Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Le suivi de carrière des enseignants?chercheurs est réalisé par le Conseil national des universités (CNU). Il se fonde sur un rapport d’activité établi par l’enseignant?chercheur. Les établissements prennent en considération ce suivi de carrière en matière d’accompagnement professionnel. Après avoir été étendu en 2017 à tous les universitaires dits « prioritaires » affectés dans les établissements de la vague C, le dispositif du suivi de carrière a été généralisé en 2018 à tous les établissements chaque année, mais pour les enseignants?chercheurs appartenant à des sections du CNU sélectionnées préalablement pour chaque établissement. Pour la session 2019 du suivi de carrière, 1 207 universitaires « prioritaires » ont déposé un dossier sur les 5 365 recensés, soit un taux de participation de 22,5 %. En outre, 205 universitaires non concernés par le suivi de carrière de 2019, dits « non prioritaires », ont déposé un dossier. Au total, 1 412 enseignants?chercheurs ont donc participé au dispositif. Un peu plus de 600 dossiers (44 %) ont fait l’objet d’un avis du CNU assorti de suggestions d’actions à mettre en œuvre par l’établissement. Ces avis ont pour objectif d’aider les universitaires concernés à améliorer le déroulement de leur carrière ou pour les aider à pallier leurs difficultés professionnelles.
Lors de la session 2019, 6 635 enseignants?chercheurs ont candidaté à la prime d'encadrement doctoral et de recherche (PEDR) ; 2 911 d’entre eux l’ont obtenue, soit 44 %. Ce taux d’attribution de la PEDR est stable dans le temps et 11 500 enseignants?chercheurs – qui l’ont obtenue au cours de ces quatre dernières années – bénéficient actuellement de la prime. En 2019, un peu plus de maîtres de conférences (MCF) que de professeurs des universités (PR) ont dé? posé un dossier de candidature. Cependant, les candidats maîtres de conférences et les femmes sont sous?représentés par rapport à leur part dans la population totale des enseignants?chercheurs. Pour au? tant, les maîtres de conférences et les femmes ont une réussite équivalente à celle des professeurs des universités et des hommes dans l’obtention de la PEDR : les instances nationales qui examinent les candidatures attribuent relativement autant d’avis favorables aux maîtres de conférences qu’aux professeurs des universités, ainsi qu’aux femmes et aux hommes.
NI DGRH 19-09 - Les personnels enseignants de l'enseignement supérieur du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation – Année 2018
En 2018, 90 900 enseignants sont en fonction dans les établissements publics d’enseignement supérieur. Parmi ces enseignants, 55 500 appartiennent aux corps des enseignants-chercheurs titulaires (y compris les corps à statuts spécifiques), 13 100 sont des enseignants du second degré et 22 300 sont des enseignants non permanents (hors chargés d’enseignement vacataires, agents temporaires vacataires et invités). Entre 2017 et 2018, l’effectif total des enseignants du supérieur a légèrement diminué (- 1 %).
En 2018, 1 433 universitaires ont été recrutés (hors mutations et détachements, ainsi qu’aux titres des articles 29 et 46 3°). Les deux tiers des enseignants?chercheurs recrutés sont des maîtres de conférences (MCF). Les MCF ont principalement été recrutés parmi les post?doctorants alors que la plupart des pro? fesseurs des universités (PR) étaient antérieurement MCF. Respectivement 18 % et 45 % des MCF et des PR ont été endo?recrutés. Les MCF sont recrutés à 34 ans en moyenne, contre 45 ans pour les PR. Malgré la féminisation des recrutements, la parité femme?homme n’est pas encore atteinte. 14 % des MCF recrutés sont étrangers, contre 12 % des PR.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 52 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Après 4 années d’expérimentation (2013-2016) et après avoir été étendu en 2017 à tous les universitaires affectés dans les établissements de la vague C, la CPU, la CP-CNU et la DGRH du MESRI se sont accordées pour généraliser à partir de la campagne de 2018 le suivi de carrière à tous les établissements chaque année, mais pour les enseignants-chercheurs appartenant à des sections du CNU sélectionnées préalablement pour chaque établissement.
Pour la session 2018 du suivi de carrière, 987 universitaires « prioritaires » ont déposé un dossier sur les 3 869 universitaires « prioritaires » recensés, soit un taux de participation de 26 %. En outre, 355 universitaires non concernés par le suivi de carrière de 2017, dits « non-prioritaires », ont déposé un dossier. Au total, 1 342 enseignants-chercheurs ont donc participé au dispositif.
Lors de la session 2018, 6 442 enseignants?chercheurs ont candidaté à la prime d'encadrement doctoral et de recherche (PEDR) ; 2 865 d’entre eux l’ont obtenue, soit 44 %. Ce taux d’attribution de la PEDR est stable dans le temps et près de 11 000 enseignants?chercheurs – qui l’ont obtenue au cours de ces quatre dernières années – bénéficient actuellement de la prime.
En 2018, un peu plus de maîtres de conférences que de professeurs des universités ont déposé un dossier de candidature. Cependant, les candidats maîtres de conférences et les femmes sont sous-représentés par rapport à leur part dans la population totale des enseignants?chercheurs. Pour autant, les maîtres de conférences et les femmes ont une réussite équivalente à celle des professeurs des universités et des hommes dans l’obtention de la PEDR : les instances nationales qui examinent les candidatures attribuent relativement autant d’avis favorables aux maîtres de conférences (MCF) qu’aux professeurs des universités (PR), ainsi qu’aux femmes et aux hommes.
NI DGRH 18-08 - Les personnels enseignants de l'enseignement supérieur du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation – Année 2016?2017
Au cours de l'année universitaire 2016?2017, 92 000 enseignants sont en fonction dans les établissements publics d’enseignement supérieur. Parmi ces enseignants, 56 685 appartiennent aux corps des enseignants?chercheurs titulaires (y compris les corps à statuts spécifiques), 12 985 sont des enseignants du second degré et 22 315 sont des enseignants non permanents (hors chargés d’enseignement vacataires, agents temporaires vacataires et invités). Entre 2016 et 2017, l’effectif total des enseignants du supérieur a légèrement augmenté (+ 0,6 %).
En 2017, 1 633 universitaires ont été recrutés (hors mutations et détachements). Les deux tiers des enseignants-chercheurs recrutés sont des maîtres de conférences (MCF). Les MCF ont principalement été recrutés parmi les post-doctorants alors que la plupart des professeurs des universités (PR) étaient antérieurement MCF.
Respectivement 22 % et 47 % des MCF et des PR ont été endo-recrutés. Les MCF sont recrutés à 34 ans en moyenne, contre 46 ans pour les PR. Malgré la féminisation des recrutements, la parité femme-homme n’est pas encore atteinte. 18 % des MCF recrutés sont étrangers, contre 8 % des PR.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 51 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Le suivi de carrière des enseignants-chercheurs est réalisé par le Conseil national des universités (CNU).
Il se fonde sur un rapport d’activité établi par l’enseignant-chercheur. Les établissements prennent en considération ce suivi de carrière en matière d’accompagnement professionnel. En 2017, après 4 années d’expérimentation (2013-2016), le dispositif du suivi de carrière a été étendu. Il concerne les universitaires dits « prioritaires », affectés dans les établissements de la vague C.
Pour la session 2017 du suivi de carrière, 2 534 universitaires « prioritaires » ont déposé un dossier sur les 6 456 recensés, soit un taux de participation de 39 %. En outre, 277 universitaires non concernés par le suivi de carrière de 2017, dits « non prioritaires », ont déposé un dossier. Au total, 2 811 enseignants-chercheurs ont donc participé au dispositif. Près de 2 000 dossiers (71 %) ont fait l’objet d’un avis de la part de 27 sections du CNU ; 431 d’entre eux (soit 22 %) ont reçu des avis assortis de suggestions d’ac-tions à mettre en œuvre par l’établissement, dont 204 (10 %) sont relatives à l’enseignant-chercheur concerné — les autres (les 227 restants) concernent l’ensemble de l’établissement d’affectation de l’enseignant-chercheur.
Lors de la session 2017, 6 674 enseignants-chercheurs ont candidaté à la prime d'encadrement doctoral et de recherche (PEDR). 43 % d’entre eux l’ont obtenue. Ce taux d’attribution de la PEDR est stable dans le temps. Autant de professeurs des universités que de maîtres de conférences ont déposé un dossier de candidature. Cependant, les candidats maîtres de conférences et les femmes sont sous-représentés par rapport aux professeurs des universités et aux hommes : ils sont proportionnellement moins nombreux à déposer un dossier en comparaison avec leur poids dans la population globale des enseignants-chercheurs. Pour autant, les maîtres de conférences et les femmes ont une réussite équivalente à celle des professeurs des universités et des hommes dans l’obtention de la PEDR : les instances nationales qui examinent les candidatures attribuent relativement autant d’avis favorables aux maîtres de conférences (MCF) qu’aux professeurs des universités (PR), ainsi qu’aux femmes et aux hommes.
NI DGRH 17.08 - Les personnels enseignants de l'enseignement supérieur du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation - Année 2015-2016
Au cours de l'année universitaire 2015-2016, 91 400 enseignants sont en fonction dans les établissements publics d’enseignement supérieur. Parmi ces enseignants, 56 450 appartiennent aux corps des enseignants-chercheurs titulaires (y compris les corps à statuts spécifiques), 13 200 sont des enseignants du second degré et 21 750 sont des enseignants non permanents (hors chargés d’enseignement vacataires, agents temporaires vacataires et invités). Entre 2015 et 2016, l’effectif total des enseignants du supérieur est globalement resté stable (+ 0,2 %).
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 49 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
En 2016, 1 741 universitaires ont été recrutés (hors mutations et détachements). Les deux tiers des enseignants-chercheurs recrutés sont des maîtres de conférences (MCF). Les MCF ont principalement été recrutés parmi les post-doctorants alors que la plupart des professeurs des universités (PR) étaient antérieurement MCF. Respectivement 20 % et 44 % des MCF et des PR ont été endo-recrutés. Les MCF sont recrutés à 34 ans en moyenne, contre 46 ans pour les PR. Malgré la féminisation des recrutements, la parité femme-homme n’est pas encore atteinte. 17 % des MCF recrutés sont étrangers, contre 8 % des PR.
En 2015, davantage d’enseignants-chercheurs hommes que femmes composent la population des universitaires : 63 % contre 37 %. Les femmes constituent 44 % des MCF et 24 % des PR. L’augmentation de la proportion de femmes parmi les MCF et les PR s’est poursuivie au cours des 10 dernières années. Les enseignantes-chercheures sont proportionnellement plus nombreuses en Lettres-Sciences humaines (51 %) qu’en Droit-Économie-Gestion (43 %) et qu’en Sciences-Techniques (28 %). Plus un grade est élevé et moins les femmes sont nombreuses. Deux étapes de la carrière des enseignants-chercheurs paraissent poser un problème de parité femmes/hommes : relativement peu de femmes obtiennent l’HDR – nécessaire pour la qualification menant au professorat – et peu de femmes candidatent à la PEDR.
L'état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en France constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 49 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
NI DGRH 16.07 - Les personnels enseignants de l'enseignement supérieur
du ministère de l’Éducation nationale,
de l’Enseignement supérieur et de la Recherche – 2014-2015
Au cours de l'année universitaire 2014-2015, 91 200 enseignants sont en fonction dans les établissements publics d’enseignement supérieur. Parmi ces enseignants, 56 900 appartiennent aux corps des enseignants-chercheurs titulaires (y compris les corps à statuts spécifiques), 13 100 sont des enseignants du second degré et 21 200 sont des enseignants non permanents (hors chargés d’enseignement vacataires, agents temporaires vacataires et invités). Entre 2014 et 2015, l’effectif des enseignants-chercheurs titulaires est resté stable (– 0,03 %) alors que celui des non permanents a diminué (– 5 %).
NI DGRH 16.01 - Les personnels enseignants de l'enseignement supérieur du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche - 2013-2014
Au cours de l'année universitaire 2013-2014, 92 300 enseignants sont en fonction dans les établissements publics d’enseignement supérieur. Parmi ces enseignants, 56 900 appartiennent aux corps des enseignants-chercheurs titulaires (y compris les corps à statuts spécifiques), 13 100 sont des enseignants du second degré et 22 300 sont des enseignants non permanents (hors chargés d’enseignement vacataires, agents temporaires vacataires et invités). Cet effectif s’est accru de 1,2% entre 2013 et 2014 (+0,7% pour les enseignants-chercheurs titulaires).