Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 2001-2002 ; part des nouveaux bacheliers entrant à l'université ; répartition des effectifs selon la discipline et le secteur universitaire ; répartition également par discipline selon les académies (y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs). Proportion de femmes en fonction de la discipline.
Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 2000-2001; part des nouveaux bacheliers entrant à l'université ; répartition des effectifs selon la discipline et le secteur universitaire ; répartition également par discipline selon les académies (y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs). Proportion de femmes en fonction de la discipline.
Le nombre d'inscriptions dans les principales filières semble se stabiliser depuis deux ans (tabl. IV) ; en effet, le fléchissement des effectifs en 1er cycle est compensé par la progression des 2e et 3e cycles. La baisse du nombre de nouveaux bacheliers (tabl. I) entraîne un recul du flux d'entrée dans toutes les disciplines universitaires, y compris IUT, alors que le nombre de nouveaux inscrits en STS et CPGE reste stable (tabl. II et III) ; il existe cependant des variations académiques (tabl. V). Les filières scientifiques ont perdu 5 % d'étudiants en 5 ans (encadré pp. 3-4). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites (p. 6).
Avec plus de 45000 étudiants inscrits dans cette filière à la rentrée 2000, les effectifs ont quadruplé en 10 ans. Toutes les académies proposent maintenant une formation dans ce domaine, mais la répartition géographique est hétérogène (tabl. 8) et le 3e cycle encore peu suivi (tabl. 2 et 9). Parmi les étudiants, dont l'origine sociale est diversifiée (tabl. 7), à peine un tiers sont des femmes (tabl. 1 et graph. 2) et moins de 2% des étrangers ; une majorité est titulaire d'un bac scientifique ( tabl. 5 et 6). En encadré : source.
A la rentrée 2000, les 138 343 étudiants inscrits en langues représentaient 9,7 % des effectifs universitaires. Ce nombre, en baisse depuis 1994 (tabl. 1), voit sa répartition évoluer entre les secteurs de la filière (tabl. 2 et graph. 1) : français langue étrangère (FLE) ; lettres, langues et civilisations étrangères ; langues étrangères appliquées (LEA) ; cultures et langues régionales. Le choix de la spécialité est lié à la situation géographique (cartes p. 4) et à l'origine scolaire (majorité de bacheliers littéraires, tabl. 5 et 6) des étudiants, dont les 3/4 sont des femmes (tabl. 1). Sur les 103 langues proposées, l'anglais accueille la majeure partie des effectifs (tabl. 3). Encadré : source et définitions.
Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 1999-2000 ; part des nouveaux bacheliers entrants à l'université. Part des femmes selon les disciplines et les cycles ; pourcentage d'étudiants étrangers. Répartition par discipline selon les académies, y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs.