Les publications statistiques publiées en 2020


 


56 publications statistiques



NI SIES 20.19 - Les étudiants inscrits dans les universités françaises en 2019-2020
SIES A2.1
Début 2020, de grands ensembles universitaires se sont créés ou modifiés par décrets, en application de l'ordonnance sur les établissements expérimentaux. En 2019-2020, 1 675 100 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DROM. À périmètre constant, soit celui en vigueur en 2019, 1 635 400 sont inscrits à la rentrée 2019, soit une hausse de 1,3 % par rapport à l'année précédente. Le nombre d'étudiants en cursus licence poursuit son augmentation (+ 2,0 %) tandis que celui en cursus master reste stable (+ 0,5 %). Les inscriptions en doctorat diminuent à nouveau et plus fortement (- 2,9 %). Même si les effectifs en 1ère année de licence générale augmentent de 1,4 %, le nombre de néo-bacheliers y diminue de 1,1 % par rapport à 2018-2019, année de hausse accentuée du nombre de néo-bacheliers liée au boom démographique de l'an 2000. En master LMD, les effectifs de 1ère année continuent de diminuer (- 1,6 %) et ceux en 2ème année sont à nouveau quasi-stables (+ 0,9 %). Les étudiants en formation d'ingénieurs universitaires sont, quant à eux, toujours plus nombreux (+ 3,5 %).Le nombre d'étudiants étrangers en mobilité internationale stagne par rapport à la rentrée dernière : 202 100 sont accueillis dans les universités françaises en 2019-2020, soit 12,4 % des étudiants de ces établissements.
NI SIES 20.16 - Réussite et assiduité en première année de licence : impact de la loi ORE, nouveaux indicateurs
SIES A2.1
Pour l'année 2018-2019, le taux de passage en 2e année de licence des néo-bacheliers est de 45,4%. Après quelques années de stabilité, autour de 40%, ce taux a augmenté de 4,4 points entre 2016 et 2018. Cette hausse semble imputable à deux effets, liés à la loi ORE : un changement de structure de la population en 1re année de licence et le bénéfice des accompagnements pédagogiques à l'égard des entrants à l'université. Une mesure de la réussite par l'obtention d'au moins 60 ECTS conduit à des résultats semblables : 43,5% des néo-bacheliers ont acquis 60 ECTS ou plus à l'issue d'une 1re année universitaire en 2018-2019, pour 39, % en 2016-2017. Le taux de passage en 2e année peut être examiné en prenant en compte l'assiduité des étudiants, mesurée, a minima, par la présence de l'étudiant à au moins un examen dans l'année, ou, avec un critère plus exigeant, par la présence de l'étudiant à au moins un examen de chaque UE où il est inscrit. La moitié des néo-bacheliers ne répond pas à ce dernier critère ; cependant, 28% d'entre eux sont admis et inscrits en 2e année à la rentrée suivante. On peut calculer un taux de passage limité aux néo?bacheliers respectant le critère minimal d'assiduité, soit 90% de ceux inscrits en L1 : il atteint 50,3%, soit 4,9 points de plus que pour l'ensemble des néo?bacheliers.
2020 
RERS - 2020
Publication annuelle de la DEPP et de la SD-SIES, Repères et références statistiques RERS) réunit en un seul volume toute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français. Organisé en dix chapitres et 179 thématiques, RERS apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
état de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation en France n°13
SITTAR C1,SITTAR,SIES A2.4,SIES A2.2,SIES A2.1,OVE,Insee DETET,HCERES-OST,ERASMUS+,DICODOC,DGRH C1-1,DGRH A1-1,DGESIP A2,DEPP B1,DEPP A3,DEPP A1,DEEVA
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
NI DGRH 20-02 - Suivi de carrière des enseignants?chercheurs — Session 2019
DGRH A1-1
Le suivi de carrière des enseignants?chercheurs est réalisé par le Conseil national des universités (CNU). Il se fonde sur un rapport d’activité établi par l’enseignant?chercheur. Les établissements prennent en considération ce suivi de carrière en matière d’accompagnement professionnel. Après avoir été étendu en 2017 à tous les universitaires dits « prioritaires » affectés dans les établissements de la vague C, le dispositif du suivi de carrière a été généralisé en 2018 à tous les établissements chaque année, mais pour les enseignants?chercheurs appartenant à des sections du CNU sélectionnées préalablement pour chaque établissement. Pour la session 2019 du suivi de carrière, 1 207 universitaires « prioritaires » ont déposé un dossier sur les 5 365 recensés, soit un taux de participation de 22,5 %. En outre, 205 universitaires non concernés par le suivi de carrière de 2019, dits « non prioritaires », ont déposé un dossier. Au total, 1 412 enseignants?chercheurs ont donc participé au dispositif. Un peu plus de 600 dossiers (44 %) ont fait l’objet d’un avis du CNU assorti de suggestions d’actions à mettre en œuvre par l’établissement. Ces avis ont pour objectif d’aider les universitaires concernés à améliorer le déroulement de leur carrière ou pour les aider à pallier leurs difficultés professionnelles.
Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche