Quelles sont les différences observées entre les jeunes femmes et les jeunes hommes dans leurs choix de formations supérieures ? En quoi et à quel moment les carrières académiques des femmes et des hommes divergent-elles ? Dans quelle mesure les femmes sont-elles encore peu présentes dans les organes de gouvernance ? La situation en France se distingue-t-elle des autres pays ? Quel est le chemin qui reste à parcourir sur le chemin de l'égalité dans l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation ?
Cette cinquième édition permet d'offrir à l'ensemble des acteurs et au public des données détaillées et objectivées des différences observées dans le champ de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, afin que chacun puisse s'emparer de ces données, les diffuser et œuvrer à des actions concrètes en faveur de la parité.
Quelles sont les différences observées entre les jeunes femmes et les jeunes hommes dans leurs choix de formations supérieures ? En quoi et à quel moment les carrières académiques des femmes et des hommes divergent-elles ? Dans quelle mesure les femmes sont-elles encore peu présentes dans les organes de gouvernance ? La situation en France se distingue-t-elle des autres pays ? Quel est le chemin qui reste à parcourir sur le chemin de l'égalité dans l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation ?
Cette cinquième édition permet d'offrir à l'ensemble des acteurs et au public des données détaillées et objectivées des différences observées dans le champ de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, afin que chacun puisse s'emparer de ces données, les diffuser et œuvrer à des actions concrètes en faveur de la parité.
Quelles sont les différences observées entre les jeunes femmes et les jeunes hommes dans leurs choix de formations supérieures ? En quoi et à quel moment les carrières académiques des femmes et des hommes divergent-elles ? Dans quelle mesure les femmes sont-elles encore peu présentes dans les organes de gouvernance ? La situation en France se distingue-t-elle des autres pays ? Quel est le chemin qui reste à parcourir sur le chemin de l'égalité dans l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation ?
Cette cinquième édition permet d'offrir à l'ensemble des acteurs et au public des données détaillées et objectivées des différences observées dans le champ de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, afin que chacun puisse s'emparer de ces données, les diffuser et œuvrer à des actions concrètes en faveur de la parité.
Quelles sont les différences observées entre les jeunes femmes et les jeunes hommes dans leurs choix de formations supérieures? En quoi et à quel moment les carrières académiques des femmes et des hommes divergent-elles ? Dans quelle mesure les femmes sont-elles encore peu présentes dans les organes de gouvernance ? La situation en France se distingue-t-elle des autres pays ? Quel est le chemin qui reste à parcourir sur le chemin de l'égalité dans l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation ?
Cette quatrième édition permet d'offrir à l'ensemble des acteurs et au public des données détaillées et objectivées des différences observées dans le champ de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, afin que chacun puisse s'emparer de ces données, les diffuser et œuvrer à des actions concrètes en faveur de la parité.
En 2018, 1 433 universitaires ont été recrutés (hors mutations et détachements, ainsi qu’aux titres des articles 29 et 46 3°). Les deux tiers des enseignants?chercheurs recrutés sont des maîtres de conférences (MCF). Les MCF ont principalement été recrutés parmi les post?doctorants alors que la plupart des pro? fesseurs des universités (PR) étaient antérieurement MCF. Respectivement 18 % et 45 % des MCF et des PR ont été endo?recrutés. Les MCF sont recrutés à 34 ans en moyenne, contre 45 ans pour les PR. Malgré la féminisation des recrutements, la parité femme?homme n’est pas encore atteinte. 14 % des MCF recrutés sont étrangers, contre 12 % des PR.
En quoi les jeunes femmes et les jeunes hommes se distinguent-ils dans leurs choix de formation supérieure? Dans quelle mesure les carrières académiques des hommes et des femmes diffèrent-elles ? Quelle est leur place respective dans les organes de gouvernance ? La situation en France est-elle semblable à celle des autres pays ? Quel est le chemin qui reste à parcourir sur le chemin de l'égalité dans l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation ?
La mobilisation pour la mixité et la parité repose sur la connaissance partagée et objectivée de la réalité que donne à voir cette nouvelle édition, au travers d'une cinquantaine d'indicateurs quantitatifs couvrant tout le champ de l'action du ministère.
En 2017, 1 633 universitaires ont été recrutés (hors mutations et détachements). Les deux tiers des enseignants-chercheurs recrutés sont des maîtres de conférences (MCF). Les MCF ont principalement été recrutés parmi les post-doctorants alors que la plupart des professeurs des universités (PR) étaient antérieurement MCF.
Respectivement 22 % et 47 % des MCF et des PR ont été endo-recrutés. Les MCF sont recrutés à 34 ans en moyenne, contre 46 ans pour les PR. Malgré la féminisation des recrutements, la parité femme-homme n’est pas encore atteinte. 18 % des MCF recrutés sont étrangers, contre 8 % des PR.
En 2016, 1 741 universitaires ont été recrutés (hors mutations et détachements). Les deux tiers des enseignants-chercheurs recrutés sont des maîtres de conférences (MCF). Les MCF ont principalement été recrutés parmi les post-doctorants alors que la plupart des professeurs des universités (PR) étaient antérieurement MCF. Respectivement 20 % et 44 % des MCF et des PR ont été endo-recrutés. Les MCF sont recrutés à 34 ans en moyenne, contre 46 ans pour les PR. Malgré la féminisation des recrutements, la parité femme-homme n’est pas encore atteinte. 17 % des MCF recrutés sont étrangers, contre 8 % des PR.
En 2015, davantage d’enseignants-chercheurs hommes que femmes composent la population des universitaires : 63 % contre 37 %. Les femmes constituent 44 % des MCF et 24 % des PR. L’augmentation de la proportion de femmes parmi les MCF et les PR s’est poursuivie au cours des 10 dernières années. Les enseignantes-chercheures sont proportionnellement plus nombreuses en Lettres-Sciences humaines (51 %) qu’en Droit-Économie-Gestion (43 %) et qu’en Sciences-Techniques (28 %). Plus un grade est élevé et moins les femmes sont nombreuses. Deux étapes de la carrière des enseignants-chercheurs paraissent poser un problème de parité femmes/hommes : relativement peu de femmes obtiennent l’HDR – nécessaire pour la qualification menant au professorat – et peu de femmes candidatent à la PEDR.
A travers 35 chiffres clés se trouve illustrée la situation de l’égalité femmes-hommes, dans les pays de l’Union européenne et en France, à la lumière de données statistiques récentes sur les étudiant.e.s, les diplômé.e.s, les personnels (enseignant.e.s-chercheur.e.s, chercheur.e.s, personnels de soutien...) et les instances de gouvernance de l’Enseignement supérieur et la Recherche.
Ces chiffres clés permettent de mesurer les progrès accomplis mais aussi le chemin qui reste à parcourir et les leviers à mobiliser. Ils constituent ainsi, pour toutes et tous, un éclairage précieux pour l’action que nous avons à conduire, chacun à notre niveau de responsabilité.
À la rentrée 2011, 79 800 étudiants sont inscrits en classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE), effectif en hausse de 0,7 % par rapport à l'année précédente. Les effectifs augmentent dans les trois filières : scientifique (+ 0,2 %), économique et commerciale (+ 0,6 %) et littéraire (+ 3,1 %) . Les CPGE recrutent majoritairement des bacheliers généraux (95 %). Les bacheliers technologiques sont de plus en plus nombreux et leur part augmente depuis 2001, en particulier dans la filière économique où ils représentent 10 % des bacheliers nouvellement inscrits. La part des femmes croît légèrement depuis 2001, mais la parité n'est toujours pas atteinte (42 %). Cependant, la part des femmes est différente selon la filière : moins d'un tiers des étudiants en formation scientifique sont des femmes, alors qu'elles sont 74 % en lettres. 50 % des préparationnaires sont issus d'un milieu très favorisé et un peu plus d'un quart sont boursiers.