Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 49 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
L'état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en France constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 49 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
En 2013, 107 000 étudiant.e.s ont été diplômé.e.s de master à l’université. Parmi celles et ceux entré.e.s dans la vie active dans les 30 mois suivant la validation du diplôme, 9 sur 10 sont en emploi. L’insertion professionnelle est un processus au cours duquel les conditions et la qualité de l’emploi s’améliorent progressivement.
Alors que le taux de chômage des jeunes de 15 à 24 ans atteint 24,5 % (4ème trimestre 2015, enquête Emploi, INSEE) les diplômes universitaires, en particulier le master, restent une protection efficace face au chômage. Les conditions d’emploi et les caractéristiques des emplois occupés en début de carrière par les jeunes diplômé.e.s de master diffèrent nettement selon la spécialisation disciplinaire.
En 2013, 46 000 étudiant.e.s ont été diplômé.e.s de DUT au sein des universités. 89 % ont poursuivi ou repris des études dans les 30 mois suivants. Parmi celles et ceux entré.e.s dans la vie active, 9 sur 10 sont en emploi 30 mois après l’obtention de leur diplôme.
L’insertion professionnelle des diplômés de DUT est progressive, avec une amélioration de 9 points par rapport à la situation à 18 mois.
En 2013, 47 000 étudiant.e.s ont été diplômé.e.s de licence professionnelle (LP) au sein des universités, 29 % ont poursuivi ou repris des études dans les 30 mois suivants. Parmi celles et ceux à être entré.e.s dans la vie active, 88 % sont en emploi 18 mois après l’obtention de leur diplôme et 92 % encore un an plus tard.
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 50 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
On leaving university, there are more female than male Masters graduates. The professional integration rate, 30 months after graduating, is similar between men and women. However, women experience less favourable employment conditions than their male counterparts.
These differences are primarily due to the subject of the Master’s degree. In disciplines in which the number of women is the highest, opportunities in the employment market are less favourable. However, in disciplines with fewer women, professional inequalities are significant. In addition, regardless of the discipline, career paths diverge, with more women in employment in the non-profit and public sectors, where pay is usually lower and contracts less stable.
For a given discipline, type of employer and sector of activity, inequalities persist, above all with regard to pay, in which the residual difference is the largest, representing two-thirds of the differences noted.
A la sortie de l’université, les diplômé.e.s de master comptent plus de femmes que d’hommes.
Le taux d’insertion professionnelle, 30 mois après la validation du diplôme, est similaire entre femmes et hommes.
Mais les conditions d’emploi se caractérisent par de fortes disparités en défaveur des femmes.
Ces écarts tiennent d’abord aux disciplines de formation.
Dans les domaines disciplinaires où la part de femmes est la plus élevée, les débouchés sur le marché de l’emploi sont moins favorables. Mais dans les domaines moins féminisés les inégalités
professionnelles sont importantes.
En outre, quelle que soit l’origine disciplinaire, les trajectoires d’insertion divergent, avec davantage de femmes en emploi au sein des secteurs associatifs et publics, dans lesquels les rémunérations apparaissent plus faibles et les contrats plus précaires.
A discipline, type d’employeur et secteur d’activité donnés, les inégalités persistent et c’est surtout en matière de rémunération que l’écart résiduel reste le plus important, représentant encore deux tiers des différences observées.
L'état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en France constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 50 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Dès 18 mois après l’obtention du diplôme, l’insertion des diplômés de l’université est déjà bien avancée : selon le diplôme, de 82 % à 97% des diplômés sont en emploi. Cette insertion se poursuit pendant la deuxième année avec l’amélioration des conditions d’emploi (type de contrat, salaire,...). Les résultats sont issus d’un dispositif d’enquêtes annuelles sur l’insertion des diplômés de master, de licence professionnelle et de DUT à l’université, coordonné par le MENESR, administré par les universités.