En janvier 2002, 25 900 étudiants sont inscrits en première année de médecine (PCEM1) et 4500 en deuxième année (PCEM2). Cet écart s'expliquant essentiellement par l'existence d'un numerus clausus pour la poursuite du cursus en deuxième année. Trois tableaux mettent en évidence l'âge moyen des étudiants en médecine, l'effectif et la répartition par âge des étudiants et la répartition des étudiants par académie. Cinq graphiques montrent la part des femmes parmi l'ensemble des étudiants en médecine, les séries des baccalauréats des étudiants en médecine, l'activité socioprofessionnelle du père, la part des étrangers, la répartition des étudiants étrangers en médecine selon leur nationalité regroupée par continent. En encadré, méthode et source, numerus clausus et l'entrée à l'internat.
Par type d'école et ministère de tutelle : effectifs en 1980-81, 1990-91, et de à 2001-2002 ; progression moyenne annuelle 1980-1990, 1990-2001 ; en 2001-2002, nombre d'écoles, nombre d'étudiantes, taux de féminisation, diplômes délivrés en 2001 ; origine scolaire des nouveaux inscrits ; effectifs par académie. Graphiques : évolution des diplômes délivrés de 1990 à 2001 et des effectifs de 1990-91 à 2001-02 ; les flux d'entrée par académie et origine scolaire en 2001-02 ; répartition des établissements selon le secteur et leur taille. Cartes : proportion de femmes, part des élèves-ingénieurs comparés à l'ensemble des effectifs du supérieur. Encadré : source.
En 2001-2002, 6190 étudiants, apprentis et stagiaires en formation continue se préparent à devenir ingénieurs dans le cadre du dispositif des formations d'ingénieurs en partenariat (FIP) : 1400 élèves sont inscrits en formation initiale par apprentissage et 1150 au titre de la formation continue. Quatre graphiques montrent l'évolution des effectifs, l'âge et l'origine sociale des inscrits et cinq tableaux montrent l'évolution des formations, les formations d'ingénieurs en partenariat, selon l'origine scolaire et la répartition par série de bac. Par ailleurs, une carte fait ressortir le poids par académie des formations d'ingénieurs en partenariat.
France sans TOM : Evolution : de 1991-92 à 2001-2002, public, privé, ensemble (graph. 1) ; de 1994-95 à 2001-2002, répartition public/privé, pour Education nationale, agriculture, autres ministères (tabl. I). Effectifs 2001-2002 : par ministère et type de formation, sexe, public, privé, total (tabl. II). Répartition des entrants en 1ère année par origine scolaire, hors ministère de l'agriculture (tabl. III), effectifs par domaine de spécialité selon le ministère (tabl. IV), effectifs par académie (tabl. V) ; répartition par CSP et sexe en pourcentage (graph. 2), effectifs et nombre d'établissements par académie (graph. 3), nombre d'élèves dans les filières STS au sein des établissements (graph. 4). Part des STS comparée à l'effectif en premier cycle universitaire (DEUG, IUT, STS) : carte. Encadré : sources et définitions.
Avec plus de 45000 étudiants inscrits dans cette filière à la rentrée 2000, les effectifs ont quadruplé en 10 ans. Toutes les académies proposent maintenant une formation dans ce domaine, mais la répartition géographique est hétérogène (tabl. 8) et le 3e cycle encore peu suivi (tabl. 2 et 9). Parmi les étudiants, dont l'origine sociale est diversifiée (tabl. 7), à peine un tiers sont des femmes (tabl. 1 et graph. 2) et moins de 2% des étrangers ; une majorité est titulaire d'un bac scientifique ( tabl. 5 et 6). En encadré : source.
En 20 ans, les formations dans ce domaine se sont diversifiées et développées quantitativement. Plus de 55000 élèves sont répartis dans 215 écoles, dont statut, cursus et recrutement diffèrent. Ce dernier se fait souvent après une classe préparatoire, de moins en moins après le bac, de plus en plus fréquemment sur titre. Les élèves issus de CSP favorisées sont majoritaires, cependant que la part des femmes augmente.
86000 étudiants suivent des études artistiques et culturelles dans 387 établissements d'enseignement supérieur, contre 73300 en 1994-95. Ils sont inscrits dans les écoles des beaux-arts, les universités (plus de 50 %) ou préparent un BTS, un DMA ou un DSAA. D'autres diplômes sont proposés par de nombreuses écoles d'art, surtout privées. Parmi les étudiants, la plupart sont titulaires du baccalauréat, surtout littéraire option art ; près de 60 % sont des femmes et 42 % sont inscrits en Ile-de-France. En 1998, plus de 26000 diplômes d'art ont été délivrés.
Evolution des effectifs de l'enseignement supérieur par type d'établissement avec leur poids respectif. Evolution des effectifs du privé. Taux d'inscription des bacheliers dans l'enseignement supérieur (université, IUT, STS, CPGE, autres établissements) par type de bac. Evolution des effectifs par cycle, discipline, filière (filières courtes, filière des grandes écoles). Evolution géographique des effectifs universitaires et poids des différents cycles. Répartition par académie des principales filières de l'enseignement supérieur en 1999-2000. Encadrés : établissements et filières de l'enseignement supérieur ; définitions.
Sur les 25180 bacheliers de 1999 de l'académie de Grenoble, 12800 se sont inscrits dans une université (IUT inclus), dont 9870 dans l'académie et 2930 ailleurs (graph. 1 et 2) ; parallèlement, seulement 1220 nouveaux bacheliers d'une autre académie se sont inscrits dans l'académie de Grenoble. L'académie est donc déficitaire, avec des "sortants" en arts et en médecine surtout, cependant qu'IUT et sciences et technologies en général représentent les filières les plus attractives (graph. 3 et 4). Les proportions d'"entrants" et de "sortants" sont donc différentes selon la série du bac et la discipline choisie à l'université.