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MENESR-DGESIP/DGRI-SIES

Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Direction générale de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle
Direction générale de la recherche et de l'innovation
Service de la coordination des stratégies de l'enseignement supérieur et de la recherche
Sous-direction des systèmes d'information et des études statistiques - SIES

1 rue Descartes, 75231 Paris Cédex 05

Les pages mobilisant cette source :

enseignement supérieur

À la rentrée 2012, le nombre d’étudiants aidés s’établit à plus de 650 000, soit environ 36 % de la population concernée. Au total, l’aide financière et sociale en leur faveur atteint quasiment 6 milliards d’euros en 2012, contre 3,5 milliards en 1995. [lire la suite]

En 2012-2013, on compte 2 387 000 étudiants, 8 fois plus qu’en 1960. Ces 10 dernières années, c’est l’enseignement supérieur privé qui a concentré l’essentiel de ce dynamisme. Il représente près de 18 % des effectifs d’étudiants. Depuis 1960, l’offre de formation s’est diversifiée et, désormais, moins d’un étudiant sur deux est inscrit dans une filière générale de l’université. [lire la suite]

Environ 80 % des bacheliers 2012 s’inscrivent immédiatement dans l’enseignement supérieur, y compris en alternance. Plus de la moitié des bacheliers généraux s’inscrivent à l’université mais c’est près de 10 points de moins qu’en 2000. Plus d’un bachelier technologique sur deux s’inscrit dans une filière professionnelle courte. Les bacheliers professionnels dont les effectifs ont considérablement augmenté avec la réforme de la voie professionnelle sont de plus en plus nombreux à s’inscrire dans l’enseignement supérieur. [lire la suite]

En 2012, les bacheliers généraux représentent 80,3 % des nouveaux bacheliers inscrits en université (hors IUT). Leur part dans les entrants en IUT a crû de 4 points depuis 2003 et atteint 69,7 % en 2012. Les STS recrutent encore principalement des bacheliers technologiques, mais leur part diminue à mesure que celle des bacheliers professionnels augmente. [lire la suite]

Avec 2 386 900 étudiants inscrits à la rentrée 2012, les effectifs de l’enseignement supérieur augmentent sensiblement (+ 1,5 %). Ils n’ont jamais été aussi nombreux. Cette hausse s’explique par une plus forte attractivité de l’enseignement supérieur, alors même que les jeunes en âge d’étudier sont moins nombreux. Les jeunes femmes sont majoritaires parmi les étudiants comme parmi les diplômés. [lire la suite]

Dans l’enseignement supérieur français, 289 274 étudiants sont de nationalité étrangère, soit un sur huit. En dix ans, les étrangers ont contribué à plus du tiers (38 %) de la croissance des effectifs. Sept sur dix étudient à l’université. Ils sont proportionnellement plus nombreux dans les cursus Master (18 %) et Doctorat (41 %) qu’en Licence (11 %). [lire la suite]

69 % des bacheliers inscrits en STS et 81 % de ceux inscrits en IUT ont obtenu leur diplôme en deux ou trois ans. Les bacheliers généraux réussissent mieux que les bacheliers technologiques. Huit sur dix bacheliers qui se sont orientés en classe préparatoire scientifique ou commerciale ont rejoint en deux ou trois ans une école menant à un diplôme de niveau bac + 5, alors que ceux inscrits en classes littéraires rejoignent le plus souvent l’université, même si leurs débouchés vers les écoles augmentent. [lire la suite]

Le parcours des nouveaux étudiants en licence varie sensiblement selon leurs caractéristiques scolaires. Les bacheliers généraux réussissent mieux que les bacheliers technologiques ou professionnels (34% ont leur Licence en trois ans contre respectivement 7 % et 2 %). En Master, 46 % des étudiants obtiennent leur diplôme en deux ans et 57 % en trois ans. Le taux de réussite en Licence diminue (- 2 points entre les cohortes 2004 et 2008) mais augmente en Master. [lire la suite]

À la rentrée 2012, près de 15 900 étudiants des universités, STS et CPGE publics se déclarent handicapés et bénéficient d’une aide ou d’un suivi. 90 % d’entre eux sont inscrits à l’université. Leur nombre a doublé en 6 ans ; ils bénéficient en effet d’aides plus nombreuses et mieux connues qui leur permettent de ne pas rester à l’écart du mouvement général d’allongement des études. Néanmoins, ils se concentrent en Licence et leur présence décline au fil des cursus. [lire la suite]

Les femmes, plus nombreuses que les hommes dans l’enseignement supérieur (56 %), s’inscrivent moins souvent dans les filières sélectives ou scientifiques et sont minoritaires en cursus Doctorat. Leur taux de chômage trois ans après leur sortie est peu supérieur à celui des hommes, mais leurs conditions d’emploi sont moins favorables. Un peu plus d’un tiers des enseignants-chercheurs sont des femmes. [lire la suite]

recherche

Multipliée par 2 depuis 1981, la dépense intérieure de recherche et développement représente 2,25 % du PIB en 2011, soit 45,0 milliards d’euros. L’effort de recherche provient surtout des entreprises qui, en 2011, exécutent 64 % des travaux de R&D réalisés sur le territoire national et financent 59 % de la dépense nationale de R&D. [lire la suite]

En 2011 six branches de recherche (Automobile, Pharmacie, Aéronautique, Composants électroniques, Chimie et Activités informatiques et service d’information) exécutent la moitié de la dépense intérieure de R&D des entreprises. Dans le secteur public, les organismes de recherche (EPST, EPIC) exécutent plus de 57 % de la dépense intérieure de R&D des administrations en 2011. [lire la suite]

En 2011, les PME représentent 84 % des entreprises ayant réalisé des activités de R&D en France. Elles apportent 15 % des dépenses intérieures de R&D (DIRDE), dont plus de la moitié en faveur des activités de services. Les grandes entreprises, à l’origine de 61 % de la DIRD, réalisent les trois quarts de leur effort en haute et moyenne-haute technologie. [lire la suite]

En 2011, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) des principaux organismes publics progresse de 2,5 % pour s’élever à 9,2 milliards d’euros (Md€). Réalisant 56 % de la recherche publique, ils sont des acteurs majeurs de la recherche en France. Le CNRS et le CEA civil effectuent un tiers de la recherche publique avec 5,5 Md€ de DIRD. [lire la suite]

En 2011, les dotations budgétaires consommées par les administrations pour la recherche et le développement (R&D) s’élèvent à 12,8 milliards d’euros (Md€) et financent 69 % de leur activité totale de R&D. Le reste de la R&D publique est financé sur les ressources propres des organismes (contrats, revenus de propriété intellectuelle notamment). Le budget total de R&D des entreprises, qui s’élève à 37,1 Md€, est financé à 77 % par autofinancement, à 16 % par d’autres entreprises (françaises ou étrangères) et à 6 % par des ressources publiques. [lire la suite]

En 2012, les collectivités territoriales consacrent 1,2 milliard d’euros au financement de la recherche et du transfert de technologie, dont 30 % s’inscrivent dans le cadre des contrats de projet État-Région. La part des conseils régionaux est de 69 %. Ces financements concernent en premier lieu des opérations immobilières et des transferts de technologie. [lire la suite]

En 2013, la mission interministérielle recherche et enseignement supérieur (MIRES) regroupe 14 Md€ de crédits budgétaires pour la recherche. Près de 80 % de ces crédits sont attribués aux opérateurs de recherche et d’enseignement supérieur au titre de subvention pour charge de service public. Les dépenses d’intervention et de pilotage s’élèvent à 1,8 Md€, soit 13 % des crédits. Enfin, 7 % des crédits de la MIRES sont mobilisés en faveur des programmes et organismes internationaux. [lire la suite]

Le financement de la recherche nationale repose principalement sur les entreprises, l’État et les collectivités territoriales et l’Union européenne. Délégation de moyens aux opérateurs publics de R&D, mesures d’aide à la R&D en faveur des entreprises et dispositifs extra-budgétaires constituent les leviers des politiques publiques en faveur de la R&D. [lire la suite]

En 2011, 542 700 personnes participent à une activité de recherche en France. Au cours des trois dernières années, le nombre de chercheurs a progressé plus rapidement dans les entreprises (+ 24 %) que dans les administrations (+ 3 %). Les femmes représentent 30 % de l’ensemble du personnel de recherche et 26 % des chercheurs. [lire la suite]

Les femmes représentent près d’un tiers des personnels de recherche et un quart des seuls chercheurs. En France comme à l’étranger, les chercheures sont mieux représentées dans les administrations que dans les entreprises. C’est cependant le domaine de recherche qui influence de prime abord le rapport femmes-hommes, les plus féminisés étant ceux de la santé et de l’agronomie. [lire la suite]

En 2011, 197 000 chercheurs ont une activité de R&D en entreprise. Cette population reste jeune, 39 ans en moyenne, et majoritairement formée en école d’ingénieurs. Les femmes représentent 20 % de cette population et sont en proportion plus jeunes et davantage issues des formations universitaires (Doctorat, Master) que les hommes. [lire la suite]

À la rentrée 2012, 63 500 étudiants sont inscrits en doctorat à l’université et 12 000 doctorats ont été délivrés au cours de l’année 2011. Plus de la moitié des étudiants inscrits pour la première fois en doctorat à l’université n’étaient pas inscrits dans un diplôme universitaire l’année précédente et seuls 43 % des étudiants sont issus d’un Master. 4 000 étudiants préparent un doctorat dans une école non universitaire et 900 doctorats y sont délivrés. [lire la suite]

Le statut de jeune entreprise innovante (JEI) a été créé pour favoriser la création et le développement des nouvelles petites et moyennes entreprises qui effectuent des travaux de recherche. En 2011, leurs dépenses de R&D s’élèvent à 700 millions d’euros et se concentrent essentiellement dans des branches de services. [lire la suite]

En 2011, les entreprises ont engagé 2,5 milliards d’euros pour réaliser des travaux de R&D en biotechnologie. Comme en 2010, 9 % des dépenses de R&D des entreprises relèvent des biotechnologies. Cette activité est essentiellement réalisée dans des entreprises de petite taille. [lire la suite]

En 2011, plus de six entreprises sur dix qui effectuent des travaux de R&D réalisent au moins une partie de leurs investissements dans le développement de logiciels, les nouveaux matériaux ou les nanotechnologies. Cette proportion est en hausse continue depuis 2009, où elle était encore inférieure à 57 %. [lire la suite]

En 2011, l’évaluation des dépenses de R&D exécutées en France consacrées directement ou indirectement à l’environnement est de 4,6 milliards d’euros, soit un dixième de la dépense globale. En 2011, près de 60 % de la dépense de R&D en environnement (hors « Énergie » et « Transport ») est prise en charge par les entreprises, contre moins de 20 % 10 ans auparavant. [lire la suite]


 
 
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