En 2013-2014, selon les données provisoires, le nombre d’étudiants inscrits à l’université est de 1 498 200, soit une hausse de 2,4 %. Les effectifs sont en hausse dans les cursus licence (+ 2,5 %) et master (+ 2,8 %), et diminuent, au même rythme que l’année précédente, en cursus doctorat (- 1,3 %).
En 2012, selon les données provisoires, la dépense intérieure de recherche et développement des entreprises implantées en France (DIRDE) s’établit à 30,1 milliards d’euros. Corrigée de l’évolution des prix, la DIRDE continue de progresser, comme depuis 2007. Elle augmente de 2,7 % en volume en 2012, à un rythme moins soutenu que ces dernières années (3,7 % en 2011 ; 2,9 % en 2010). L’effort de recherche des entreprises, qui rapporte la DIRDE au produit intérieur brut (PIB), s’élève à 1,48 % en 2012, après 1,44 % en 2011.
En 2005, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s'élève à 36,7 milliards d'euros et est estimée à 38 milliards d'euros en 2006. La DIRD progresse ainsi à un rythme stable depuis 3 ans. Cinq tableaux donnent l'évolution du ratio DIRD/PIB des principaux pays de l'OCDE, la répartition des effectifs de recherche des entreprises et des administrations en 2005, les dépenses intérieures de R&D des entreprises et financements publics reçus par branche de recherche en 2005, l'importance et la nature des financements publics reçus par les entreprises selon leur taille en 2005, les dépenses intérieurs de R&D des administrations par secteur d'exécution en 2005. En graphiques : évolution en volume des composantes de la DIRD entre 2003 et 2005, le financement et l'exécution de la recherche en 2005, l'évolution en volume du PIB et des composantes de la DIRD et de la DNRD entre 2002 et 2006, la DERDE et ses composantes entre 2003 et 2005, les financements extérieurs de la DIRDE entre 2003 et 2005, la répartition de BCRD 2005 par objectifs socio-économiques, la structure du financement de la recherche publique en 2005. En encadrés : avertissement méthodologique ; les aides publiques à la recherche en entreprise : financements directs et mesures fiscales ; sources et définitions.
En 2004, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s'établit à 35,5 milliards d'euros, la hausse en volume, après une année de baisse, s'établissant à 1,1 % par rapport à 2003. Pour 2005, la DIRD augmenterait pour atteindre 36,4 milliards d'euros, soit une augmentation de 0,5 % en volume. La part de la DIRD dans le PIB s'établit à 2,14 %. Les entreprises et le marché public contribuent à part égale à l'augmentation de la DIRD, mais les travaux de recherche sont plus importants dans les administrations. En 2004, les effectifs de recherche et développement (R&D) progressent ; c'est l'effectif de chercheurs qui augmente, alors que les autres personnels de R&D diminuent. L'activité de recherche se concentre dans quelques secteurs d'activité comme l'automobile qui demeure la première branche de recherche ; la quatrième branche, les dépenses en aéronautique et spatiale, progressent le plus. L'activité publique de recherche est marquée par une progression des EPIC.
En 2003, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s'établit à 34,6 millards d'euros, la baisse en volume s'établissant à 1,4% par rapport à 2002. Cependant, pour 2004, il semblerait que la DIRD augmenterait pour atteindre 35,6 millards d'euros. La part de la DIRD dans le PIB est de 2,18%, en baisse pour la première fois depuis 2000. Néanmoins, la France se maintient au cinquième rang en matière d'effort de recherche. L'exécution et le financement des activités de recherche et développement (R&D) sont marqués par un recul du poids des entreprises, tandis que les dépenses de R&D dans le secteur public sont restées stables. En 2003, les effectifs de personnel en R&D augmentent plus faiblement, mais l'emploi de chercheurs progresse plus vite que celui des autres personnels de R&D. L'activté de recherche dans les entreprises reste concentré dans certains secteurs d'activité comme l'industrie pharmaceutique. L'activité publique de recherche, financée à 76% par des dotations budgétaires, est marquée par une progression des dépenses dans l'enseignement supérieur.
Les chercheurs post-doctorants étrangers travaillant dans les institutions publiques de recherche et dans les entreprises françaises ont, quant à leur mobilité, des motivations différentes. Les laboratoires d'accueil de cette population élaborent également des stratégies différentes. Selon les disciplines, les situations de travail sont différenciées. Selon les trois disciplines étudiées (chimie, économie et sciences de la vie), l'étude met en évidence des comportements qui varient selon les choix de diplômes retenus, les déroulements de carrière et les rôles du post-doctorat.
Evolution des dépenses nationales (DNRD : financement) et intérieures (DIRD : exécution) de recherche et développement entre 1994, 1995, 1998, 1999, 2000 et 2001. Répartition des financements de la recherche publique hors Défense, origine des financements publics en direction des entreprises (Défense et financements civils). Répartition de la DIRD des entreprises dans les principales branches de recherche. Evolution des effectifs de chercheurs des entreprises et des administrations ; spécialisation régionale. Part de l'emploi R&D par rapport à l'emploi salarié en France métropolitaine. Encadrés : sources et définitions ; précautions méthodologiques : taux d'évolution en volume de 1999 à 2001 ; ouverture de la recherche vers l'étranger : Europe et Afrique, les chercheurs étrangers de l'université.
Evolution des dépenses intérieures (DIRD) et nationales (DNRD) de recherche et développement entre 1994, 1998, 1999 et 2000. Répartition des financements entre les administrations et les entreprises, celles-ci jouant un rôle accru. Evolution des dépenses et des financements publics en direction des entreprises. Répartition par branche de la R&D des entreprises. Evolution des effectifs de chercheurs et spécialisation régionale. Encadrés : méthodologie, sources et définitions ; la R&D dans les technologies de l'information et de la communication ; estimations 2000 et perspectives 2001.