Combien coûte l’éducation ? Quels agents économiques, État, collectivités territoriales, ménages, entreprises, en assurent le financement ? Quelle est la dépense moyenne pour un élève ou pour un étudiant ? En répondant à ces questions, le Compte de l'éducation vise à apporter une mesure de l'effort monétaire que la collectivité nationale consacre au système éducatif. Il est en cohérence avec la Comptabilité nationale dont il constitue un compte satellite. Ce dossier actualise les principes et méthodes utilisés par le Compte de l’éducation pour rassembler et organiser dans un cadre synthétique l'ensemble des flux économiques relatifs aux dépenses d'éducation et à leur financement. Il comprend des résultats calculés avec les nouvelles méthodes qui constituent une série cohérente sur la période 2006-2014.
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 49 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 49 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
En 2013, la France a consacré 144,8 milliards d’euros à son système éducatif, soit une hausse de 2 % par an en euros constants depuis 1980. Cela représente 2 200 euros par habitant et 7 % du PIB, taux comparable à celui de 2006. L’État reste le premier financeur de l’éducation (57 %) devant les collectivités territoriales (25 %), dont la part a augmenté de 3 points depuis 2006.
En 2013, la dépense moyenne pour un élève ou un étudiant est de 8 320 euros. Elle s’élève avec le niveau, allant de 6 220 euros pour un écolier à 11 540 euros pour un étudiant. Depuis 2010, seul le coût d’un élève du premier degré poursuit sa tendance à la hausse tandis que celui des autres niveaux est en recul.
Ce vingt-quatrième numéro de L’état de l’École rassemble les indicateurs statistiques essentiels pour analyser le système éducatif français et apprécier les politiques mises en œuvre. Structuré autour des moyens affectés à l’École, des conditions de scolarisation et des résultats des élèves, il s’attache à décrire les principales évolutions en cours et apporte l’éclairage des comparaisons internationales. Il souligne les efforts engagés ainsi que les progrès restant à accomplir, notamment en matière de lutte contre les inégalités liées à l’origine sociale des élèves.
La onzième édition de Géographie de l’école décrit les caractéristiques spatiales du système de formation français et s’efforce d’approfondir l’analyse des disparités territoriales au niveau infra-académique. Trente-cinq indicateurs, le plus souvent relatifs à l’année scolaire 2013-2014, sont actualisés, illustrés de nombreuses cartes ou graphiques et accompagnés de données détaillées au niveau local. Quatre études complètent ce panorama en proposant de caractériser précisément les territoires. L’ouvrage montre ainsi la diversité des contextes éducatifs et éclairent les évolutions enregistrées au cours de la dernière décennie.
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 47 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
En 30 ans, l'espérance de scolarisation à 15 ans a fortement augmenté (de 4,7 ans à 6,5 ans) avant de se stabiliser avec la baisse des redoublements. Le niveau d'études s'est nettement élevé. À leur sortie des études, plus de quatre jeunes sur dix ont en poche un diplôme de l'enseignement supérieur, contre moins de deux sur dix il y a 30 ans. Moins de jeunes quittent l'école sans diplôme, mais cela reste fréquent, surtout dans les milieux défavorisés. La généralisation de l'accès au baccalauréat, dans tous les milieux sociaux, masque une grande hétérogénéité des types de baccalauréat obtenu, plus souvent professionnels en bas de l'échelle sociale et généraux en haut. Ces différences se retrouvent dans l'enseignement supérieur, avec des poursuites d'études courtes plus fréquentes (BTS-DUT) pour les jeunes moins favorisés. Pour les jeunes sans diplôme, l'insertion professionnelle est difficile. Fin 2010, à leur arrivée sur le marché du travail, près de la moitié d'entre eux se retrouve au chômage.
En 2012, la France a consacré 139,4 milliards d’euros à son système éducatif, soit une hausse de 2 % par an en euros constants depuis 1980. Cela représente 2 130 euros par habitant et près de 7 % du PIB, taux comparable à celui de 2006. L’État reste le premier financeur de l’éducation (58 %) devant les collectivités territoriales (25 %) dont la part a augmenté de plus de 3 points depuis 2006. En 2012, la dépense moyenne pour un élève ou un étudiant est de 8 330 euros.
Elle s'élève avec le niveau, allant de 6 010 € pour un écolier à 11 740 € pour un étudiant.
Depuis 2006, alors que le coût d’un élève de l’enseignement scolaire a peu évolué, celui d’un étudiant a crû de près de 10 points.
SIES A2.1,DGRH A1-1,DEPP B3,DEPP B2,DEPP B1,DEPP A3,DEPP A2,DEPP A1,DEPP A
Cette vingt-troisième édition de L’état de l’École propose une analyse synthétique des coûts, des activités et des résultats du système éducatif français. Elle en observe les évolutions et apporte l’éclairage des comparaisons internationales. Elle contribue à actualiser le jugement que nous pouvons porter sur notre École, au moment où sa refondation s'affirme comme une priorité de l'action gouvernementale.
Publication annuelle de la direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance, RERS présente un vaste ensemble d’indicateurs statistiques. Déclinée en plus de 180 thématiques, cette information constitue une référence pour toute réflexion sur l’évolution du système d’enseignement et de recherche français.
The 6th edition of Higher Education and Research, Facts and Figures provides an annual overview, backed up by figures, of the French higher education and research system, with its changes, resources and outcomes. These data are provided by the statistical departments of various Ministries, for example the Ministry of Higher Education and Research, the Ministry of Education and the Ministries for the Economy and Finance, but also from other organisations such as the Centre for Study and Research in Training and Education Policy, the National Observatory of Student Life, the French National Institute of Statistics and Economic Studies, the Science and Technology Observatory, and the OECD.
En France, la dépense moyenne d’éducation par élève ou étudiant est estimée à 8 250 euros en 2011. L’État assure l’essentiel de la dépense moyenne d’éducation, alors qu’au niveau de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) les collectivités territoriales en sont le principal financeur. Le niveau de dépense pour la durée de la scolarité obligatoire place notre pays dans la moyenne de l’OCDE.
La dépense intérieure d'éducation est estimée à 137,4 milliards d'euros en 2011. Cela représente une baisse de 0,4 % par rapport à l'année précédente, en euros constants. L'effort consenti par la collectivité nationale pour le fonctionnement et le développement du système éducatif correspond à 6,9 % du produit intérieur brut. En 2009, selon les dernières statistiques internationales disponibles, cet effort est légèrement plus important en France que dans la moyenne des pays de l' OCDE (+ 0,1 point).
Higher Education and Research, Facts and Figures provides an annual overview, backed up by figures, of the French higher education and research system, in order to show where the country stands internationally and to monitor changes, especially over the long term.
Funding, human resources, access to higher education, study paths, pass rates, qualifications, integration of graduates into working life, student life, research in biotechnology or nanotechnology, participation in FP7, publications, patents, etc. - all these topics are covered in the 42 fact sheets that make up the 5th edition (2011) of this work.
En 2009, la France a consacré 132,1 milliards d’euros à son système éducatif, soit une dépense en hausse de 1,3 % (en euros constants) après trois années de stabilité. Cela représente 6,9 % du PIB et 2 050 euros par habitant.
La dépense moyenne par élève ou étudiant est de 7 990 euros : 5 690 euros pour un écolier, 9 380 pour un élève de l’enseignement secondaire, 11 260 pour un étudiant. La part du secondaire (42,0 %) dans la dépense intérieure d’éducation (DIE) tend à décroître, celle du supérieur (19,9 %) progresse de 2,3 points depuis 2005.
L’État reste le premier financeur de l’éducation (59,2 %), devant les collectivités territoriales (24,6 %) dont la part a augmenté de 4 points depuis 2005. Avec 6,0 % de son PIB consacré à l’éducation en 2007, la France se situait 0,3 point au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE sur un champ restreint ne comprenant pas la formation continue (données internationales 2007 publiées en 2010).
En France, la dépense moyenne d’éducation par élève ou étudiant est estimée à 7 990 euros en 2009. L’État y assure l’essentiel de la dépense moyenne d’éducation alors qu’au niveau de l’ OCDE, les collectivités territoriales en sont le principal financeur. Le niveau de dépense pour la durée de la scolarité obligatoire place notre pays légèrement au-dessus de la moyenne de l’OCDE.
Le Compte de l'éducation vise à apporter une mesure de l'effort monétaire que la collectivité nationale consacre au système éducatif. Il constitue un compte satellite de la comptabilité nationale. Il a donc un statut de compte économique permettant de rassembler et d'organiser, dans un cadre synthétique, l'ensemble des flux relatifs aux dépenses d'éducation et à leur financement.
Cette publication vise à repérer les disparités géographiques du système de formation français, en référence au principe d’assurer à tous les jeunes l’acquisition d’une culture générale et d'une qualification reconnue, quelle que soit leur origine sociale, culturelle ou géographique. Trente ans après les premières lois de décentralisation, elle montre la diversité des contextes éducatifs sur notre territoire national et replace les transformations en cours dans leur profondeur historique
Higher Education and Research, Facts and Figures 2010 provides an annual overview, backed up by figures, of the French higher education and research system, in order to show where the country stands internationally and to monitor changes, especially over the long term. Funding, human resources, access to higher education, pass rates, qualifications, integration of graduates into working life, student life, research in biotechnology or nanotechnology, participation in FP7, publications, patents, etc. - all these topics are covered in the 35 fact sheets that make up the 4th edition (2010) of this work.
As in previous editions, this 4th edition of The State of Higher Education and Research presents a detailed overview, backed up by figures, of current developments within the French system, the resources it deploys and its outcomes, situating it, wherever data permit, in relation to its international counterparts.
Higher Education and Research, Facts and Figures provides an annual overview, backed up by figures, of the French higher education and research system, in order to show where the country stands internationally and to monitor changes, especially over the long term. Funding, human resources, access to higher education, pass rates, qualifications, integration of graduates into working life, student life, research in biotechnology or nanotechnology, participation in FP7, publications, patents, etc. - all these topics are covered in the 35 fact sheets that make up the 3rd edition (2009) of this work.
This second revised and expanded edition reflects France's interest in those two indispensable and inseparable growth drivers, Higher Education and Research, with intelligence, competitiveness and innovation at the forefront. In its design, the work is intended to be clear, user-friendly and transparent. It is by definition an information tool available to the public. It covers public policy and strategic decisions taken on behalf of the Nation. It is also intended to be a management tool for decision-makers.
The first edition of The State of Higher Education and Research presents a detailed overview, backed up by figures, of current developments within the French system, the resources it deploys and its outcomes, situating it, wherever data permit, in relation to its international counterparts.
This first edition of Higher Education and Research, Facts and Figures is more than a mere inventory of a system: it is designed as an informational tool to be used by all. It illustrates the political and strategic choices made on behalf of the Nation and, in the interests of transparency, it reports on the effectiveness of public policy: democratisation of higher education, success in university studies, outcomes for students, research effort, scientific publications, staff situations, etc.