Au 31 décembre 2022, les centres de formation d’apprentis accueillent 576 000 étudiants préparant un diplôme de l’enseignement supérieur. Cela représente une hausse de 20 % en un an et de 78 % en deux ans. Près d’un tiers de ces apprentis sont inscrits en STS, 16 % en écoles de commerce et 29 % dans diverses autres formations principalement privées. 44 % des étudiants en STS effectuent leur année en apprentissage, tout comme 68 % des étudiants en licence professionnelle, 12 % des étudiants en IUT et 27 % des étudiants en écoles de commerce. Un sixième des apprentis sont formés à Paris et près d’un tiers en Ile-de-France. Dans les formations d’ingénieur et les écoles de commerce, les apprentis sont en moyenne d’origine sociale moins favorisée que les étudiants « scolaires », mais pas dans les formations universitaires. 48 % des apprentis sont des femmes.
À la rentrée 2022, 107 300 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie (IUT) pour préparer un BUT ou un DUT, effectif en baisse de 6,8 % par rapport à 2021-2022. À cette rentrée ouvrait la deuxième année du bachelor universitaire de technologie (BUT) créé en 2021. Les inscriptions diminuent nettement en deuxième année : -12,5 %. Les inscriptions prises en apprentissage progressent fortement et représentent 12 % des effectifs. Le nombre de nouveaux entrants en IUT baisse de 2,4 % après une baisse de 5,9 % l’an dernier. Parmi ces nouveaux entrants, plus de quatre étudiants sur dix sont des bacheliers technologiques, part en légère hausse en un an (+ 1,5 point).
En 2020-2021, 323 300 étudiants sont inscrits en apprentissage dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements et régions d’outre-mer, soit une hausse de 80 % en deux ans. 44 % des apprentis sont des femmes et 28 % sont formés en Ile-de-France. Plus d’un tiers des étudiants effectuant un apprentissage sont en section de techniciens supérieurs (STS) et près de 80 % dans six grandes filières de formation (STS, IUT, licence professionnelle, master, formation d’ingénieur, école de commerce). Dans ces filières, 16 % des étudiants inscrits sont en apprentissage. Par rapport aux autres étudiants en formation initiale, les apprentis sont plus souvent issus des baccalauréats technologiques et professionnels. En outre dans les formations d’ingénieurs et les écoles de commerce, les étudiants en apprentissage sont moins souvent issus des classes préparatoires aux grandes écoles et ont des origines sociales plus diverses que les autres étudiants. Enfin, les étudiants qui effectuent la dernière année de leur formation en apprentissage obtiennent autant ou davantage leur diplôme que les autres, selon la filière de formation.
Depuis la rentrée 2021, les étudiants de première année s’inscrivent dans un bachelor universitaire de technologie (BUT) et ceux de deuxième année continuent de préparer un diplôme universitaire de technologie (DUT). À cette rentrée, 115 100 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie (IUT) pour préparer un DUT ou un BUT, effectif en baisse de 4,9 % par rapport à 2020-2021. Le nombre de nouveaux entrants en IUT diminue de 5,9 % après une légère augmentation l’an dernier (+ 1 %). Quatre sur dix sont des bacheliers technologiques, part en hausse de près de 7 points en un an.
En 2021-2022, 1 634 200 étudiants sont inscrits en université ( hors autres établissements membres ou composantes des établissements expérimentaux). Stables dans l’ensemble (+0,3 %) par rapport à 2020-2021, les effectifs augmentent nettement en cursus master (+ 2,9 %) tandis qu’ils diminuent de 1,2 % en cursus licence, les nouveaux bacheliers étant nettement moins nombreux (- 4,1 %). En doctorat, après plus de dix années de baisse, les effectifs se stabilisent (+0,6 %). Si en disciplines générales, les inscriptions sont en hausse, notamment en sciences, celles en IUT diminuent de près de 5 %. Les étudiants en mobilité internationale reviennent dans les universités françaises et leur nombre retrouve son niveau d’avant la crise sanitaire. Sur le périmètre élargi aux établissements expérimentaux, les effectifs universitaires s’établissent à 1 687 800.
À la rentrée 2020, 120 900 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie (IUT) pour préparer un diplôme universitaire technologique, effectif stable (+ 0,3 %) par rapport à 2019-2020. Le nombre de nouveaux entrants en IUT augmente de 1,0 % après la diminution équivalente de l'an dernier. Ce sont les nouveaux bacheliers pour lesquels les inscriptions sont les plus dynamiques (+ 2,1 %), principalement pour les bacheliers technologiques (+ 3,5 %). Un an après l'obtention du DUT, sept diplômés sur dix poursuivent leurs études. À la rentrée 2021, le DUT va devenir un diplôme intermédiaire, avec la création du Bachelor Universitaire de Technologie (BUT) en trois ans.
À la rentrée 2020, selon les données provisoires établies au 20 octobre, 284 800 nouveaux bacheliers sont inscrits en première année de cursus licence à l'université. Cette hausse des effectifs, de 5,2 % par rapport à l'année précédente, est liée à l'augmentation du taux de réussite au baccalauréat en juin 2020 et à l'accroissement des capacités d'accueil. Le nombre de nouveaux bacheliers progresse moins fortement en IUT (+1,7 %) que dans les disciplines générales de l'université (6,0 %).
A la rentrée 2019, 120 600 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie, progressant faiblement (+ 0,7 %) par rapport à 2018-2019. Le nombre de nouveaux entrants en IUT diminue de 1,3 % après la forte hausse de l'an dernier. En particulier, les nouveaux bacheliers intégrant cette formation sont moins nombreux, quelle que soit la série du baccalauréat, la baisse étant toutefois moins marquée pour les néo-bacheliers technologiques. Un an après l'obtention du D.U.T. les trois quarts des diplômés poursuivent leurs études. De fait, le DUT va devenir un diplôme intermédiaire, avec la création du Bachelor Universitaire de Technologie (BUT) en trois ans mis en place en 2021.
En 2018-2019, 119 700 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie, effectif en progression de 2,5 % par rapport à la rentrée 2017. Le nombre de néo-bacheliers entrés en IUT (+ 6,9 % soit + 3 300 inscrits) s'accroît vivement, sous l'effet du boom démographique de l'an dernier. Parmi les nouveaux entrants dans cette formation, près d'un tiers ont obtenu un baccalauréat technologique, part en hausse de 2,3 points, les néo-bacheliers de cette série étant particulièrement plus nombreux en IUT (+ 14,8 %).
Près de deux bacheliers sur trois suivent une formation en STS, IUT. ou licence après l'obtention de leur baccalauréat, un quart sont dans d'autres formations et 13 % ne prolongent pas leurs études dans l'enseignement supérieur. Les étudiants peuvent passer d'une formation à l'autre soit du fait de réorientation ou de poursuite après l'obtention d'un premier diplôme. Des redoublements peuvent aussi intervenir. Les durées moyennes pour obtenir un BTS vont ainsi de 2,2 années pour ceux qui y sont rentrés directement, à 3,4 ans pour ceux passés par une licence auparavant. Ces durées, ainsi que les taux de réussite et de poursuite fluctuent fortement selon les caractéristiques des bacheliers : dans le parcours licence, deux bacheliers généraux sur trois sont diplômés en moyenne en 3,4 ans, contre un bachelier professionnel sur dix, au bout de 4,2 années.
Les bacheliers généraux, qui représentent les deux tiers des primo-entrants dans les instituts universitaires technologiques, sont ceux qui y réussissent le mieux : les trois-quarts d’entre eux sont diplômés en deux ans et plus de huit sur dix en 3 ans. Les deux-tiers des bacheliers technologiques de 2014 inscrits en IUT ont obtenu leur diplôme en 2 ou 3 ans. Meilleure est la mention au baccalauréat, plus élevés sont les taux de réussite.
En 2018-2019, selon les données provisoires établies au 20 octobre, le nombre d’inscriptions des nouveaux bacheliers en première année de cursus licence à l’université est de 288 000, en progression de +7,2% par rapport aux données provisoires établies à la même date pour l’année universitaire 2017-2018. Hors doubles inscriptions des étudiants en CPGE, l’augmentation s’élève à +7,4%, soit 19 600 inscriptions supplémentaires. La hausse du nombre d’inscriptions est très élevée aussi bien en IUT (+7,3%) qu’à l’université hors IUT (+7,4% hors CPGE). Cette forte progression est liée à l’augmentation exceptionnelle du nombre des candidats et donc des lauréats au baccalauréat en 2018, du fait du boom démographique de l’an 2000, ainsi qu’à l’accroissement des capacités d’accueil à l’université mises en place en anticipation de cet afflux. La hausse qui sera mesurée sur les données définitives pourrait néanmoins différer, car il n’est pas exclu que l’introduction d’un nouveau système de gestion des vœux à l’entrée dans l’enseignement supérieur ait pu modifier le rythme des inscriptions.
En 2017-2018, 1 642 200 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM. Les effectifs augmentent de 1,2 % (1,0 % hors inscriptions parallèles en Classes préparatoires aux grandes écoles et à l’université). En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 1,6 % et + 1,4 % hors doubles inscriptions) et en cursus master (+ 0,5 %), mais diminuent en cursus doctorat (- 0,7 %). Les nouveaux bacheliers sont toujours plus nombreux à l’université (+ 1,3 % et + 0,8 % hors double inscriptions) mais cette hausse est plus de deux fois moins élevée que l’année précédente. Le nombre de nouveaux bacheliers est également en hausse dans les IUT (+1,5 %). Le nombre de nouveaux bacheliers généraux dans les disciplines générales se stabilise (- 0,2 % hors inscriptions en CPGE), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques continue à augmenter en IUT (+ 1,5 %). La part des étudiants étrangers à l’université augmente légèrement : ils représentent 14,6 % des inscriptions.
La poursuite d’études des bacheliers et le niveau des diplômes obtenus dans l’enseignement supérieur ont progressé en 6 ans. La part des bacheliers 2008 ayant atteint ou dépassé un niveau bac + 5 atteint 32 %. Elle est supérieure de 6 points à celles des bacheliers 2002. Parallèlement, la proportion de bacheliers entrés dansle supérieur et sortis sans diplôme est restée stable à environ 20 %. Ces résultats masquent de fortes disparités entre types ou séries de baccalauréat, ou encore selon le niveau scolaire à la sortie du lycée et selon l’origine sociale. Ainsi, 15 % des bacheliers généraux entrés dans le supérieur en sortent non diplômés, mais 28 % des bacheliers technologiques et 50 % des bacheliers professionnels. Plus d’un enfant de cadres sur deux sort de l’enseignement supérieur diplômé d’un bac + 5 ou plus contre seulement 13 % des enfants d’ouvriers. La filière d’entrée détermine largement le niveau de diplôme atteint à la sortie du supérieur. Près de la moitié des entrants en IUT sortent diplômés à un niveau au moins égal à bac + 5 : c’est quatre fois plus que ceux poursuivant en STS.
Les présentes données sont issues de l’enquête «inscriptions» du système d’information sur le suivi de l’étudiant (SISE Universités). Les données 2016-2017 sont définitives. En revanche les données 2017-2018 sont provisoires. La date d’observation est fixée au 15 janvier de chaque année universitaire. Le champ couvert par cette note est constitué des 112 IUT de France métropolitaine et DOM. Sont concernés dans cette note les étudiants préparant un Diplôme Universitaire de Technologie (DUT).
Lors des procédures d’orientation, quatre lycéens sur dix font le choix de l’université (hors IUT) comme premier voeu sur le portail d’admission post-bac, antérieur à la mise en place de ParcourSup. Les filières courtes, STS et IUT, sont aussi très prisées, demandées, par environ 45 % des lycéens. Les voeux exprimés dépendent en partie de l’offre de formation locale, de la série du baccalauréat et du niveau scolaire de l’élève, ce qui induit des variations entre académies. Un peu plus du quart des néo-bacheliers émet prioritairement un souhait de poursuite d’études hors de son académie d’origine. Ces voeux de mobilité sont très importants chez les lycéens résidant dans les départements et régions d’outremer et la Corse, mais aussi dans les académies limitrophes de Paris. Inversement, les trois académies de la région parisienne, mais aussi celles de Lyon et de Limoges, se distinguent par leur forte attractivité.
En 2016-2017, 1 623 500 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM. Ils étaient 1 593 200 en 2015-2016. Les effectifs augmentent de 1,9 %. En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 2,8 %) et en cursus master (+ 0,8 %), mais diminuent en cursus doctorat (- 2,3 %). Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université continue à croître (+ 3,1 %) mais les inscriptions parallèles des étudiants de CPGE expliquent plus de la moitié de cette hausse, qui s’élève à + 1,8 % sans ces inscriptions. Le nombre d’étudiants est également en légère hausse dans les IUT (+0,3 %). Les bacheliers généraux sont toujours plus nombreux dans les disciplines générales (+3,8 % hors inscriptions en CPGE), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques augmente en IUT (+1,8 %) et les bacheliers professionnels se dirigent nettement moins vers l’université (-2,7 %). La part des étudiants étrangers à l’université est stable : ils représentent 14,2 % des inscriptions.
En 2017-2018, le nombre d’inscriptions des nouveaux bacheliers en première année de cursus licence à l’université progresse de +1,4 % par rapport à l’année précédente (données provisoires). Hors doubles inscriptions des étudiants en CPGE, l’augmentation est ramenée à +0,7 %, soit 1 700 inscriptions supplémentaires. Le taux de poursuite des bacheliers à l’université est en baisse pour toutes les séries du baccalauréat. Ainsi, le nombre de bacheliers scientifiques progresse de 2,1% à la session 2017 mais le nombre d’inscrits universitaires hors IUT progresse de 1,1%. Le nombre d’inscrits recule même très fortement (-14,8 %) pour les bacheliers professionnels, alors que le nombre de lauréats au baccalauréat diminue de seulement 1,7 %. Les évolutions sont contrastées par discipline.
La hausse des inscriptions de nouveaux bacheliers à l’université est de 0,7 % hors doubles inscriptions en CPGE, selon les données provisoires
En forte croissance, les nouveaux bacheliers s’inscrivent proportionnellement moins à l’université que l’an passé
Cette note de synthèse présente les principaux résultats sur le parcours et la réussite des néobacheliers (bacheliers qui s’inscrivent à l’université à la rentrée suivant l’obtention de leur baccalauréat) en DUT (Diplôme universitaire de technologie). Elle est accompagnée de la publication d'indicateurs déclinés par université.
En DUT, le taux de passage de la première à la deuxième année est de 71,6 %. Celui-ci varie fortement selon la série du bac : de 44 % pour les bacheliers professionnels à 79% pour les bacheliers généraux.
Les deux tiers des inscrits en IUT obtiennent leur diplôme en deux ans. La réussite en trois ans atteint 76,8 % (+11 points).
Les inscrits dans les spécialités des services ont un taux de réussite en 2 ou 3 ans de 5 points plus élevé que celui des étudiants des spécialités de la production (78,8% contre 73,9%).
La réussite en DUT est corrélée à la mention obtenue au baccalauréat, toutes séries confondues. Ainsi 70% des bacheliers admis au premier groupe (sans mention mais sans rattrapage) décrochent le sésame en trois ans, quand ils sont près de 88 % des bacheliers ayant obtenu une mention Bien.
En 2016-2017, le nombre d’étudiants inscrits en institut universitaire de technologie (IUT) est de 116 600, en légère augmentation par rapport à 2015-2016 (+0,3 %). Ils sont 63 400 à être inscrits en 1ère année d’IUT (en baisse de 0,3 %) et 53 200 à l’être en 2ème année d’IUT (en hausse de 1,1 %).
Selon les données relatives aux vœux d’orientation exprimés sur la plate-forme admission post-bac (APB) en 2017, un candidat au baccalauréat émet en moyenne 7,7 vœux. En premier vœu, 39,1 % des candidats demandent une licence, 28,8 % une section de technicien supérieur, 13,7 % une admission en IUT, 8,3% une classe préparatoire aux grandes écoles. Parmi les premiers vœux désignant une L1, 4 mentions de licence recueillent 50 % des demandes : la PACES (17 %), le droit (14%), les STAPS (11 %) et la psychologie (7 %). Les parts des femmes et des hommes varient considérablement selon les mentions de licence. Ainsi, 83,9 % des premiers vœux exprimés en psychologie émanent de candidates, contre 26,7 % en STAPS. La volonté d’intégrer une filière se traduit par une accumulation de vœux dans la filière demandée. Ainsi, les étudiants demandant une CPGE – respectivement une STS - en premier vœu font en moyenne 8,2 vœux –respectivement 4,5 vœux - dans cette même filière.
Les bacheliers 2014 sont 79 % à s’inscrire dans une formation de l’enseignement supérieur à la rentrée suivante. Les taux de poursuite par série de baccalauréat sont quasi inchangés par rapport à la précédente enquête, réalisée auprès des bacheliers 2008. Toutefois, le taux de poursuite moyen diminue, du fait de la proportion accrue de bacheliers professionnels au sein de la cohorte 2014, lesquels poursuivent moins leurs études que les bacheliers des autres séries. La majorité des étudiants suit une formation correspondant à la filière demandée en premier voeu sur la plateforme Admission Post-Bac. Les proportions sont de 55% en IUT, 62 % en STS, 70 % en CPGE et 77 % en licence. La satisfaction vis-à-vis des formations suivies s’améliore par rapport à celle des bacheliers 2008, particulièrement pour les étudiants en licence. De même, les perspectives d’études longues progressent : 54 % des bacheliers 2014 envisagent d’atteindre au moins un bac + 5, contre 48 % six ans plus tôt.
En 2015-2016, 1 593 200 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM (y compris l’université de Lorraine). Ils étaient 1 531 300 en 2014-2015. Les effectifs inscrits augmentent de 4,0 %, hausse partiellement imputable à la montée en charge des inscriptions parallèles des étudiants de CPGE. L’accroissement est ramené à + 2,8 % hors cet effet. En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 4,9 %, et + 2,9 % hors doubles inscriptions) et en cursus master (+ 3,2 %), mais diminuent en cursus doctorat (- 1,6 %). Les bacheliers généraux sont plus nombreux que l’an passé dans les disciplines générales (+ 6,9 % hors doubles inscriptions en CPGE), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques diminue en IUT (- 2,0 %) et les bacheliers professionnels se dirigent nettement moins vers l’université. La part des étudiants étrangers à l’université est de 14,1 %. Elle baisse légèrement par rapport à 2014-2015 (- 0,2 point), principalement en cursus doctorat (- 0,4 point).
There are various trajectories open to students who wish to study economics or management. After obtaining the baccalauréat, or after two years of classes preparing for admission to Grandes Ecoles (CPGE), they can enrol at a university, University technology institute (IUT) or a business school.
Universities, which this study focuses on, offer courses in Management, Economics, Economic and Social Administration (AES) and eco-management multi-sciences.
This variety results in different course content and prospects. For these different courses, the main access route is still the Economic and Social Sciences baccalauréat.
Courses in AES, which is more generalist and multi-disciplinary, appeal to a great diversity of profiles, in particular technological and vocational baccalauréat holders, whereas the Economics route, which has a more theoretical content, attracts scientific baccalauréat holders.
In the end, depending on the course, between 30% and 50% of students obtain their Bachelor's degree in 3 or 4 years. Nearly one-third of Bachelor's graduates continue onto a Master's programme. Depending on the course, 46% to 61% of Master's students complete their studies in 2 years.
This note presents the main results of the survey on work placements in higher education, carried out in 2015 and relating to the 2013-2014 academic year. It concerns students in initial education, excluding apprenticeships and work-study programmes. The first three editions of the survey only covered university students enrolled on Bachelor's and Master's degree programmes, engineering courses and University technology institues (IUT). From 2014, the coverage has been extended to technology universities, engineering courses in partnership with universities, Paris-Dauphine and Institutes of Political Studies (IEP).
There have never been so many students in higher education in metropolitan France and the Overseas departments and territories: 2,470,700 at the start of the 2014-15 academic year. Numbers continue to increase (+1.6% in one year, or over 38,400 additional students), in particular at university (+2.1% in one year).
In five years, higher education has welcomed over 150,000 new students (+7%). Engineering schools have seen a particularly high rise in numbers.
By contrast, the number of students in State-recognised business schools has stabilised, following years of marked increases. The numbers enrolling in classes preparing for admission to Grandes Ecoles (CPGE) has risen moderately (+0.8%). On short courses (University technology institutes (IUT) and Advanced technician's sections (STS)), numbers have been stable.
At the start of the 2014-15 academic year, all the local education academies apart from two saw an increase in students. Just over one student in six was enrolled in a private education institution. Female students continued to be in the majority. One in eight students were foreign nationals.
In 2014-15, 1,531,300 students were enrolled in French universities, compared to 1,499,600 in 2013-14, an increse of 2.1%, slightly less than the previous year (+2.5%).
In particular, there were more students on Bachelor's degree programmes (+2.2%) and Master's programmes (+2.3%), but the number of PhD students was lower (-1.7%).
There was a dynamic increase in enrolments of new baccalauréat holders at university (+2.9%), although this increase was partly due to parallel enrolments in classes preparing for admission to Grandes Ecoles (CPGE).
There was a very dynamic increase in enrolments on Scientific courses and Humanities and Social Sciences courses.
The number of new technological baccalauréat holders increased significantly in University technology institutes (IUT) (+7.0%). The proportion of foreign students at university fell slightly to 14.3%, as did the number of foreign students not holding a French baccalauréat (11.0%). The proportion of foreign students on PhD programmes remained stable, at 41.5%.
Interviewed about their situation at the start of the 2013-14 academic year, 59% of baccalauréat holders who enrolled in higher education in 2008 now have a degree. At the same time, 24% are continuing their studies but have not yet graduated, due to the course chosen or a delay in their studies. Finally, 17% have not graduated and have left higher education.
Half of the baccalauréat holders who enrolled on the first year of a Bachelor's degree obtained their qualification. Although only three in ten students who enrolled in the first cycle of medical studies (PCEM) or the first cycle of pharmaceutical studies (PCEP) then enrolled in the second cycle, there were many successful reorientations onto short courses, with over half of those enrolled in University technology institutes (IUT) and 22% of those enrolled in Advanced technician's sections (STS) obtaining a Bac +3 level qualification. 84% of students who enrolled in classes preparing for admission to Grandes Ecoles (CPGE) then enrolled on a Bac +5 level course or a Master's degree. Among the baccalauréat holders who enrolled on paramedic and social courses or preparations for these courses, 45% obtained a qualification. Only 10% of students who enrolled in higher education left without a qualification.
At the start of the 2014-15 academic year, according to forecasts based on the provisional results of the baccalauréat and the course choices seen in previous years, student numbers seemed set to increase by 1.6% across higher education as a whole. The number of students entering higher education also appears to be higher than last year, as a result of a significant increase in vocational baccalauréat holders and a slight rise in the rates of general and technological baccalauréat holders pursuing their studies.
Looking ahead to 2023, the number of general baccalauréat holders will probably increase significantly compared with 2013 across all series, mainly due to dynamic demographic growth.
As a result of the introduction of priority guidance measures, the rate of students continuing their studies has improved and there has been a rise in the number of vocational baccalauréat holders going into Advanced technician's sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS), and those from the technological series going into University technology institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT).
If trends in terms of guidance, further studies and demographic growth were to continue, student numbers would increase by 9% between 2013 and 2023.
In 2013-2014, there were 1,505,600 students enrolled in French universities (including universities in overseas departments and the University of Lorraine).
There were 1,468,300 students in 2012-2013.
Numbers had increased by 2.5%.
More specifically, student numbers were up in the Bachelor's degree programme (+2.5%) and the Master's degree programme (+3.0%), but down in the PhD programme (-1.2%).
The number of new baccalauréat holders enrolling at university was very buoyant (+4.5%).
Student numbers in healthcare subjects rose significantly (+7.6%).
There were more general baccalauréat holders in the general subject fields (+7.0%), the number of new technological baccalauréat holders increased significantly in University technology institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) (+13.5%) and those with a vocational baccalauréat were slightly less likely to enrol in the university.
The number of foreign students at university rose by 0.9%: they now represent 14.5% of all students. In the PhD programmes their numbers remained stable (41.4%).
This executive summary presents the main indicators for study paths followed by university students and their level of success: retention rate from first year to second year of the Bachelor's and Master's degrees, appeal of First and Second years of Master's, graduation rates for Bachelor's degrees, Master's degrees and Technological university diplomas delivered by the IUT (Diplôme universitaire de technologie - DUT).
In addition, these indicators are broken down by university. This information, published here for the second year running, will be disseminated every year. Results from the 2013 session should be available in February 2015.
32% of the 990,000 students enrolled in French universities in initial Bachelor's degrees, Master's degrees, engineering courses and University technology institutes (¦Instituts universitaires de technologie - ¦IUT) (excluding teacher training, political studies institutes and universities of technology) completed work placements in 2011-2012.
This proportion remained stable against the previous year. It tends to increase the further through the course the student progresses. Work placements are standard in vocational courses and they are becoming more common in general courses, especially in the second and third years of a general Bachelor's degree.
The vast majority of work placements are carried out in the region around the university, but almost one in ten takes place abroad. 63% of placements last for two months or longer. Half of all students receive a gratuity. Of these, one in five receives a gratuity of over €600 per month.
Of those students who passed their baccalauréat in 2008 and who went on to study in metropolitan France, 68% were still in higher education four years later, and 30% of these already had a higher education diploma. 32% were no longer in higher education and 14% had left without a diploma. In all, almost half of the class of 2008 who went on to higher education already had a diploma at the end of three years. 35% of those who enrolled in the first year of a Bachelor's degree course in 2008 obtained their degree after three years and 28% were in a Master's programme. In the short courses, 7 out of 10 students in University technology institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) obtained their diploma after two years, and the same for 6 out of 10 students in the Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS). In their fourth year, more than 7 out of 10 students from classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE) were enrolled in a further education school doing a course at baccalauréat + 5 years study level, with students from the arts and humanities classes preferring universities. The proportion of students going on to post-baccalauréat schools and paramedical courses increased significantly over the last ten years.
There have never been so many students in higher education in metropolitan France and the overseas departments: almost 2,387,000 at the start of the 2012-13 academic year. Numbers continued to increase (+1.5%), mainly thanks to an influx of new baccalauréat holders. The increase in numbers is still particularly high for recognised business schools awarding approved diplomas, and for engineering schools. The decline in numbers since last year for University technology institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) continued; however, the number of students entering classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE) rose. The private sector saw an increase once again and now accounts for one student in six. There are still more women with higher education diplomas than men. The number of foreign students increased very little (+0.2%), with foreign students representing one in eight students. The number of Chinese students continued to rise: +2%. More than three quarters of the education authorities saw an increase in student numbers.
In 2012-2013, there were 1,468,300 students enrolled in French universities (including universities in overseas departments and the University of Lorraine). There were 1,456,100 students in 2011-2012. The number rose by 0.8%.
The number of new baccalauréat holders enrolling in universities increased in the general subject programmes (+2.3%).
More students were enrolling in Physical education and sports science and techniques (Sciences et techniques des activités physiques et sportives - STAPS) and in Economics. In healthcare courses, the number of new baccalauréat holders rose sharply (+7.4%).
There were fewer doctoral students at the start of the academic year 2012 than in 2011, while the number of students on Master's courses rose by 1.5%.
In Technological university institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT), numbers fell back slightly. The number of foreign students at university fell 1.8%: they represented 14.8% of the student population in general and their numbers remained stable in PhD programmes (41.4%).
The study path of students in first cycle programmes is marked by course changes and repeat years. In fact, only one in two students moves up directly from first year into the second year of the Bachelor's degree programme (one in four repeats the year and one in four changes course or gives up their higher education studies completely), while of those reaching the third year of the general Bachelor's degree programme, almost seven out of ten students obtain their diploma in just one year (nine out of ten for the vocational degree). For the University technology diploma delivered by the IUT (¦Diplôme universitaire de technologie - ¦DUT), the number of students moving into the second year is high, with seven out of ten students. The pass rate in second year is also high: almost nine students out of ten obtained their diploma at the 2011 session. In Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS), 85% of students move into second year. At the 2011 session, the pass rate for the Advanced technician diploma (¦Brevet de technicien supérieur - ¦BTS) was 72%, two points higher than in 2010. These rates vary depending on the type of students and the type of institution in which they are studying. However, overall, if the definition of failure in the first cycle of study is the fact of leaving higher education with no diploma, then the failure rate in France is around 19%, ten points below the OECD average.
At the start of the 2013-14 academic year, according to forecasts based on the provisional results of the baccalauréat and the course choices seen in previous years, student numbers seemed set to increase by 1.5% across all higher education as a whole.
However, the numbers of students entering higher education remained the same as last year, while the number of baccalauréat holders decreased at the 2013 session. Looking ahead to 2022, the number of general baccalauréat holders will probably increase by 12.9% compared with 2012, while the number of technological baccalauréat holders seems set to decline by 3.2%. Numbers of students with a vocational baccalauréat will see an adjustment after the cyclical peak of 2012 (-8.6% between 2012 and 2022), but are likely to remain higher than in 2011 (+12.2%). Following this influx of general baccalauréat holders, if trends in terms of career guidance and continuing education were to continue, student numbers would increase by 8% in universities between 2012 and 2022, by 12.3% in classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE), by 4.1% in Technological university institutes (Institut universitaire de technologie - IUT) and by 0.1% in the Advanced technician’s sections (Section de technicien supérieur - STS). Higher education could therefore include almost 2.6 million students in 2022, or 200,000 more than at the start of 2012.
There have never been so many students in higher education in metropolitan France and the overseas departments: almost 2,350,000 at the start of the 2011-12 academic year. Numbers continued to increase (+1.2%), mainly thanks to an influx of new baccalauréat holders. The increase in numbers is still particularly high in recognised business schools awarding approved diplomas and in engineering schools. The decline in numbers since last year at Technological university institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) and for those entering classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE) has continued. The private sector has got stronger once again and now accounts for more than one student in six. There are still more women with higher education diplomas than men. The number of foreign students is increasing (+1.3%) in the same proportion as the number of French students: foreign students represent one student in eight. The number of Chinese students rose slightly: +2%. Three quarters of the education authorities saw their student numbers increase.
In 2011-2012, 1,406,000 students were enrolled in French universities (including universities in the overseas departments). This compares with 1,455,000 in 2010-2011. This decrease is the result of the creation of a major public institution, the "University of Lorraine" which is no longer, strictly speaking, counted in the category of "universities". All other things being equal, student numbers increased by 0.8%. The number of new baccalauréat holders enrolling in universities increased in the general study tracks (+2.8%). These students tended to take courses such as Physical education and sports science and techniques (¦Sciences et techniques des activités physiques et sportives - ¦STAPS) and economics and economic and social administration. In the healthcare subjects, the number of new baccalauréat holders fell 2.7%. There were fewer doctoral students in 2011 than in 2010 and the number of students in the Master's programme remained stable. In Technological university institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT), numbers fell slightly. The number of foreign students in universities remained stable: they still represent 15.2% of the student population, and 41.3% of students on doctoral programmes.
At the start of the 2012-13 academic year, according to forecasts based on the provisional results of the baccalauréat and the course choices seen in previous years, student numbers seemed set to increase by 1.5% across higher education as a whole.
The number of students entering higher education increased, with this rise probably linked with the new influx of students with a vocational baccalauréat from the 2012 exam session. Looking ahead to 2021, the number of general baccalauréat holders will probably increase by 12.1% compared with 2011, while the number of technological baccalauréat holders seems set to decline by 9.6%. Numbers of students with a vocational baccalauréat will adjust after the cyclical peak of 2012 (-9.5% between 2012 and 2021), but are likely to remain higher than in 2011 (+9.7%). Following this influx of general baccalauréats, if trends in terms of career guidance and continuing education were to continue, student numbers would likely increase by 11% in universities between 2011 and 2021, 9.5% in classes preparing for admission to Grandes Écoles (Classe préparatoire aux grandes écoles - CPGE) and 4.5% in Technological university institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT). The increase in Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS) will probably be more moderate (3.1%).
The changes in directions taken by students in the baccalauréat S series are mainly characterised by a growing dispersion in their choices: in 2008, only 21% enrolled in a Bachelor's degree programme, whereas this figure was 35% ten years ago. However, this decline only affects Bachelor's degrees in the sciences, and more generally fewer and fewer holders of the baccalauréat S are taking the traditional scientific courses. At the same time, more and more are going into medicine (or pharmacy), or in a wide range of fields in schools that recruit after the baccalauréat. These changes concern all those with a baccalauréat S, irrespective of their speciality or their grades. Three years later, more baccalauréat S students were enrolling in the Bachelor's degree programme, especially in the science subjects, where they continue their studies after first going through a Technological university institute (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT), classes preparing for admission to Grandes Écoles or a first cycle of medical studies. However, 36% were in higher education schools, mainly engineering or paramedical schools.
91% of young Master's graduates from 2008 who decided to end their studies after obtaining this diploma were in a job thirty months after joining the professional world. The percentage was the same for the small number graduating with a University technology diploma delivered by the IUT (¦Diplôme universitaire de technologie - ¦DUT) who were in the same position and for 92% of the much larger group with a vocational degree who fulfilled the same conditions. Some Master's graduates had more difficulty finding work, or had terms of employment that were less favourable. This was the case for humanities and arts graduates, for graduates from a less privileged social background, or for women. In 44% of cases, the job that Master's graduates were doing thirty months after obtaining their diploma was not located in the same region as their university. The Île-de-France region alone receives 30% of such graduates, while 15% of them have a job abroad.
In 2010-2011, 1,440,000 students were enrolled in French universities (including universities in the overseas departments). The number of new baccalauréat holders enrolling in universities increased in the general study tracks (+0.9%). They tended to take courses in subjects such as Physical education and sports science and techniques (¦Sciences et techniques des activités physiques et sportives - ¦STAPS), sciences and humanities. However, there were fewer students enrolling for law and economics. In the healthcare courses, where a common first year for all healthcare studies had just been introduced for 2010-11, the number of newly qualified baccalauréat holders dropped by 4.1%. There were fewer doctoral students in 2010 than in 2009 and the number of students on Master's programmes stagnated. In Technological university institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT), numbers fell by 1.4%. They had stabilised the previous year after three years of growth. There were more foreign students in universities than in previous years and they represented 15.2% of all students. Those in the PhD programme represented 41.3% of the student population.
There have never been so many students in higher education in metropolitan France and the overseas departments: 2,318,700 at the start of the 2010-11 academic year. Numbers increased slightly (+0.2%), after the particularly sharp increase in 2009 (+3.6%). The rise in numbers is still particularly high for recognised business schools awarding approved diplomas. Unlike previous years, however, numbers have gone down for University technology institutes (¦Institut universitaires de technologie - ¦IUT) and for classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE). Private education has been strengthened further and now accounts for more than one in six students. There are still more women with higher education diplomas than men. The number of foreign students continues to increase (+2.3%), while numbers of French students are in decline (-0.1%): foreign students represent 12.3% of students. The strong growth in the number of Chinese students has halted and stood at only 0.2%. Fewer than half of the education authorities saw an increase in student numbers.
At the start of the 2011-12 academic year, according to forecasts based on the provisional results of the baccalauréat and the course choices seen in previous years, student numbers looked set to increase by 1.7% across all of higher education. Numbers of students entering were higher following the increase in the number of baccalauréat candidates at the 2011 session and the trend among the general and technological baccalauréat holders to pursue their studies at university. Looking ahead to 2020, numbers of general and technological baccalauréat holders are likely to increase by 2.3% compared with 2010. The reform of the vocational baccalauréat over three years, which was started in 2009, will probably cause a significant increase in the number of vocational baccalauréat holders (+70,000). After this influx, if the trends in terms of career guidance and continuing education were to continue, student numbers would rise between 2010 and 2020 by 10.1% in universities, by 1.2% in Technological university institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) and by 7.4% in classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE). As vocational baccalauréat holders are more likely to continue their studies in Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS), numbers in this study track are also likely to rise by 6.8% between 2010 and 2020.
At the start of the 2009-10 academic year, eight out of ten baccalauréat holders from 2008 were still studying in higher education and the vast majority were continuing along the same study path. The pass rate in short courses was high: nine out of ten of those enrolled in an Advanced technician’s section (¦Section de technicien supérieur - ¦STS) or Technological university institute (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) continued into the next year. However, a quarter of those who had gone into classes preparing for admission to Grandes Ecoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE) or into a Bachelor's degree programme after their baccalauréat did not re-register. 52% of students in the Bachelor's degree programme went into second year; what happened at the end of the first year varied considerably according to their previous study path and their motivation for studying at university. The rates of students moving into the next year are much higher when they have a baccalauréat with distinction or when they have decided on the course they want to follow. In second year, students find it less difficult to organise themselves and they say they are more satisfied with their studies, especially at university. However, the majority feel that they are not well-informed about the opportunities for changing courses and further studies.
In 2009-2010, 87,800 students were following courses in one of the 84 recognised business schools authorised to award approved diplomas. This was an increase of 18.6% against the start of the 2008-09 academic year. Newly enrolled students had either just passed their baccalauréat and were going to schools that recruited baccalauréat holders, or they came from classes preparing for admission to the Grandes Ecoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE), from universities, from Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS) or from Technological university institutes (Institut universitaire de technologie - IUT) and were entering schools that recruited students with the baccalauréat + 2 years of study. Men outnumbered women slightly, but the proportion of women was increasing steadily. More and more foreign students were following courses in business and management schools. As with women students, there were fewer foreign students in the first cycle programmes and a greater proportion in the Master of Business Administration (MBA) courses.
At the start of the 2010-11 academic year, according to forecasts based on the provisional results of the baccalauréat and the course choices seen in previous years, student numbers seemed set to increase by 1.4% across higher education as a whole. The number of students continuing their studies into 2010-11 was up in healthcare and law; there was a decrease in enrolments in first year at university, but all programmes combined, there was an overall increase in university student numbers (excluding University technology institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT)). Looking ahead to 2019, there are expected to be 20,000 more enrolments in the four main study paths: universities, Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS), classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE), and non-university engineering courses. Box: main assumptions used for forecasts.
In 2009-2010, there were 1,450,000 students enrolled in French universities (including universities in overseas departments). The number of new baccalauréat holders enrolling in universities increased in the general study programmes (+3.5%). These students tended to take up Law, Economics, and Physical education and sports science and techniques (¦Sciences et techniques des activités physiques et sportives - ¦STAPS).
However, there were fewer doctoral students at the start of the academic year in 2009 than in 2008. There were more foreign students at the university than in previous years: they represented 15.5% of all students.
In the PhD programme they represented 41.0% of the student population. In Technological university institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT), numbers were stabilising after increasing for three successive years.
Numbers of students at Teacher training colleges (¦Institut universitaire de formation des maîtres - ¦IUFM) integrated into universities continued to fall by 6.5%.
In 2008, 78.2% of new baccalauréat holders entered higher education. The general study tracks at university mainly take in students with a general baccalauréat: law, economics, and economic and social administration (¦Administrative, Économique et Sociale - ¦AES) study tracks for those with an economics and social sciences baccalauréat; arts, languages, humanities, for those with an arts and humanities baccalauréat; sciences, physical education and sports science and techniques (¦Sciences et techniques des activités physiques et sportives - ¦STAPS), and medical subjects for those with a scientific baccalauréat. In University technology institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) 68.5% of students have a general baccalauréat, while those with a technological baccalauréat tend to enrol in Advanced technician's sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS). Those enrolling in a class preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE) mainly have a general baccalauréat. In the business schools, more than one in two students hold an economic and social baccalauréat. Boxes: study tracks open to different baccalauréat series; sources and scope.
En 2008, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur est demeuré à son niveau de 2007, mettant ainsi fin à deux années de diminution. Cette diminution affecte surtout les universités, alors que les écoles d'ingénieurs et les écoles de commerce reconnues à diplôme visé demeurent particulièrement attractives. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions aux évolutions entre 2007 et 2008, la répartition des effectifs universitaires (hors IUT) selon le cursus depuis 2004-2005, la répartition par académie des principales filières de l'enseignement supérieur en 2008-2009, le poids des différentes filières du supérieur. Six graphiques illustrent l'évolution des effectifs de l'enseignement supérieur, l'évolution des enseignements privé et public depuis 1998, la part des filles dans les différentes formations, la part des étudiants à l'université par académie, la proportion d'étrangers et leur répartition par continent d'origine.
Plus de trois bacheliers sur quatre s'inscrivent dans l'enseignement supérieur dès l'obtention de leur diplôme. Les bacheliers généraux continuent presque tous dans l'enseignement supérieur long ; les bacheliers S se dirigent vers les classes préparatoires aux grandes écoles ou les études médicales. Les bacheliers technologiques sont principalement attirés par les formations courtes (IUT et STS). Seuls 22 % des bacheliers professionnels accèdent à l'enseignement supérieur, principalement les sections de techniciens supérieurs, mais aussi le 1er cycle universitaire. En encadré : définitions de la double inscription et des taux de poursuite des bacheliers d'une académie.
En 2006, 429 000 stagiaires ont suivi un stage de formation continue dans un établissement d'enseignement supérieur public, dont 81% dans les universités. Les employeurs sont les principaux financeurs de la formation continue auprès des universités. On constate une forte augmentation des inscrits en formations courtes ; la préférence se confirme pour les diplômes nationaux, dont plus d'un tiers sont de niveau 2 (licences professionnelles) et près d'un tiers de niveau 1 (masters professionnels). En encadrés : sources, champ et définitions ; zoom sur l'activité propre des IUT en formation continue.
En 2006, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur a diminué de 1,1 %. La diminution affecte surtout les universités et les IUFM, alors que les écoles de commerce reconnues à diplôme visé et les classes préparatoires aux grandes écoles continuent de progresser. Six tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions à la baisse entre 2006 et 2007, la répartition des effectifs universitaires (hors IUT) selon le cursus depuis 2004-2005, le poids des différentes filières du supérieur, la répartition par académie des principales filières de l'enseignement supérieur en 2007-2008, la répartition des étudiants français selon la PCS du chef de famille ; quatre graphiques illustrent l'évolution des effectifs de l'enseignement supérieur, la part des filles dans les différentes formations, la proportion d'étrangers, la part des étudiants à l'université par académie.
Près de la moitié des bacheliers qui s'inscrivent dans l'enseignement supérieur connaissent une mobilité géographique après leur baccalauréat. 14 % des bacheliers seulement quittent leur académie. Ceux qui entrent dans un IUT ou une classe préparatoire sont les plus nombreux à migrer. La mobilité est d'autant moins fréquente que la taille de l'unité urbaine dans laquelle se trouve un lycéen est importante. Cinq cartes illustrent les différents flux des nouveaux bacheliers entrant en licence, ou des étudiants entrant en 1ère ou 2ème année de master, vers la province ou vers l'Ile-de-France. En encadré : sources.
En 2007-2008, 1 368 539 étudiants sont inscrits dans les universités publiques françaises dont 62,3 % en cursus licence, 32,8 % en cursus master et 4,9 % en cursus doctorat. Les effectifs diminuent globalement et sur l'ensemble du territoire, à l'exception des académies de Corse et des Antilles-Guyane, et notamment dans les filières générales et augmentent au sein des formations de santé, dans les IUT. Pour la deuxième année consécutive, le nombre de nouveaux bacheliers entrant à l'université est inférieur au taux d'évolution des bacheliers. La part des filles, déjà majoritaire parmi la totalité des inscrits, augmente dans tous les cursus mais reste cependant minoritaire dans le cursus doctorat. Le nombre total d'étudiants étrangers diminue, mais ils sont plus nombreux en cursus master et surtout en cursus doctorat où ils représentent 38,9 % des effectifs totaux. Les étudiants étrangers non titulaires d'un baccalauréat représentent 78 % des étudiants étrangers. En encadré : source et définitions.
Un panel de 17 830 élèves entrés en 6ème en 1995 a été mis en place par le ministère de l'Education nationale pour étudier leur situation scolaire au début de chaque année. 98 % des élèves qui se sont orientés en classe préparatoire sont parvenus au baccalauréat en 2002 et 2003. Près de la moitié des bacheliers qui ont eu une mention bien ou très bien vont en classe préparatoire. Les orientations des bacheliers généraux varient selon leur origine sociale : 46 % vont en 1er cycle universitaire, 35 % vont en CPGE, les autres en IUT ou STS ou autres formations. Quatre ans plus tard, près des trois quarts des élèves inscrits en CPGE ont rejoint une grande école. Indication des sources en encadré.
A la rentrée 2006, 2 254 400 étudiants sont inscrits dans les principales filières de l'enseignement supérieur. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières, les bacheliers, le taux de poursuite des bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, la comparaison entre le scénario tendanciel et le scénario de cadrage, les effectifs des universités et établissements assimilés hors IUT. En encadré : principales hypothèses retenues pour les prévisions.
En 2006, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur a diminué de 1,3 %. La baisse des effectifs concerne principalement les universités et les IUFM. Les filières des grandes écoles, par contre, continuent de progresser. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions à la hausse ou à la baisse entre 2001 et 2006, la répartition par académie des principales filières et l'évolution par rapport à 2005-2006, le poids des différentes filières du supérieur ; cinq graphiques illustrent l'évolution des effectifs de bacheliers, de l'enseignement supérieur, universitaires (hors IUT) par cycle, la proportion d'étrangers, la répartition des étudiants étrangers selon leur origine.
En 2004, la formation continue dans l'enseignement supérieur accueille 427 000 stagiaires, dont une part toujours plus grande de demandeurs d'emploi et d'individuels payants. L'enquête a porté sur l'ensemble des établissements publics sous tutelle du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Huit tableaux donnent l'évolution de la formation continue dans l'enseignement supérieur entre 2002 et 2004, la répartition des stagiaires par type de statut, les diplômes délivrés en formation continue, les publics de particuliers inscrits aux conférences inter-âges, les vingt premières universités qui proposent des formations à distance, la répartition des stagiaires selon les spécialités de formation en 2002-2004 dans les universités (y compris IUT et INP), la répartition des recettes de la formation continue dans les universités et INP, écoles et CNAM (en %). En graphiques : répartition des stagiaires selon le type de formations dans les universités, évolution de la durée de formation par statut des stagiaires des universités entre 2002 et 2004. En encadré : le champ de l'enquête.
A la rentrée 2005, près de 111 300 étudiants sont inscrits à la préparation du diplôme universitaire de technologie, soit une hausse de 200 étudiants par rapport à la rentrée 2004. Sept tableaux répartissent le taux d'accueil en IUT des bacheliers 2005 selon la série du baccalauréat, l'effectifs total et les nouveaux bacheliers par spécialité de DUT, par sexe, les nouveaux bacheliers entrant en première année d'IUT par académie, le taux de réussite en deux et trois ans des étudiants qui ne se sont pas réorientés : par spécialité, par série du baccalauréat, par sexe et secteur, par établissement. En encadré : source et définitions.
D'après les premières estimations, le nombre d'étudiants inscrits à la rentrée 2006 dans les principales formations de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS), augmenterait de 0,1 %. Cinq tableaux mettent en lumière l'évolution des effectifs et les flux d'entrée en première année pour les années 1990-91, 1995-96, 2000-2001, 2005-2006 et 2006-2007, l'évolution des nouveaux bacheliers de 1990 à 2006, les effectifs inscrits en 2006 dans les universités et établissements assimilés (hors IUT) et, par académie, l'évolution des inscriptions en première année, entre 2005-2006 et 2006-2007. En encadré : définitions, sources et méthode d'estimation des effectifs.
A la rentrée 2005, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur français progresse très faiblement : la hausse générale est due aux étudiants étrangers ; le nombre d'étudiants français diminue. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions à la hausse entre 2001 et 2005, les poids des différentes filières du supérieur en 2005-2006, la répartition par académie des principales filières en 2005-2006 et l'évolution par rapport à 2004-2005, la répartition des étudiants français selon la PCS du chef de famille en 2004 ; quatre graphiques illustrent l'évolution des effectifs de bacheliers, les taux d'accès d'une génération à l'enseignement supérieur par série du baccalauréat et par type de formation, l'évolution des effectifs universitaires (hors IUT) par cycle. En encadré : définitions.
Près de neuf bacheliers 2002 sur dix ont poursuivi leurs études après l'obtention du baccalauréat. A l'université, 45 % des bacheliers 2002 inscrits en licence sont parvenus en troisième année sans redoubler. 71 % de ceux entrés en IUT et 63 % de ceux inscrits en STS sont diplômés en deux ans. Deux tiers des bacheliers 2002 élèves en CPGE économiques ont intégré une grande école après deux années d'études ; plus de 50 % des bacheliers élèves en CPGE scientifiques. En encadré : source.
Les effectifs dans les six principales filières de l'enseignement supérieur comptent 1 923 700 inscriptions, soit 0,2 % de moins que l'année précédente. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur, les bacheliers, le taux de poursuite des bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, les entrants en troisième année en disciplines générales des universités et établissements assimilés et les effectifs des universités et établissements assimilés hors IUT. En encadré : champ de l'étude, définitions et méthodologie, pour en savoir plus.
D'après les premières estimations, 1 788 500 étudiants seraient inscrits à la rentrée 2005 dans les quatre principales filières de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS), soit une augmentation de 0,5 %. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs des principales filières de l'enseignement supérieur, les nouveaux bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières, l'évolution des inscriptions en première année dans l'enseignement supérieur (carte) et les effectifs inscrits à l'université (hors IUT). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites dans l'encadré.
A la rentrée 2004, 334 200 étudiants sont inscrits en IUT ou STS ; parmi eux, 31 % sont inscrits en IUT, 69 % dans une section de technicien supérieur. Les étudiants inscrits dans ces deux filières représentent 15% de l'ensemble des effectifs de l'enseignement supérieur court professionnalisant dans sa globalité. Cinq tableaux présentent l'évolution des effectifs de 1995-1996 à 2004-2005, répartissent les étudiants en IUT et STS par spécialité (services ou production) et par sexe, selon leur origine de baccalauréat, les effectifs par type de préparation, par sexe et par secteur. Le tableau 1 donne l'évolution des effectifs de 1995-96 à 2004-2005 ; le tableau 5 présente le taux d'accueil en IUT et STS des bacheliers selon la série du baccalauréat (formation initiale uniquement). En graphique : répartition des académies en fonction des taux d'accueil. En encadrés : sources et définitions.
Les effectifs dans les six principales filières de l'enseignement supérieur comptent 1927400 inscriptions, soit 0,2 % de plus que l'année précédente. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur, les bacheliers, le taux d'accueil des bacheliers dans les principales filières de l'enseignement supérieur, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, les entrants en troisième année en disciplines générales à l'université et les effectifs des universités hors IUT. Champ de l'étude, définitions et méthodologie en encadré.
A la rentrée 2002, après l'obtention du baccalauréat, 88 % des bacheliers ont poursuivi leurs études. Un an après, 93,5 % suivent toujours une formation. Cinq tableaux répartissent (en pourcentages) le devenir des étudiants suivant l'orientation prise la première année après le bac, ceux qui sont inscrits à l'université, par filière, en classe préparatoire, en STS ou en IUT, suivant qu'ils continuent dans la même filière ou prennent une autre orientation. Quatre autres tableaux illustrent l'opinion qu'ont les nouveaux bacheliers, au cours de leur 2ème année d'études, sur leur filière de formation, les difficultés rencontrées, la satisfaction sur l'information reçue, le soutien pédagogique apporté. En graphiques : temps de travail personnel hebdomadaire, type de logement, pratique d'activités sportives ou artistiques. Source en encadré.
Le choix d'orientation des bacheliers de la série S est guidé par l'importance qu'ils accordent au contenu des études qu'ils vont suivre et à leur insertion professionnelle. La baisse des inscriptions en DEUG scientifiques s'observe depuis 1995 (40 % contre 26 % en 2004 ; six sur dix s'orientent vers un premier cycle universitaire, deux sur dix vers une CPGE et deux sur dix encore vers une STS ou un IUT. Sept tableaux montrent les taux d'accueil des bacheliers S dans les principales filières du supérieur, les principales raisons avancées pour le choix de la série S (44 % par goût pour les matières scientifiques) et pour le choix de la filière, la part des bacheliers S inscrits en DEUG ayant déposé un dossier dans une filière sélective, la perception de leur formation et le diplôme ou concours envisagé à bac + 5, les principales attentes par rapport à leur futur métier. En graphiques : évolution des effectifs de bacheliers S et de nouveaux entrants en filière sciences, de 1995 à 2004, les opinions sur les débouchés assurés par les principales filières et sur la facilité à trouver du travail. En encadré : les raisons pour lesquelles les bacheliers S ne s'inscrivent pas dans un DEUG scientifique.
A la rentrée 2003, 330 100 étudiants sont inscrits en IUT ou STS ; parmi eux, 31 % sont inscrits en IUT, 69 % dans une section de technicien supérieur. Plus généraliste que le BTS, le DUT offre moins de spécialités. Trois tableaux répartissent les étudiants en IUT et STS par spécialité de la production ou des services et par sexe, selon leur origine de baccalauréat, pour les STS, les effectifs par type de préparation, par sexe et par secteur. Le tableau 4 donne l'évolution des effectifs de 1995-96 à 2003-2004 ; le tableau 5 montre l'impact des différentes caractéristiques des étudiants en première année sur leur probabilité d'être inscrits en IUT plutôt qu'en STS. En graphiques : répartition des académies en fonction des taux d'accueil, évolution des effectifs dans les domaines de la production et des services de 1996 à 2003. En encadrés : création et organisation des STS et des IUT, sources et définitions.
D'après les premières estimations, 1 790 000 étudiants seraient inscrits à la rentrée 2004 dans les quatre principales filières de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS), soit une augmentation de 0,8 %. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs des principales filières de l'enseignement supérieur, les nouveaux bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières, l'évolution des inscriptions en première année dans l'enseignement supérieur (carte) et les effectifs inscrits à l'université (hors IUT). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites dans l'encadré.
A la rentrée 2003, les six principales filières de l'enseignement supérieur comptent 1924 400 inscriptions, soit 1,7 % de plus que l'année précédente. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur, les bacheliers, le taux d'accueil des bacheliers dans les principales filières de l'enseignement supérieur, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, les entrants en bac+3 en disciplines générales à l'université et les effectifs des universités hors IUT. Champ de l'étude, définitions et méthodologie en encadré.
D'après les premières estimations, le nombre d'inscriptions dans les quatre principales filières de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS) augmenterait en 2003-2004. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs des principales filières de l'enseignement supérieur, les nouveaux bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières de l'enseignement supérieur, l'évolution des inscriptions en première année dans l'enseignement supérieur et les effectifs inscrits à l'université (hors IUT). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites dans l'encadré.
Effectifs d'étudiants inscrits dans les IUT de 1995-96 à 2002-2003, avec variation annuelle (tabl. I). Taux d'accueil des bacheliers 2001 et 2002 par série de bac (tabl. II et III). Effectifs et flux d'entrée par académie, taux d'accueil 1998-99, 1999-2000, 2000-2001, 2002-2003 (tabl. 4 et cartes). Effectif total, dont femmes, et nouveaux entrants par spécialité et type de bac, avec évolution par rapport à 2001-2002. Répartition des étudiants par CSP des parents (graphique). Encadrés : le concept de nouvel entrant ; le DNTS et les diplômes post-DUT ; source.
A la rentrée 2002, 1891 700 inscriptions ont été enregistrées dans les six principales filières de l'enseignement supérieur, soit 1, 4 % de plus que l'année précédente. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur, les bacheliers, le taux d'accueil des bacheliers dans les principales filières de l'enseignement supérieur, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, les entrants en bac+3 en disciplines générales à l'université et les effectifs des universités hors IUT. Champ de l'étude, définitions et méthodologie.
Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 2001-2002 ; part des nouveaux bacheliers entrant à l'université ; répartition des effectifs selon la discipline et le secteur universitaire ; répartition également par discipline selon les académies (y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs). Proportion de femmes en fonction de la discipline.
D'après les premières estimations, le nombre d'inscriptions dans les principales filières de l'enseignement supérieur diminuerait légèrement en 2002-2003. Le fléchissement des effectifs serait surtout notable dans le 1er cycle universitaire et également en IUT. Moins de jeunes bacheliers s'inscrivent en université ou en IUT, à l'inverse, un plus grand nombre d'entre eux ont choisi les STS et CPGE (Tableaux I et II). Une carte de France montre très clairement l'existence de variations académiques. Une analyse des effectifs, discipline par discipline, montre l'attrait des formations médicales et la désaffection pour le droit, les langues et les sciences. Le tableau V donne pour chaque académie une évolution des effectifs en 1ère année par type de formation. Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites dans l'encadré.
Evolution des effectifs et des flux d'entrée en IUT depuis 1995-1996. Taux d'accueil des bacheliers en IUT selon la série du baccalauréat. Effectif total et nouveaux bacheliers par spécialité de DUT. Entrants en première année de DUT selon la spécialité et le type de baccalauréat (année 2001-2002). Professions et catégories socio-professionnelles des parents des étudiants en DUT.
France sans TOM : Evolution : de 1991-92 à 2001-2002, public, privé, ensemble (graph. 1) ; de 1994-95 à 2001-2002, répartition public/privé, pour Education nationale, agriculture, autres ministères (tabl. I). Effectifs 2001-2002 : par ministère et type de formation, sexe, public, privé, total (tabl. II). Répartition des entrants en 1ère année par origine scolaire, hors ministère de l'agriculture (tabl. III), effectifs par domaine de spécialité selon le ministère (tabl. IV), effectifs par académie (tabl. V) ; répartition par CSP et sexe en pourcentage (graph. 2), effectifs et nombre d'établissements par académie (graph. 3), nombre d'élèves dans les filières STS au sein des établissements (graph. 4). Part des STS comparée à l'effectif en premier cycle universitaire (DEUG, IUT, STS) : carte. Encadré : sources et définitions.
Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 2000-2001; part des nouveaux bacheliers entrant à l'université ; répartition des effectifs selon la discipline et le secteur universitaire ; répartition également par discipline selon les académies (y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs). Proportion de femmes en fonction de la discipline.
Répartition des effectifs de l'ensemble de l'enseignement supérieur : 1990-91, 1995-96, 2000-2001. Effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur : constat pour 2000-2001 et 2001-2002, prévisions pour 2002-2003 et 2003-2004. Bacheliers pour les sessions 2000 et 2001 (constat) et 2002, 2003 (prévisions) et leur taux d'accès dans les principales filières de l'enseignement supérieur : universités, IUT, STS, CPGE. Flux d'entrée en 1ère année dans les principales filières ; taux d'accès en deuxième cycle à l'université : évolution 1990, 1995 et de 1999 -2000 à 2003-2004 (pourcentages) ; effectifs universitaires par discipline. Encadré : champ de l'étude, définitions et méthodologie.
Effectifs d'étudiants inscrits dans les IUT de 1995-96 à 2000-2001, avec variation annuelle (tabl. I). Taux d'accueil des bacheliers 1999 et 2000 par série de bac (tabl. II et III). Effectifs et flux d'entrée par académie, taux d'accueil 1997-98, 1998-99, 1999-2000, 2000-2001 (tabl. IV et cartes). Effectif total, dont femmes, et nouveaux entrants par spécialité et type de bac, avec évolution par rapport à 1999-2000. Répartition des étudiants par CSP des parents (graphique). Encadrés : le concept de nouvel entrant ; le DNTS et les diplômes post-DUT ; source.
Le nombre d'inscriptions dans les principales filières semble se stabiliser depuis deux ans (tabl. IV) ; en effet, le fléchissement des effectifs en 1er cycle est compensé par la progression des 2e et 3e cycles. La baisse du nombre de nouveaux bacheliers (tabl. I) entraîne un recul du flux d'entrée dans toutes les disciplines universitaires, y compris IUT, alors que le nombre de nouveaux inscrits en STS et CPGE reste stable (tabl. II et III) ; il existe cependant des variations académiques (tabl. V). Les filières scientifiques ont perdu 5 % d'étudiants en 5 ans (encadré pp. 3-4). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites (p. 6).
Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 1999-2000 ; part des nouveaux bacheliers entrants à l'université. Part des femmes selon les disciplines et les cycles ; pourcentage d'étudiants étrangers. Répartition par discipline selon les académies, y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs.
Evolution des effectifs de l'enseignement supérieur par type d'établissement avec leur poids respectif. Evolution des effectifs du privé. Taux d'inscription des bacheliers dans l'enseignement supérieur (université, IUT, STS, CPGE, autres établissements) par type de bac. Evolution des effectifs par cycle, discipline, filière (filières courtes, filière des grandes écoles). Evolution géographique des effectifs universitaires et poids des différents cycles. Répartition par académie des principales filières de l'enseignement supérieur en 1999-2000. Encadrés : établissements et filières de l'enseignement supérieur ; définitions.
Rappels des effectifs de bacheliers en 1990, 1995, 1999 et 2000 (estimés en octobre). Flux d'entrée dans les principales filières du supérieur pour ces mêmes années et rappels des effectifs globaux d'étudiants inscrits, montrant une stabilité d'ensemble. Raisons de l'inscription en DEUG et filière souhaitée. Inscriptions par académie en université, IUT, STS, CPGE estimés en 2000-2001. En encadré : source et méthode d'estimation des effectifs ; résultats de l'enquête auprès d'un échantillon de nouveaux étudiants.
Sur les 25180 bacheliers de 1999 de l'académie de Grenoble, 12800 se sont inscrits dans une université (IUT inclus), dont 9870 dans l'académie et 2930 ailleurs (graph. 1 et 2) ; parallèlement, seulement 1220 nouveaux bacheliers d'une autre académie se sont inscrits dans l'académie de Grenoble. L'académie est donc déficitaire, avec des "sortants" en arts et en médecine surtout, cependant qu'IUT et sciences et technologies en général représentent les filières les plus attractives (graph. 3 et 4). Les proportions d'"entrants" et de "sortants" sont donc différentes selon la série du bac et la discipline choisie à l'université.
À la rentrée 1999, près de 117 400 étudiants sont inscrits dans les instituts universitaires de technologie de France métropolitaine et des DOM, soit une hausse du nombre des inscrits d'environ 2 800 (+ 2,5 %) par rapport à la rentrée 1998.
Le nombre de nouvelles inscriptions en première année de DUT s?accroît légèrement, tandis que les effectifs de deuxième année augmentent fortement (+ 13 %).
Le taux de poursuite d?études en DUT progresse pour les bacheliers ES mais baisse pour les bacheliers technologiques.
La capacité d?accueil des IUT est de 582 départements à la rentrée 1999 (contre 566 départements en 1998).
Après trois années de baisse, le nombre d?inscriptions dans les principales filières de l?enseignement supérieur est resté stable en 1999 : 1 878 000 inscriptions ont été enregistrées en université (dont IUT), IUFM, écoles d?ingénieurs, STS et CPGE.
Cette stabilité résulte d?une baisse des effectifs en premier et deuxième cycles universitaires (hors IUT), compensée par une
progression exceptionnelle du nombre d?étudiants en troisième cycle (+ 2,9 %) et de la poursuite du développement des filières STS et IUT.
En prévision pour 2000 et 2001, le nombre global d?inscriptions se maintiendrait à ce niveau. La part des formations courtes, IUT et STS, de 19 % en 1999, croîtrait légèrement et celle de l?université (hors IUT et IUFM) de 68 % aujourd?hui, diminuerait encore. Cependant, dans cette filière, seul le premier cycle universitaire perdrait des étudiants tandis que les ingénieurs universitaires seraient toujours plus nombreux.
Répartition des étudiants inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM, selon les universités, les académies, en 1999-2000 et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, et évolution par rapport à 1998-99, dont les nouveaux bacheliers et les nouveaux entrants. Part des femmes selon les disciplines et les cycles. Répartition par discipline selon les académies. Effectifs inscrits dans les IUT et dans les filières d'ingénieurs.
Effectifs des nouveaux étudiants inscrits dans les principales filières de l'enseignement supérieur (université, par grandes discipline, en IUT, STS, CPGE). Rappels des effectifs de bacheliers en 1990, 1995, 1998 et 1999 (estimés en octobre). Flux d'entrée dans les principales filières du supérieur pour ces mêmes années et rappels des effectifs globaux d'étudiants inscrits. Inscriptions par académie en université, IUT, STS, CPGE (par ordre décroissant) estimés en 1999-2000 ; les filières qui augmentent et celles qui baissent.
Evolution des effectifs de l'enseignement supérieur par filière de 1988-89 à 1998-99 ; taux d'accès des bacheliers dans l'enseignement supérieur pour les mêmes années. Poids des différentes filières en 1998-99 (effectif, nouveaux bacheliers). Graphiques d'évolution de 1988-89 à 1998-99 : bacheliers, effectifs du supérieur, filière universitaire par cycle, par groupes de disciplines, filières courtes (STS, IUT, écoles paramédicales et sociales), grandes écoles (CPGE, ingénieurs, commerce...). Encadrés : l'enseignement supérieur français ; définitions.
Effectifs d'étudiants inscrits dans les IUT de 1995-96 à 1998-99, avec variation annuelle. Taux d'accueil des bacheliers 1995 et 1998 par bac ; taux d'accroissement des bacheliers en IUT. Effectifs et flux d'entrée par académie, proportion des bacheliers 95 et 98. Entrants par spécialité et bac. Spécialités : effectifs, dont filles, évolution par rapport à 1995-96. Graphique donnant la répartition des étudiants par CSP des parents. Poursuite d'études des diplômés 97. Encadrés : le DNTS ; poursuite d'études ; sources et définitions.
Etude de la poursuite d'études des nouveaux bacheliers, inscrits en DEUG à l'université : poursuite d'études dans la même voie ou en changeant de disciplines (sauf celles de santé qui donnent lieu à un concours), répartition selon le sexe, redoublement, réorientation vers d'autres filières comme IUT ou BTS, abandon. Devenir des bacheliers généraux en fonction de l'âge d'obtention du baccalauréat, devenir des bacheliers technolgiques. Observation de la réussite en fonction de la motivation qui a présidé à l'inscription du bachelier. Comparaison entre l'Ile-de-France et la province. Encadré concernant les poursuites d'études dans les autres filières du supérieur.
Origine des ressources pour la formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur, par type d'établissement. Chiffre d'affaires de formation continue des universités et INP. Répartition des stagiaires et des heures-stagiaires selon le dispositif et suivant le type de stagiaires. Répartition des actions selon la nature de l'action et le niveau de formation. Diplômes délivrés en formation continue : par les universités et INP, selon le niveau de diplôme et la filière disciplinaire ; par les IUT selon le département d'enseignement ; par le CNAM selon le type de diplôme, son niveau et la spécialité. Encadrés : l'organisation de la formation continue universitaire ; le réseau du CNAM ; le champ de l'enquête.
Estimation des effectifs de rentrée dans les principales filières de l'enseignement supérieur (université, IUT, CPGE, STS) ; analyse des comportements des bacheliers 98 suivant les disciplines universitaires ou les filières choisies. Bacheliers 90, 95, 97, 98 ; flux d'entrée en 1ère année par filière pour 1990-91, 1995-96, 1997-98 et 1998-99, variation entre les deux dernières années ; effectifs des principales filières pour les mêmes années. Par académie (France métro), évolution entre les rentrées 1997 et 1998 du flux d'entrée en université, en IUT, en CPGE ou STS publiques sous tutelle Education nationale. Encadré : sondage de rentrée auprès des nouveaux bacheliers entrés en DEUG en 1998 ; rentrée 1998, résultats provisoires et sources.