Statistical publications of Pierre Boulet (SIES A2.1)


Higher education, research & innovation in France, facts and figures
SITTAR C1,SIES A2.4,SIES A2.2,SIES A2.1,SIES,OVE,Insee DETET,HCERES-OST,ERASMUS+,DICODOC,DGRH C1-1,DGRH A1-1,DGESIP A2,DEPP B1,DEPP A3,DEPP A1,DEEVA
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
NI SIES 23.03 - La mobilité géographique à l’entrée dans l’enseignement supérieur
SIES A2.1
À la rentrée 2020, presque un néo-bachelier sur cinq change d’académie au moment de son entrée dans l’enseignement supérieur. En dehors des problématiques liées à l’insularité et à l’exception de quelques académies, l’offre de formation globale est plutôt bien répartie sur le territoire hexagonal. Mais, par leur offre locale les académies ne sont pas toutes confrontées au même phénomène : certains territoires voient partir leurs étudiants quand d’autres les gardent et attirent des étudiants supplémentaires. Si être très bon élève et avoir une mention au baccalauréat favorise la mobilité, le principal facteur de mobilité reste la possibilité de poursuivre dans la formation de son choix. Le néo-bachelier, qui n’a pas trouvé la formation qu’il souhaite dans son académie ou qui n’a pas été retenu près de chez lui, n’hésite pas à changer d’académie pour entreprendre les études désirées. Les académies de Grenoble, Amiens et Limoges font partie des territoires qui ont le taux de néo-bacheliers mobiles le plus important : plus de trois étudiants sur dix quittent leur académie de baccalauréat. Pour Grenoble et Amiens, ils vont dans l’académie voisine particulièrement attractive : Lyon et Lille. L’académie de Limoges est particulière, puisque si elle perd 1 400 bacheliers, 2 300 viennent s’y inscrire pour leur première année.
Higher education, research & innovation in France, facts and figures
SITTAR C1,SIES A2.4,SIES A2.2,SIES A2.1,SIES,SETTAR C1,OVE,Insee DETET,HCERES-OST,ERASMUS+,DICODOC,DGRI,DGRH C1-1,DGRH A1-1,DGESIP A2,DEPP B1,DEPP A3,DEPP A1,DEEVA
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
NF SIES 07 - Parcoursup 2021 - Les voeux des lycéens à l'entrée dans l'enseignement supérieur
SIES A2.1
En 2021, 641 000 lycéens scolarisés en France se sont inscrits sur Parcoursup. C'est 17 000 candidats de moins qu'en 2020, baisse qui s'explique par la dynamique démographique. Parmi eux, 96,6 % ont confirmé au moins un vœu dans une formation hors apprentissage, soit presque 2 points de moins que l'an dernier. Cette baisse est à imputer aux candidats de terminales professionnelles qui confirment plus souvent des vœux uniquement en apprentissage. Parallèlement, le nombre de formations proposées sur Parcoursup continue de progresser pour atteindre plus de 13 300 (+500 par rapport à 2020, hors formations en apprentissage). En moyenne, un candidat a confirmé 12,8 vœux ou sous-vœux, soit 2,6 de plus qu'en 2020. La composition des listes de vœux évolue peu : les licences représentent 33 % des listes de vœux et les BTS 30 %. La part de nombre de vœux en Bachelors Universitaires Technologiques (BUT), qui se substituent aux DUT, de 10,4 %, est en retrait de 0,8 point par rapport à celle des DUT en 2020. Cette nouvelle formation est cependant plus souvent choisie par les terminales technologiques que les DUT en 2020 (57 % contre 55 %). Plus de la moitié (58 %) des candidats font des vœux dans une ou deux filières de formation. Plus de sept candidats sur dix ont fait un vœu en dehors de leur académie de résidence. Cette part est plus élevée pour les lycéens non boursiers (74 %) que pour les boursiers (66 %) ; elle progresse de 5 points par rapport à 2020, quel que soit le profil du lycéen.
NI SIES 21.03 - Parcours des étudiants suivant un aménagement loi ORE
SIES A2.1
La loi ORE votée le 8 mars 2018 a pour objectif d'améliorer l'orientation et la réussite des étudiants. Dans ce cadre, les nouveaux bacheliers entrant en licence, notamment, peuvent bénéficier d'une individualisation de leur parcours afin d'améliorer leurs résultats en première année post bac. À la rentrée 2019, 25 600 étudiants en première année de licence générale suivent un aménagement de parcours, soit une hausse de près de 11 000 étudiants en un an. Ce sont 9,3 % des néo?bacheliers de licence qui suivent un aménagement de parcours (+ 3,7 points en un an). Les universités sont de plus en plus nombreuses à les mettre en place, passant de 46 à 62. Les étudiants concernés ont pour la plupart reçu comme proposition d'acceptation une réponse conditionnée « oui si » sur la plateforme Parcoursup. Ils ont très rarement obtenu une mention au baccalauréat et ont souvent accumulé un retard scolaire, facteurs statistiquement moins favorables à la réussite. Si 45 % des néo-bacheliers inscrits en première année de licence en 2018 sont passés en L2 en 2019, c'est le cas d'environ 30 % des nouveaux bacheliers inscrits avec un aménagement pédagogique. Parmi les étudiants bénéficiant d'un aménagement de durée de la licence, 25 % ont acquis le nombre d'E.C.T.S. attendus, dont 5 % sont passés en L2. Parmi ceux qui n'ont pas atteint l'objectif fixé pour cette première année, 62 % sont réinscrits en L1.
Higher education, research & innovation in France, facts and figures
SITTAR C1,SITTAR,SIES A2.4,SIES A2.2,SIES A2.1,OVE,Insee DETET,HCERES-OST,ERASMUS+,DICODOC,DGRH C1-1,DGRH A1-1,DGESIP A2,DEPP B1,DEPP A3,DEPP A1,DEEVA
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Higher education, research & innovation in France, facts and figures
SITTAR C1,SITTAR,SIES A2.4,SIES A2.2,SIES A2.1,OVE,Insee DETET,HCERES-OST,ERASMUS+,ENSAI,DICODOC,DGRH C1-1,DGRH A1-1,DGESIP A2,DEPP B1,DEPP A3,DEPP A1,DEEVA,DAEI B2
Higher Education, Research & Innovation, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 52 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
French Ministry of Higher education and Research