et graph. 1) : français langue étrangère (FLE) ; lettres, langues et civilisations étrangères ; langues étrangères appliquées (LEA) ; cultures et langues régionales. Le choix de la spécialité est lié à la situation géographique (cartes p. 4) et à l'origine scolaire (majorité de bacheliers littéraires, tabl. 5 et 6) des étudiants, dont les 3/4 sont des femmes (tabl. 1). Sur les 103 langues proposées, l'anglais accueille la majeure partie des effectifs (tabl. 3). Encadré : source et définitions.
Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 1999-2000 ; part des nouveaux bacheliers entrants à l'université. Part des femmes selon les disciplines et les cycles ; pourcentage d'étudiants étrangers. Répartition par discipline selon les académies, y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs.
Une étude a été menée auprès d'un échantillon d'entreprises ayant un budget recherche et développement important (voir méthodologie). Les dépenses faites à l'étranger dans ce domaine sont concentrées dans quelques secteurs et principalement en Europe. La majorité des centres ont moins de 10 ans et les 3/4 d'entre eux sont le résultat de rachats. Les centres rachetés ont une faible autonomie et travaillent à la fois pour le marché mondial et l'adaptation au marché local. Les centres créés se consacrent surtout au développement d'innovations pour le marché mondial.
Cette étude s'appuie sur les résultats du suivi d'une cohorte de bacheliers depuis l'année 1996-97. L'admission en classe préparatoire est fortement liée à la scolarité antérieure des élèves (âge et absence de redoublement, mention au bac), mais aussi au rôle des enseignants. Par ailleurs, les garçons s'orientent plus souvent que les filles vers cette filière, dont les élèves appartiennent majoritairement à des CSP aisées. $Si la plupart se disent satisfaits de cette formation, leur parcours et leur devenir sont ensuite différents selon les spécialités .
Le nombre d'étudiants étrangers inscrits dans une université de France métropolitaine en 1999-2000 s'élevait à 129000, soit une augmentation de 6 % par rapport à 1998-99 ; ils représentent 9,2 % de l'ensemble des effectifs universitaires (tabl. 1). Les étudiants étrangers s'orientent davantage que les Français vers les disciplines littéraires, économiques et de santé (tabl. 2) et s'inscrivent plus souvent en 3e cycle (tabl. 3). La répartition selon le pays d'origine et le sexe (plus de 50 % de femmes) a évolué deouis 1985. Les étudiants étrangers sont concentrés en Ile-de-France et dans les grandes villes de province (tabl. 5).
86000 étudiants suivent des études artistiques et culturelles dans 387 établissements d'enseignement supérieur, contre 73300 en 1994-95. Ils sont inscrits dans les écoles des beaux-arts, les universités (plus de 50 %) ou préparent un BTS, un DMA ou un DSAA. D'autres diplômes sont proposés par de nombreuses écoles d'art, surtout privées. Parmi les étudiants, la plupart sont titulaires du baccalauréat, surtout littéraire option art ; près de 60 % sont des femmes et 42 % sont inscrits en Ile-de-France. En 1998, plus de 26000 diplômes d'art ont été délivrés.
Evolution (1989-90 à 2000-2001) par type de classe. Effectif par type détaillé de classe et par année, par tutelle, pourcentage de filles (avec graphique sur l'évolution du taux de féminisation). Les entrants par type de classe et selon le bac obtenu (majorité de bacheliers scientifiques). Répartition des effectifs par académie et type de classe, poids de l'académie, comparaison avec 1999-2000.
France sans TOM : Evolution : de 1990-91à 2000-2001, public, privé, ensemble (graph. 1) ; de 1993-94 à 2000-2001, répartition public/privé, pour Education nationale, agriculture, autres ministères (tabl. I). Effectifs 2000-2001 : par ministère et type de formation, sexe, public, privé, total (tabl. II). Répartition par domaine de spécialité (tabl. III), et, pour les entrants en 1ère année, origine scolaire (tabl. IV), âge et sexe (graph. 2). Effectifs par académie et ministère, poids de l'académie (tabl. V). Encadré : sources et définitions.
Une grosse majorité de bacheliers s'inscrit dans l'enseignement supérieur dès l'obtention du diplôme : 82,5 % en 1999 (tableau II). Poursuite d'études et choix des filières différent selon les séries du baccalauréat (graphiques 1 et 2, tableau III), les bacheliers généraux étant les plus nombreux à entreprendre des études supérieures, surtout longues, avec des orientations spécifiques selon la série du bac. Les bacheliers technologiques choisissent majoritairement des filières courtes et les bacheliers professionnels qui poursuivent leurs études sont encore minoritaires. Encadrés : calcul des taux de poursuite d'études ; développement de l'apprentissage dans l'enseignement supérieur.
En 20 ans, les formations dans ce domaine se sont diversifiées et développées quantitativement. Plus de 55000 élèves sont répartis dans 215 écoles, dont statut, cursus et recrutement diffèrent. Ce dernier se fait souvent après une classe préparatoire, de moins en moins après le bac, de plus en plus fréquemment sur titre. Les élèves issus de CSP favorisées sont majoritaires, cependant que la part des femmes augmente.
En 1999, près de 80 % des étudiants inscrits dans la filière ont obtenu un DEUG, pourcentage en augmentation par rapport à 1998. Le DUT est obtenu par plus de 87 % des étudiants, pourcentage stable en 1998 et 1999. Le taux de réussite varie selon le parcours scolaire antérieur, les filières, le sexe, la CSP des parents. Le pourcentage de diplômés poursuivant leurs études en 2e cycle universitaire augmente (90,7 % des titulaires du DEUG en 1998, 93,5 % en 1999 ; 33 % des titulaires du DUT en 1998, 40,6 % en 1999). Sources, définitions et méthodologie précisent les indicateurs.
Evolution des effectifs de l'enseignement supérieur par type d'établissement avec leur poids respectif. Evolution des effectifs du privé. Taux d'inscription des bacheliers dans l'enseignement supérieur (université, IUT, STS, CPGE, autres établissements) par type de bac. Evolution des effectifs par cycle, discipline, filière (filières courtes, filière des grandes écoles). Evolution géographique des effectifs universitaires et poids des différents cycles. Répartition par académie des principales filières de l'enseignement supérieur en 1999-2000. Encadrés : établissements et filières de l'enseignement supérieur ; définitions.
Rappels des effectifs de bacheliers en 1990, 1995, 1999 et 2000 (estimés en octobre). Flux d'entrée dans les principales filières du supérieur pour ces mêmes années et rappels des effectifs globaux d'étudiants inscrits, montrant une stabilité d'ensemble. Raisons de l'inscription en DEUG et filière souhaitée. Inscriptions par académie en université, IUT, STS, CPGE estimés en 2000-2001. En encadré : source et méthode d'estimation des effectifs ; résultats de l'enquête auprès d'un échantillon de nouveaux étudiants.
Sur les 25180 bacheliers de 1999 de l'académie de Grenoble, 12800 se sont inscrits dans une université (IUT inclus), dont 9870 dans l'académie et 2930 ailleurs (graph. 1 et 2) ; parallèlement, seulement 1220 nouveaux bacheliers d'une autre académie se sont inscrits dans l'académie de Grenoble. L'académie est donc déficitaire, avec des "sortants" en arts et en médecine surtout, cependant qu'IUT et sciences et technologies en général représentent les filières les plus attractives (graph. 3 et 4). Les proportions d'"entrants" et de "sortants" sont donc différentes selon la série du bac et la discipline choisie à l'université.
Evolution des effectifs : de STS sous statut scolaire de1993-94 à 1999-2000 (tabl. I), d'apprentis préparant un diplôme de niveau III de 1995-96 à 1999-2000 (tabl. IV). Effectifs d'élèves (public, privé, ensemble) en 1999-2000 : par sexe, type de préparation et répartition éducation nationale/agriculture/autres ministères. Répartition des élèves selon le domaine de spécialité et, pour les entrants en 1ère année, selon l'origine scolaire (graph. I : élèves ; graph. II : apprentis). Effectifs par académie, statut et secteur en 1999-2000. Encadré : sources et définitions.