Quatre néo-bacheliers inscrits à l’université en 2014 sur dix ont obtenu leur diplôme de licence après 3 ou 4 ans. La réussite est nettement plus importante pour les bacheliers généraux, qui représentent plus des trois-quarts des nouveaux entrants, que pour les bacheliers technologiques (respectivement 50% et 16%). Moins d’un nouvel inscrit sur dix est titulaire d’un baccalauréat professionnel et seulement 5% d’entre eux ont obtenu leur licence en 3 ou 4 ans.
Les bacheliers généraux, qui représentent les deux tiers des primo-entrants dans les instituts universitaires technologiques, sont ceux qui y réussissent le mieux : les trois-quarts d’entre eux sont diplômés en deux ans et plus de huit sur dix en 3 ans. Les deux-tiers des bacheliers technologiques de 2014 inscrits en IUT ont obtenu leur diplôme en 2 ou 3 ans. Meilleure est la mention au baccalauréat, plus élevés sont les taux de réussite.
En 2017-2018, 170 091 étudiants sont inscrits dans des formations longues en santé en France métropolitaine et DOM, en hausse de 1,5 % par rapport à la rentrée précédente. Un tiers de ces étudiants est inscrit en PACES, soit près de 57 800 inscrits, et 33 747 sont en 3e cycle des études médicales (hors diplômes d’études spécialisées complémentaires). Parmi les étudiants inscrits pour la première fois en PACES en 2015-2016, le tiers réussira l’un des concours au bout d’un ou deux ans (redoublement), dont 12,0 % au bout d’un an seulement ; 20,3 % se dirigeront vers la médecine, 7,8 % en pharmacie, 3,0 % en odontologie et 2,5 % en maïeutique. L’année 2017 introduit la réforme du 3e cycle des études médicales. L’année précédente, les DES (diplôme d’études spécialisées) d’ophtalmologie et de cardiologie faisaient partie des dix DES avec le plus d’étudiants. En 2017, les nouveaux DES de médecine d’urgence ainsi que celui de gériatrie font partie des dix DES avec le plus d’inscrits. 811 étudiants étrangers sont inscrits en DFMS ou DFMSA, diplômes leur permettant d’acquérir un complément de spécialisation.
Sur l’ensemble des bacheliers 2018 ayant formulé un vœu sur Parcoursup, près de 95 % ont reçu au moins une proposition d’admission toute phase confondue. Parmi eux, près de 8 sur 10 accepteront l’une d’entre elles durant l’une des phases de la procédure. Plus de 9 propositions acceptées sur 10 l’ont été pendant la phase principale. 71% des candidats de la série générale et environ la moitié des candidats de séries technologique (50 %) ou professionnelle (45 %) reçoivent une proposition dès le premier jour. Le délai d’attente moyen est de 8 jours avant de recevoir la première d’entre elles. Parmi l’ensemble des filières de formation, la licence représente 41 % des propositions acceptées. Pour les bacheliers généraux, cette part atteint 51 %, suivie par les formations en CPGE et en PACES avec 12 %. Pour les bacheliers technologiques et professionnels, les formations en BTS dominent avec respectivement 45 % et 76 % des propositions acceptées. On note une hausse de 8 points des acceptations d’un BTS par les bacheliers professionnels par rapport à 2017 (69 % acceptaient un BTS).
Cette note de synthèse présente les principaux résultats sur le parcours dans l’enseignement supérieur des bacheliers 2008. Ces bacheliers ont été interrogés chaque année, tout au long de leurs études dans l’enseignement supérieur et à l’issue de leur formation. Des résultats plus détaillés sont présentés et commentés dans la Note d’information n°18.06, qui étend en outre l’analyse à partir de méthodes statistiques avancées.
La poursuite d’études des bacheliers et le niveau des diplômes obtenus dans l’enseignement supérieur ont progressé en 6 ans. La part des bacheliers 2008 ayant atteint ou dépassé un niveau bac + 5 atteint 32 %. Elle est supérieure de 6 points à celles des bacheliers 2002. Parallèlement, la proportion de bacheliers entrés dansle supérieur et sortis sans diplôme est restée stable à environ 20 %. Ces résultats masquent de fortes disparités entre types ou séries de baccalauréat, ou encore selon le niveau scolaire à la sortie du lycée et selon l’origine sociale. Ainsi, 15 % des bacheliers généraux entrés dans le supérieur en sortent non diplômés, mais 28 % des bacheliers technologiques et 50 % des bacheliers professionnels. Plus d’un enfant de cadres sur deux sort de l’enseignement supérieur diplômé d’un bac + 5 ou plus contre seulement 13 % des enfants d’ouvriers. La filière d’entrée détermine largement le niveau de diplôme atteint à la sortie du supérieur. Près de la moitié des entrants en IUT sortent diplômés à un niveau au moins égal à bac + 5 : c’est quatre fois plus que ceux poursuivant en STS.
Près de 80 % des bacheliers inscrits en 2014 en première année de section de technicien supérieur (STS) sous statut scolaire passent en deuxième année, et 68 % d’entre eux obtiennent le BTS en deux ou trois ans (64 % en deux ans). Le taux de réussite varie selon la série au baccalauréat et la mention obtenue. Il est de 83 % pour les bacheliers généraux, 70 % pour les bacheliers technologiques et 50 % pour les bacheliers professionnels.
Selon les données relatives aux vœux d’orientation confirmés sur la plate-forme Parcoursup en 2018, un élève de Terminale scolarisé en France émet en moyenne 7,4 vœux. De fortes disparités sont cependant observées selon la série de baccalauréat préparée. Parcoursup n’impose plus au candidat de hiérarchiser ses vœux ni de faire un vœu obligatoire en licence pour certaines séries de bac. En analysant la composition de la liste individuelle des vœux, la Licence demeure le vœu le plus fréquent. Toutefois, par rapport à la campagne APB 2017, on observe un report des vœux de Licence, principalement vers les B.T.S. qui gagnent significativement en attractivité. La plupart des candidats ne choisissent qu’un seul type de formation (36 %) ou le complètent par un deuxième choix (33 %), notamment lorsque le premier concerne une filière sélective. Parmi les formations en Licence, celle de Droit est la plus demandée (plus de 200 000 vœux), loin devant les STAPS et l’Économie-Gestion. La PACES regroupe près de 180 000 vœux.
Cette note de synthèse présente les principaux résultats sur le parcours et la réussite des étudiants de master et sur les passages de licence générale en master. Sont parallèlement diffusées des données détaillées par discipline et série de baccalauréat ainsi que des indicateurs déclinés par université.
Un peu plus de la moitié des étudiants de master obtiennent leur diplôme en 2 ans et les deux tiers en 2 ou 3 ans
Les deux tiers des étudiants de master viennent de licence générale
Un bachelier 2009 sur cinq a obtenu un diplôme de master 5 ou 6 ans après son entrée en licence en 2009
Lors des procédures d’orientation, quatre lycéens sur dix font le choix de l’université (hors IUT) comme premier voeu sur le portail d’admission post-bac, antérieur à la mise en place de ParcourSup. Les filières courtes, STS et IUT, sont aussi très prisées, demandées, par environ 45 % des lycéens. Les voeux exprimés dépendent en partie de l’offre de formation locale, de la série du baccalauréat et du niveau scolaire de l’élève, ce qui induit des variations entre académies. Un peu plus du quart des néo-bacheliers émet prioritairement un souhait de poursuite d’études hors de son académie d’origine. Ces voeux de mobilité sont très importants chez les lycéens résidant dans les départements et régions d’outremer et la Corse, mais aussi dans les académies limitrophes de Paris. Inversement, les trois académies de la région parisienne, mais aussi celles de Lyon et de Limoges, se distinguent par leur forte attractivité.
Cette note de synthèse présente les principaux résultats sur le parcours et la réussite des néobacheliers (bacheliers qui s’inscrivent à l’université à la rentrée suivant l’obtention de leur baccalauréat) en DUT (Diplôme universitaire de technologie). Elle est accompagnée de la publication d'indicateurs déclinés par université.
En DUT, le taux de passage de la première à la deuxième année est de 71,6 %. Celui-ci varie fortement selon la série du bac : de 44 % pour les bacheliers professionnels à 79% pour les bacheliers généraux.
Les deux tiers des inscrits en IUT obtiennent leur diplôme en deux ans. La réussite en trois ans atteint 76,8 % (+11 points).
Les inscrits dans les spécialités des services ont un taux de réussite en 2 ou 3 ans de 5 points plus élevé que celui des étudiants des spécialités de la production (78,8% contre 73,9%).
La réussite en DUT est corrélée à la mention obtenue au baccalauréat, toutes séries confondues. Ainsi 70% des bacheliers admis au premier groupe (sans mention mais sans rattrapage) décrochent le sésame en trois ans, quand ils sont près de 88 % des bacheliers ayant obtenu une mention Bien.
Cette note de synthèse présente les principaux résultats sur le parcours et la réussite des néobacheliers (bacheliers qui s’inscrivent à l’université à la rentrée suivant l’obtention de leur baccalauréat) en licence et en PACES (Première Année Commune des Etudes de Santé). Sont parallèlement diffusées des données détaillées par discipline et série de baccalauréat ainsi que des indicateurs déclinés par université.
Quatre bacheliers sur dix inscrits en licence obtiennent leur diplôme en 3 ou 4 ans. Le niveau des taux de réussite s’explique par le nombre élevé d'étudiants qui abandonnent leur formation en début de parcours sans obtenir le diplôme.
Ainsi, 31 % des étudiants inscrits en L1 ne sont pas réinscrits en licence l’année suivante, mais en revanche, les taux de passage de L2 vers L3 et la réussite en L3 sont élevés.
Les différences de réussite entre bacheliers généraux, technologiques et professionnels sont très importantes : leur réussite en 3 ou 4 ans atteint respectivement 50,7% ; 15,6% et 5,0%.
Les bacheliers avec mention ont un taux de réussite nettement plus fort que ceux qui n’en ont pas obtenu. En revanche, les différences de réussite selon les disciplines de formation sont relativement réduites.
Près de 80 % des bacheliers inscrits en 2013 en première année de section de technicien supérieur (STS) sous statut scolaire passent en deuxième année, et 68 % d’entre eux obtiennent le BTS en deux ou trois ans (64 % en deux ans). Le taux de réussite varie selon la série au baccalauréat et la mention obtenue. Il atteint près de 83 % pour les bacheliers généraux, 71% pour les bacheliers technologiques et 48% pour les bacheliers professionnels.
Pour les docteurs diplômés en 2010, le débouché principal reste la recherche.
Dans la recherche publique, leurs trajectoires professionnelles durant les cinq premières années de vie active sont synonymes de passages plus ou moins longs par l’emploi à durée déterminée.
Ces parcours tranchent avec ceux des docteurs qui s’orientent très tôt vers les emplois du privé.
NI SIES 16.09 - Le parcours dans le système universitaire français des étudiants étrangers en mobilité internationale
Le parcours dans le système universitaire français des étudiants étrangers en mobilité internationale
La France est l’une des cinq principales destinations des étudiants étrangers en mobilité internationale. Plus de 80 % d’entre eux s’y inscrivent à l’université ou dans un établissement assimilé. Grâce au développement des programmes d’échanges internationaux, le nombre d’étudiants étrangers inscrits dans une université française a doublé en 15 ans mais il est stable depuis 2008.
Cette note de synthèse présente les principaux indicateurs sur le parcours et la réussite des étudiants à l’université. Elle est accompagnée de la publication d'indicateurs complémentaires, l'ensemble étant décliné par université (voir encadré). Ces informations sont publiées pour la cinquième année consécutive.
In 2014-2015, around 141,000 students were preparing for a State-recognised engineering degree, accredited by the Ministry of National Education, Higher Education and Research (MENESR).
Around 33,000 degrees were awarded in 2014, an increase of 22% in ten years.
The engineering degree is awarded following five years of study after the baccalauréat, the last three as part of an engineering cycle.
The trajectories are varied: half of entrants to the first year of an engineering cycle come from CPGE (classes preparing for admission to Grandes Ecoles) and 21% from an integrated preparatory cycle. Parallel access routes help to diversify the recruitment of entrants to an engineering cycle: 13% hold a DUT (university technology diploma) and 7% hold a Higher technical certificate (BTS) or Bachelor's degree.
Although representing nearly half of scientific baccalauréat holders, only 29% of engineering students are women. Some universities and engineering schools offer LMD Master's programmes (Bachelor's-Master's-PhD) in engineering which can lead to employment in the engineering sector. In 2014, 6,300 students on these Master's programmes obtained their qualification.
There are various trajectories open to students who wish to study economics or management. After obtaining the baccalauréat, or after two years of classes preparing for admission to Grandes Ecoles (CPGE), they can enrol at a university, University technology institute (IUT) or a business school.
Universities, which this study focuses on, offer courses in Management, Economics, Economic and Social Administration (AES) and eco-management multi-sciences.
This variety results in different course content and prospects. For these different courses, the main access route is still the Economic and Social Sciences baccalauréat.
Courses in AES, which is more generalist and multi-disciplinary, appeal to a great diversity of profiles, in particular technological and vocational baccalauréat holders, whereas the Economics route, which has a more theoretical content, attracts scientific baccalauréat holders.
In the end, depending on the course, between 30% and 50% of students obtain their Bachelor's degree in 3 or 4 years. Nearly one-third of Bachelor's graduates continue onto a Master's programme. Depending on the course, 46% to 61% of Master's students complete their studies in 2 years.
Avec 703 900 candidats et 618 800 bacheliers, le taux de réussite est stable à la session
2015. Il atteint 87,9 % : 91,5 % en général, 90,7 % en technologique et 80,5 % en professionnel.
L’effectif de candidats a baissé de près de 50 000 dans la voie technologique depuis 2004, dont 4 500 depuis 2014. Sur la même période, la voie professionnelle a augmenté de 96 000 candidats et la voie générale de 29 000 dont 10 000 l’an dernier. Dans le même temps, la proportion de bacheliers dans une génération a gagné plus de 16 points et atteint 77,2 % en 2015.
L’espérance d’obtenir le baccalauréat en 2015 pour un élève de sixième sous statut scolaire est la plus forte dans les académies d’Île-de-France, de Limoges, de Lyon, de Rennes et de Toulouse.
Dans 9 % des cas, les candidats au baccalauréat ont suivi un parcours spécifi que en langue, beaucoup plus souvent dans la voie générale et la série Hôtellerie qu’ailleurs.
The pass rate was stable for Bachelor's degree programmes, with 40% of students graduating in 3 or 4 years, as well as for University technology diplomas (DUT), where 3 out of 4 students graduated in 2 or 3 years. The pass rate, which correlates strongly with the type of baccalauréat held, does not include qualifications obtained following course reorientations outside universities. The pass rate for Master's degrees was 65% in 2 or 3 years, demonstrating a constant increase.
En 2012, le coût théorique du parcours d’un élève entre le début de sa scolarité obligatoire et la fin de ses études secondaires en France est dans la moyenne de l’OCDE. Ce coût théorique est inégalement réparti entre le primaire et le secondaire. Il dépend d’une part du coût annuel par élève dans chaque cycle et d’autre part de la durée théorique de scolarité dans le primaire et le secondaire. La France dépense moins que la moyenne de l’OCDE pour le parcours d’un élève dans le primaire, et plus pour un élève pendant la durée des études secondaires. La dépense pour un parcours dans l’enseignement supérieur est un peu plus élevée en France que dans la moyenne de l’OCDE.
En France, comme en moyenne dans l’OCDE, le secteur public finance la plus grande partie de la dépense d’éducation mais la structure du financement public est différente : en France, l’État participe à hauteur de 70 % au financement public de l’enseignement primaire-secondaire tandis que pour la moyenne de l’OCDE, ce sont les administrations territoriales qui en sont le premier contributeur (62 %). Le financement public de l’enseignement supérieur est plus centralisé à la fois en France et pour la moyenne de l’OCDE, avec une participation respective de l’État central de 87 % et 84 %.
In January 2014, around 57,000 students enrolled on the first year of a common healthcare studies course (PACES). First introduced in the academic year 2010-11, this course now covers the four disciplines of medicine, dentistry, pharmacy and midwifery.
37% of the students enrolled on a PACES course for the first time in 2010-11 who passed their first semester continued onto a second year of medical studies within one or two years. Due to the more frequent reorientations provided for by the PACES reform for students experiencing difficulties at the end of the first semester, this rate is slightly higher than for the previous generation (2009-10).
Although the PACES reform did not affect the sociodemographic characteristics of first year students, whose social background is marked by an over-representation of students from the higher socio-economic categories, it did however have an effect on the profiles of those who enrolled on one of the four medical programmes, in particular midwifery where the students admitted are almost exclusively female.
Interviewed about their situation at the start of the 2013-14 academic year, 59% of baccalauréat holders who enrolled in higher education in 2008 now have a degree. At the same time, 24% are continuing their studies but have not yet graduated, due to the course chosen or a delay in their studies. Finally, 17% have not graduated and have left higher education.
Half of the baccalauréat holders who enrolled on the first year of a Bachelor's degree obtained their qualification. Although only three in ten students who enrolled in the first cycle of medical studies (PCEM) or the first cycle of pharmaceutical studies (PCEP) then enrolled in the second cycle, there were many successful reorientations onto short courses, with over half of those enrolled in University technology institutes (IUT) and 22% of those enrolled in Advanced technician's sections (STS) obtaining a Bac +3 level qualification. 84% of students who enrolled in classes preparing for admission to Grandes Ecoles (CPGE) then enrolled on a Bac +5 level course or a Master's degree. Among the baccalauréat holders who enrolled on paramedic and social courses or preparations for these courses, 45% obtained a qualification. Only 10% of students who enrolled in higher education left without a qualification.
This summary note presents the main indicators for the trajectories and pass rates for University students: rates of transition from L1 to L2 (first to second years of a Bachelor's degree) and from M1 to M2 (first to second years of a Master's degree), rates of obtaining a Bachelor's degree, Master's degree and University technology diploma (DUT). It is accompanied by the publication of these indicators broken down per university (see box). This information is published for the third consecutive year. The results for the 2014 session should be available in the second quarter of 2016.
A l’occasion du 8 mars, journée internationale des droits des femmes, cette série de données statistiques renseigne sur la réussite comparée des filles et des garçons depuis l’école jusqu’à l’entrée dans la vie active. Elle met en évidence des différences selon les sexes en matière de parcours et de réussite des jeunes, de choix d’orientation et de poursuite d’études entre filles et garçons, qui auront des incidences ultérieures sur l'insertion dans l'emploi ainsi que sur les inégalités professionnelles et salariales entre les femmes et les hommes.
En 2011, le coût théorique du parcours d’un élève entre le début de sa scolarité obligatoire et la fin de ses études secondaires en France est dans la moyenne de l’OCDE. Ce coût théorique est inégalement réparti entre le primaire et le secondaire. Il dépend, d’une part, du coût annuel par élève dans chaque cycle et, d’autre part, de la durée théorique de scolarité dans le primaire et le secondaire. En France, le coût annuel d’un élève du primaire est inférieur à la moyenne de l’OCDE, alors qu’il est supérieur pour un élève du secondaire. La scolarité primaire y est plus courte que dans la plupart des pays (5 ans au lieu de 6) tandis que la scolarité secondaire est plus longue (7 ans au lieu de 6). La France dépense donc moins que la moyenne de l’OCDE pour le parcours d’un élève dans le primaire, et plus pour un élève pendant la durée des études secondaires.
Dans l’enseignement supérieur, la durée moyenne d’études en France est très légèrement supérieure à la moyenne de l’OCDE, et la dépense pour un parcours moyen y est un peu plus importante.
Au niveau national, l’État participe à hauteur de 63 % à la dépense moyenne, quand les administrations territoriales en fi nancent près de 26 %. Pour la moyenne de l’OCDE, ce sont les administrations territoriales qui contribuent pour la plus grande partie à la dépense moyenne (49 %), l’État central n’en fi nançant que 35 %.
This executive summary presents the main indicators for study paths followed by university students and their level of success: retention rate from first year to second year of the Bachelor's and Master's degrees, appeal of First and Second years of Master's, graduation rates for Bachelor's degrees, Master's degrees and Technological university diplomas delivered by the IUT (Diplôme universitaire de technologie - DUT).
In addition, these indicators are broken down by university. This information, published here for the second year running, will be disseminated every year. Results from the 2013 session should be available in February 2015.
La part des diplômes complets parmi l’ensemble des validations délivrées en VAE n’a cessé de croître : de 17 % en 2002, première année du dispositif, elle est passée à 60 % en 2011 et se stabilise en 2012 avec 59 % des validations.
Le master et la licence professionnelle sont les diplômes les plus recherchés dans le cadre de la VAE : à eux deux, ils représentent plus de 80 % des validations.
Les bénéficiaires d’une VAE sont à 85 % des actifs en emploi et 14 % sont au chômage. Parmi les personnes ayant un emploi, les cadres continuent d’être les principaux bénéficiaires : ils représentent 47 % des personnes inscrites dans un parcours de VAE en 2012.
La proportion des bénéficiaires de moins de 30 ans est de 5 % en 2012, proportion la plus faible depuis la création du dispositif. La part des 40-49 ans atteint 41 % : c’est la tranche d’âge la plus représentée parmi les bénéficiaires d’une VAE du supérieur. Les plus âgés qui font le choix d’une VAE à l’appui des acquis retirés d’une expérience professionnelle plus longue ont davantage tendance à rechercher l’obtention d’un « bac + 4 et plus ».
A l’occasion du 8 mars, journée internationale des droits des femmes, cette série de données statistiques renseigne sur la réussite comparée des filles et des garçons depuis l’école jusqu’à l’entrée dans la vie active. Elle met en évidence des différences selon les sexes en matière de parcours et de réussite des jeunes, de choix d’orientation, de poursuite d’études et d'insertion dans l'emploi entre les filles et les garçons.
En 2010, le coût théorique du parcours d'un élève entre le début de sa scolarité obligatoire et la fin de ses études secondaires en France est dans la moyenne de l'OCDE. Il est inégalement réparti entre le primaire et le secondaire : il dépend d'une part du coût annuel par élève dans chaque cycle et d'autre part de la durée théorique de scolarité dans le primaire et le secondaire.
The study path of students in first cycle programmes is marked by course changes and repeat years. In fact, only one in two students moves up directly from first year into the second year of the Bachelor's degree programme (one in four repeats the year and one in four changes course or gives up their higher education studies completely), while of those reaching the third year of the general Bachelor's degree programme, almost seven out of ten students obtain their diploma in just one year (nine out of ten for the vocational degree). For the University technology diploma delivered by the IUT (¦Diplôme universitaire de technologie - ¦DUT), the number of students moving into the second year is high, with seven out of ten students. The pass rate in second year is also high: almost nine students out of ten obtained their diploma at the 2011 session. In Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS), 85% of students move into second year. At the 2011 session, the pass rate for the Advanced technician diploma (¦Brevet de technicien supérieur - ¦BTS) was 72%, two points higher than in 2010. These rates vary depending on the type of students and the type of institution in which they are studying. However, overall, if the definition of failure in the first cycle of study is the fact of leaving higher education with no diploma, then the failure rate in France is around 19%, ten points below the OECD average.
27% of students entering university in the first year of a Bachelor's degree programme obtain their degree three years later and 12% of them take one extra year to finalise their degree. The age at which students obtained their baccalauréat, and above all the series of baccalauréat they took, are the factors that most affect their success in their degree course.
Pour sa septième édition, la brochure Filles et garçons sur le chemin de l’égalité compare les principales données statistiques disponibles en matière de parcours et de réussite des jeunes, de l’école à l’enseignement supérieur : répartition selon les niveaux d’enseignement, résultats scolaires, choix d’orientation, poursuite d’études après le baccalauréat et insertion professionnelle.
En France comme au niveau européen, les filles sont plus diplômées à la sortie du système éducatif. Elles se distinguent par une meilleure maîtrise de la langue, de moindres difficultés en lecture et des scores plus élevés en compréhension de l’écrit. Elles ont des résultats équivalents à ceux des garçons en sciences, mais semblent avoir moins confiance dans leur capacité scientifique.
Cet ensemble de données constitue un état de situation national, que les acteurs locaux peuvent décliner au niveau académique et au niveau des établissements scolaires. Il permet de disposer d’éléments qui aideront à la mise en place de politiques en faveur de l’égalité des sexes. Cette égalité, ambition politique collective, projet d’intégration sociale, est au cœur des missions de l’école de la République.
One recent change in the study path followed by young people in higher education is that they now leave their studies at a higher level: one third of pupils from the generation that entered the first year of secondary education in 1995 left the education system with at least a diploma at level baccalauréat + 3 years, compared with only a quarter from the previous generation, who entered the first year in 1989. In all, 44% obtained a diploma or certificate in recognition of at least two years of study after the baccalauréat. There are some significant differences according to social background: two out of three children of teachers reached the level of baccalauréat + 3 or more years' study, whereas this was the case for only one out of ten children of manual workers. The path taken in secondary education is a determining factor for continuing studies into higher education and the success achieved: the rate of successful completion of a higher education diploma ranges from 89% for those taking a general baccalauréat to 64% for the technological baccalauréat and 19% for the vocational baccalauréat. One in five young people going into higher education left with no diploma; most of these were enrolled in an Advanced technician’s section (¦Section de techniciens supérieurs - ¦STS).
Pour sa sixième édition, la brochure filles et garçons sur le chemin de l’égalité de l’école à l’enseignement supérieur compare les principales données statistiques disponibles en matière de parcours et de réussite des jeunes : répartition selon les niveaux d’enseignement, résultats scolaires, choix d’orientation, poursuite d’études après le baccalauréat et insertion professionnelle.
En France comme au niveau européen, les filles sont plus diplômées à la sortie du système éducatif. Elles se distinguent par une meilleure maîtrise de la langue, de moindres difficultés en lecture et des scores plus élevés en compréhension de l’écrit. Elles ont des résultats équivalents à ceux des garçons en sciences, mais semblent avoir moins confiance dans leur capacité scientifique.
Cet ensemble de données constitue un état de situation national qui peut être décliné, au niveau académique et au niveau des établissements scolaires. Il permet de disposer d’éléments qui aideront à la mise en place de politiques en faveur de l’égalité des sexes. Cette égalité, ambition politique collective, projet d’intégration sociale, est au cœur des missions de l’école de la République.
Higher Education and Research, Facts and Figures provides an annual overview, backed up by figures, of the French higher education and research system, in order to show where the country stands internationally and to monitor changes, especially over the long term.
Funding, human resources, access to higher education, study paths, pass rates, qualifications, integration of graduates into working life, student life, research in biotechnology or nanotechnology, participation in FP7, publications, patents, etc. - all these topics are covered in the 42 fact sheets that make up the 5th edition (2011) of this work.
Engineering schools provide a wide range of courses (Engineering diploma, Master's degree, Specialised Master's, PhD, etc.). They have 150,000 students, of whom 119,200 are preparing an Engineering diploma accredited by the Ministry of Higher Education and Research as a result of a decision by the Engineering degree commission (¦Commission des titres d'ingénieur - ¦CTI). 60% of future engineers are trained in schools under the authority of the Ministry. The engineering diploma is obtained after five years of post-baccalauréat study, but there are a variety of paths to this end. Courses in engineering schools last between three and five years, depending on the level at which the student entered. Although the most common route into an engineering school is via classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classes préparatoires aux grandes écoles - ¦CPGE), admission based on qualifications is possible at all levels. In first year, 70% of students enrol in the year they passed their baccalauréat, and most of these have a scientific baccalauréat. Although women are in the minority, their share is constantly increasing and they predominate in agriculture and applied science courses. More than 28,000 diplomas were awarded in 2009.
At the start of the 2009-10 academic year, eight out of ten baccalauréat holders from 2008 were still studying in higher education and the vast majority were continuing along the same study path. The pass rate in short courses was high: nine out of ten of those enrolled in an Advanced technician’s section (¦Section de technicien supérieur - ¦STS) or Technological university institute (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) continued into the next year. However, a quarter of those who had gone into classes preparing for admission to Grandes Ecoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE) or into a Bachelor's degree programme after their baccalauréat did not re-register. 52% of students in the Bachelor's degree programme went into second year; what happened at the end of the first year varied considerably according to their previous study path and their motivation for studying at university. The rates of students moving into the next year are much higher when they have a baccalauréat with distinction or when they have decided on the course they want to follow. In second year, students find it less difficult to organise themselves and they say they are more satisfied with their studies, especially at university. However, the majority feel that they are not well-informed about the opportunities for changing courses and further studies.
Pour sa cinquième édition, la brochure Filles et garçons sur le chemin de l’égalité de l’école à l’enseignement supérieur compare les principales données statistiques disponibles en matière de parcours et de réussite des jeunes : répartition selon les niveaux d’enseignement, résultats scolaires, choix d’orientation, poursuite d’études après le baccalauréat, insertion professionnelle.
En France comme au niveau européen, les filles sont plus diplômées à la sortie du système éducatif, se distinguent par une meilleure maîtrise de la langue, de moindres difficultés en lecture et des scores plus élevés en compréhension de l’écrit. Elles ont des résultats équivalents à ceux des garçons en sciences, mais semblent avoir moins confiance dans leur capacité scientifique.
Cet ensemble de données constitue un état de situation national, qui peut être décliné, au niveau académique et au niveau des établissements scolaires. Il permet de disposer d’éléments qui aideront à la mise en place de politiques en faveur de l’égalité des sexes. Cette égalité, ambition politique collective, projet d’intégration sociale, est au cœur des missions de l’École de la République.
Cette brochure présente les parcours scolaires comparés des filles et des garçons au niveau national. Elle donne ainsi la possibilité aux élèves d'avoir une plus large visibilité sur la diversité et le contenu des cursus pour leur orientation.
Elle regroupe, sous forme de tableaux et de graphiques, les principales données statistiques disponibles sur les parcours scolaires comparés des filles et des garçons.
En 2004, la plupart des étudiants qui s'inscrivent pour la première fois en première année de licence (L1) ont obtenu un baccalauréat général "à l'heure ou en avance". Trois inscrits en L1 sur dix obtiennent une licence en trois ans. La série et l'âge d'obtention du baccalauréat ont une forte influence sur les chances de succès. Compte tenu de la diversité des parcours étudiants, la réussite en licence par université est difficile à appréhender.
Un panel de 17 830 élèves entrés en 6ème en 1995 a été mis en place par le ministère de l'Education nationale pour étudier leur situation scolaire au début de chaque année. 98 % des élèves qui se sont orientés en classe préparatoire sont parvenus au baccalauréat en 2002 et 2003. Près de la moitié des bacheliers qui ont eu une mention bien ou très bien vont en classe préparatoire. Les orientations des bacheliers généraux varient selon leur origine sociale : 46 % vont en 1er cycle universitaire, 35 % vont en CPGE, les autres en IUT ou STS ou autres formations. Quatre ans plus tard, près des trois quarts des élèves inscrits en CPGE ont rejoint une grande école. Indication des sources en encadré.
En 2002, la majorité des nouveaux inscrits en quatrième année à l'université ont obtenu un baccalauréat plus de quatre années plus tôt. Un tiers d'entre eux sont des bacheliers scientifiques ; les femmes sont majoritaires. Un quart des inscrits en 4ème année d'enseignement supérieur obtiennent un master, un DEA ou un DESS dans les délais prévus. La formation suivie l'année précédant l'inscription en 4ème année, la filière choisie et la série du baccalauréat ont influé sur la réussite. En encadré : source et définitions.
Le relèvement, entre 1997 et 2002, du numerus clausus - qui fixe le nombre d'étudiants autorisés à poursuivre en deuxième année de médecine ou en odontologie - a eu pour effet d'augmenter l'attractivité des études médicales. 95 % des étudiants sont titulaires du baccalauréat scientifique et les filles représentent 67 % des étudiants de première année. La réussite au concours dépend fortement du parcours antérieur (graphique 2 sur l'âge d'obtention du baccalauréat) et est également liée aux origines sociales (graphique 1). $12% des bacheliers de la session 2002 ont accédé à l'issue de la première année de médecine à la seconde année; 70% de ceux qui ont échoué se réinscrivent en première année (graphique 3).
Les trois quarts des bacheliers inscrits dans une filière générale de l'université après leur baccalauréat sont sortis du système éducatif avec un diplôme de l'enseignement supérieur. Plus de 60 % ont obtenu un diplôme universitaire. Les plus nombreux des bacheliers extraits du panel se sont inscrits en DEUG (36 %). De grandes disparités d'accès à un diplôme universitaire apparaissent selon le parcours antérieur des bacheliers. En tableaux et en graphiques : taux d'inscription selon leur mention au bac, devenir la deuxième année, devenir et réussite selon qu'ils sont dans la filière de leur choix, selon les spécialités de DEUG ; impact des différentes caractéristiques des bacheliers inscrits en DEUG sur leur probabilité de sortir de l'université avec un diplôme (sexe, âge, PCS, spécialité de DEUG, motivation). En encadré : source.
Quatre élèves sur dix entrés en sixième en 1989 sont sortis du système éducatif avec un diplôme de l'enseignement supérieur. Mais les écarts sont très importants selon leur origine sociale. Le parcours suivi dans l'enseignement secondaire est déterminant pour la poursuite d'études et la réussite dans l'enseignement supérieur. Trois tableaux font état respectivement : du niveau atteint par les élèves de la cohorte selon leurs caractéristiques scolaires à l'entrée en sixième, du parcours des bacheliers selon les principales séries de baccalauréat, du parcours des bacheliers selon les principales orientations prises après le baccalauréat. Cinq graphiques décrivent respectivement : le diplôme le plus élevé obtenu par les élèves du panel 1989, le niveau atteint par les filles et les garçons, le niveau atteint par les élèves de la cohorte selon leur origine sociale, le niveau atteint par les élèves de la cohorte selon l'accès ou non de leurs parents au baccalauréat, le taux d'accès des élèves du panel à un baccalauréat général selon leur origine sociale. En encadré : source.
La participation des femmes à la recherche tient à l'augmentation de leur part dans les écoles d'ingénieurs et troisièmes cycles universitaires. Parmi les chercheurs en entreprises, une femme pour quatre hommes et une pour trois parmi le personnel de soutien. Depuis vingt ans, leur part a doublé. Cependant, selon les branches de recherche, les situations sont contrastées, la pharmacie, par exemple, concentrant la population féminine ; de même, la part des femmes diffère selon la taille de l'entreprise, les grandes entreprises ayant le plus grand nombre de femmes. Les femmes chercheurs sont souvent plus jeunes que leurs homologues masculins et ont plus souvent un parcours universitaire, les formations d'ingénieur étant moins fréquentes. La croissance de l'emploi féminin, depuis 1992, explique plus d'un tiers de celle de l'emploi des chercheurs en entreprise.
Une enquête par questionnaire a été réalisée en juin 2001 auprès des allocataires moniteurs de l'enseignement supérieur, dispositif mis en place en 1998 attribuant aux meilleurs étudiants de DEA une allocation de monitorat sur trois ans en contrepartie d'un certain nombre d'heures d'enseignement, en vue d'une initiation au métier d'enseignant chercheur. La part des femmes est en progression constante dans l'enseignement supérieur, mais leur présence dans la population des moniteurs varie grandement en fonction des disciplines. Le recrutement des moniteurs se fait essentiellement parmi les doctorants français. L'étude porte sur les parcours scolaires des moniteurs, sur le poids de la famille : le tableau I donne la mention au bac et la profession des parents, le tableau II le parcours de formation selon la direction scientifique, le tableau III les raisons du monitorat. Deux graphes présentent d'une part, les rapports entretenus avec les enseignants au sein du département, d'autre part les difficultés les plus importantes rencontrées en tant qu'enseignant débutant. Un dernier graphe donne un aperçu des projets prioritaires des moniteurs après la thèse.
Cette étude s'appuie sur les résultats du suivi d'une cohorte de bacheliers depuis l'année 1996-97. L'admission en classe préparatoire est fortement liée à la scolarité antérieure des élèves (âge et absence de redoublement, mention au bac), mais aussi au rôle des enseignants. Par ailleurs, les garçons s'orientent plus souvent que les filles vers cette filière, dont les élèves appartiennent majoritairement à des CSP aisées. $Si la plupart se disent satisfaits de cette formation, leur parcours et leur devenir sont ensuite différents selon les spécialités .
En 1999, près de 80 % des étudiants inscrits dans la filière ont obtenu un DEUG, pourcentage en augmentation par rapport à 1998. Le DUT est obtenu par plus de 87 % des étudiants, pourcentage stable en 1998 et 1999. Le taux de réussite varie selon le parcours scolaire antérieur, les filières, le sexe, la CSP des parents. Le pourcentage de diplômés poursuivant leurs études en 2e cycle universitaire augmente (90,7 % des titulaires du DEUG en 1998, 93,5 % en 1999 ; 33 % des titulaires du DUT en 1998, 40,6 % en 1999). Sources, définitions et méthodologie précisent les indicateurs.
Par académie : de 1991-92 à 1998-99, effectifs inscrits ; en 1998-99 par concours préparé pour la 1ère année, par degré pour la 2ème année. Effectifs par année de formation et degré préparé de 1991-92 à 1998-99. Par concours préparé : par année pour 1998-99 et par sexe (1ère année), (quelques disciplines sont détaillées) ; par discipline des licences obtenues ; par situation avant la 2ème année. Graphique : niveau de formation universitaire des étudiants de 1ère année selon le concours préparé. Encadrés : les IUFM ; les parcours en IUFM ; définitions ; champ de l'enquête.