Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 52 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
En France, les entreprises emploient 12 500 chercheurs étrangers en personnes physiques (PP), effectif en progression depuis 2007 (+ 82 %).En 2015, ils représentent 5,5 % des chercheurs en entreprise contre 13,1 % pour la recherche publique. Près de la moitié sont des Européens, principalement de l’UE. Ils représentaient 59 % en 2007 et, sous l’effet de l’augmentation des autres continents, 47 % en 2015. La part des femmes parmi les étrangers, en hausse sur la période, est supérieure à celle de l’ensemble de chercheurs en entreprise (27 %, contre 20 %). Les chercheurs internationaux travaillent plus souvent dans des structures dont l’âge moyen des chercheurs est inférieur à la moyenne et qui sont spécialisées dans les services. Toutefois, selon leur origine géographique, leur représentation diffère particulièrement en fonction du secteur de recherche de l’entreprise.
En 2017, les collectivités territoriales déclarent avoir dépensé 1,57 milliard d’euros (Md€) au profit de l’enseignement supérieur et de la recherche (ESR), soit un niveau identique à celui de 2016 (1,59 Md€).
L’État de l’emploi scientifique 2018 correspond à une publication statistique biennale. Elle rassemble des études et statistiques permettant d'éclairer les différents domaines d'activité des personnels qui relèvent de l'emploi scientifique en France. Il couvre à la fois la recherche menée dans les organismes et les établissements d'enseignement supérieur et celle réalisée en entreprise.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 51 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
L’enquête CollTerr 2017 a interrogé les collectivités territoriales sur la part de leur budget qu’elles consacrent à la recherche et transfert de technologie (R&T) et à l’enseignement supérieur et vie étudiante (ES&VE).
Elle concerne tous les niveaux territoriaux : régions, départements, EPCI à financement propre et communes. Le questionnement 2017 porte sur les exercices 2015, 2016 et les prévisions 2017. La cartographie présente, selon chaque niveau territorial, d’une part les budgets R&T et, d’autre part, ceux consacrés à l’ES&VE, en moyenne annuelle des trois exercices de l’enquête 2017 suivant les déclarations par les collectivités territoriales.
La cartographie présente, selon chaque niveau territorial, d’une part les budgets R&T et, d’autre part, ceux consacrés à l’ES&VE, en moyenne annuelle des trois exercices de l’enquête 2017 suivant les déclarations par les collectivités territoriales.
Les résultats sont issus de l’enquête réalisée en 2017 auprès des collectivités territoriales par le ministère en charge de l’enseignement supérieur et de la recherche (MESRI). Les données 2016 sont semi-définitives.
L’effort déclaré en faveur de la recherche est plus important que celui dédié à l’enseignement supérieur.
Suite aux réformes territoriales, les actions en faveur de la recherche ralentissent en 2016
De 2015 à 2017, le budget R&T local privilégie le transfert de technologie et celui dédié à l’enseignement supérieur cible les opérations immobilière
Les collectivités territoriales de cinq territoires régionaux apportent, en moyenne par an, plus de 100 M€ à la R&T
Une concentration territoriale plus forte des dépenses en faveur de l’enseignement supérieur.
En 2015, parmi les 348 000 personnes travaillant en entreprise aux activités de recherche et développement (R&D) en France, 226 000 occupent la fonction de chercheur. La force de travail correspondante est de 166 000 chercheurs équivalents temps plein. Les chercheurs en entreprise sont relativement jeunes (la moitié ont moins de 39 ans), majoritairement des hommes (80 %) et issus d’une école d’ingénieur (à 56 % contre 12% de titulaires d’un doctorat). Cependant, ce profil moyen est dépendant de la taille de l’entreprise et surtout de son secteur de recherche. Environ 12 000 chercheurs de nationalité étrangère mènent leur activité R&D dans une entreprise implantée en France, soit 5 % des chercheurs en entreprise.
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 49 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
L'état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en France constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 49 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
En 2014, les femmes représentent 30 % des personnels travaillant, en France, au profit de la recherche et du développement expérimental (R&D). La part des postes occupés par les femmes est plus importante parmi les personnels de soutien (38 %) que parmi les chercheur.e.s (26 %). Cette observation, liée au niveau de qualification des personnels de recherche, se vérifie dans les administrations comme dans les entreprises.
En 2015, les collectivités territoriales déclarent consacrer près de 1,2 milliard d’euros (Md€ courants) à la recherche et au transfert de technologie (R&T). L’effort local en faveur de la R&T est stable depuis sept exercices (en euros constants)
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 50 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
Après une forte croissance de 2004 à 2009, les dépenses des collectivités territoriales en faveur de la recherche et du transfert de technologie (R&T), se stabilisent à 1,2 milliard d’euros (Md€) par an jusqu’en 2014. 28 % de ces financements sont inscrits aux contrats de projets/ plan État-Région.
Le partage des compétences entre niveaux territoriaux, inscrit dans les lois relatives à la décentralisation – acte II -, explique la prédominance des régions : deux tiers du budget R&T annuel. Le niveau communal, par l’intermédiaire des intercommunalités qui se structurent, voit sa part augmenter progressivement. Dans une stratégie d’attractivité et de développement économique du territoire, les opérations immobilières et de transfert et aides à l’innovation des entreprises englobent 60 % du budget R&T.
L’effort des collectivités en faveur de la R&T, 19 € par habitant à partir de 2009, est réparti sur la France entière. L’organisation entre les niveaux territoriaux reste cependant propre à chaque région.
L’État de l’emploi scientifique 2016 correspond à une publication statistique biennale. Elle rassemble des études et statistiques permettant d'éclairer les différents domaines d'activité des personnels qui relèvent de l'emploi scientifique en France. Il couvre à la fois la recherche menée dans les organismes et les établissements d'enseignement supérieur et celle réalisée en entreprise.
La nouvelle édition 2016 permet de mieux connaître la recherche menée dans les organismes et les établissements d'enseignement supérieur et celle réalisée en entreprise. En effet, le rapport 2016 intègre une approche de l'emploi scientifique par grands champs disciplinaires avec une consolidation ou une mise en cohérence des données portant sur les établissements d'enseignement supérieur, les organismes de recherche (EPST/EPIC) et les entreprises.
Les données statistiques sont présentées selon des périmètres, conventions et unités communs, conformément aux conventions internationales édictées par le manuel de Frascati, dans les limites de la disponibilité des données.
En outre, au-delà de la seule observation statistique, la publication intègre une dimension prospective, qu'il s'agisse du vivier des chercheurs (doctorants) ou des projections de départs en retraite.
En 2013, 220 000 personnes ont occupé la fonction de chercheurs en entreprise, que ce soit partiellement ou à plein temps.
La force de travail correspondante est de 162 000 équivalents temps plein (etp), soit 61% de l’ensemble des chercheurs opérant en France. Cette proportion est très supérieure (+13 points) à la moyenne européenne.
L’activité professionnelle du chercheur en entreprise se modifie : il consacre, en 2013, 73% de son temps de travail annuel moyen à la R&D, contre 95% jusqu’en 2005. De plus, il ne bénéficie plus que de 0,6 etp par an en personnel de soutien pour l’aider dans ses travaux de recherche, soit la moitié du niveau de 2001. Les chercheurs en entreprise sont relativement jeunes (la moitié ont moins de 38 ans), majoritairement des hommes (80%) et issus d’une école d’ingénieur (à 54% contre 12% de titulaires d’un doctorat).
Cependant, ce profil moyen est dépendant de la taille de l’entreprise et surtout de son secteur de recherche.
L'état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en France constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 50 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Les activités de recherche & développement et de transfert de technologie (R&T) sont reconnues comme un facteur nécessaire à l’essor économique. Les collectivités territoriales, notamment les régions, contribuent de manière significative à l’élaboration et à l’extension d'un environnement favorable à l'innovation. Le financement par les différents échelons territoriaux en faveur de la recherche reste globalement modeste au regard des dépenses budgétaires de l'État dans ce domaine (8 % des financements publics. Il reste qu’un effort constant est maintenu pour favoriser l’innovation et le transfert de technologie à l’échelle d’un territoire. En 2014, les budgets déclarés pour la R&T s’élèvent ainsi à 1,3 milliards d’euros.
L'effort budgétaire des collectivités territoriales en direction de la R&T s'inscrit largement dans la politique nationale et européenne d'aménagement du territoire par l’intermédiaire des contrats de projet Etat-régions (CPER). Il s’inscrit également dans la politique des Pôles de compétitivité, et plus récemment dans les actions des Programmes Investissements d’Avenir (PIA). De même, dans le cadre des programmes opérationnels régionaux du FEDER, la politique européenne d'appui à l'innovation et de cohésion économique a conduit à l’élaboration d’abord de Stratégies Régionales d’Innovation (SRI) et depuis 2014, de Stratégies de spécialisation intelligente (3S) en faveur d’une croissance intelligente, durable et inclusive.
Ce budget représente, en moyenne, 19 euros par habitant. Si les régions sont les principaux contributeurs (66 %), les départements (15%) et les communes et établissements intercommunaux (19 %) y consacrent également un budget substantiel. Les opérations immobilières représentent 36 % des financements R&T, la moitié étant inscrit dans les contrats de plan ou projets Etat-Régions.
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 49 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 49 fiches présente sur une double page, au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
En 2013, les collectivités territoriales on consacré 1,34 milliard d'euros à la recherche et au transfert de technologie (R&T), soit une hausse de 10% en volume par rapport à 2012.
Les activités de recherche & développement et de transfert de technologie (R&T) sont reconnues comme un facteur nécessaire à l’essor économique. Les collectivités territoriales, notamment les régions, contribuent de manière significative à l’élaboration et à l’extension d'un environnement favorable à l'innovation, même si le financement par les différents échelons territoriaux en faveur de la recherche reste globalement modeste (8 % des financements publics. Cf. chap. 2.1) au regard les dépenses budgétaires de l'État dans ce domaine. Il reste que, de 2007 à 2013, les budgets déclarés pour la R&T ont progressé de 42 %. En 2013, ils s’élèvent à 1,34 milliards d’euros.
Depuis 2003, l'enquête annuelle sur les budgets de R&T conduite par le département des études statistiques (MENESR - SCSESR - SIES - A2.3) permet une mesure des budgets engagés ou dépensés par les collectivités territoriales pour le soutien à la recherche.
En 2011, la recherche en entreprise emploie 148 000 chercheurs (en équivalent temps plein [ETP]), soit près de 50 000 de plus que dans le secteur public. Entre 2001 et 2011, la population des chercheurs du privé a fortement augmenté (60 000 ETP en plus) et particulièrement dans les branches de recherche des services marchands où elle a presque triplé.
Si la population de chercheurs augmente fortement, celle des personnels de soutien diminue, ainsi que les « frais généraux » dédiés à la recherche.
En conséquence, le coût « environné » du chercheur (mesuré par le ratio DIRDE/effectifs de chercheurs) a sensiblement diminué au cours de la décennie en raison principalement de la baisse du niveau d’appui par les personnels de soutien.
La population des chercheurs en entreprise reste jeune et majoritairement issue d’une école d’ingénieurs. Les femmes y sont peu nombreuses (un chercheur sur cinq).
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente sur une double page, au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
En 2010, la France compte 315 500 chercheurs ou ingénieurs de recherche : 82 000 sont des femmes, 233 500 des hommes. Le nombre de chercheurs femmes progresse depuis 2007, mais moins fortement que celui des hommes. Les chercheures sont plus nombreuses dans les administrations que dans les entreprises. Ce n’est pas le cas des chercheurs hommes.
La 6e édition de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche présente un état des lieux annuel et chiffré du système français d'enseignement supérieur et de recherche, ses évolutions, les moyens mis en oeuvre et leurs résultats. Ces données sont issues des services statistiques ministériels de différents ministères (MESR, MEN, MEFI) mais aussi d'autres organismes comme le CEREQ, l'OVE, l'INSEE, l'OST ou l'OCDE.
Les activités de recherche, de développement et de transfert de technologie (R&T) sont reconnues comme un facteur nécessaire à l’essor économique. Les collectivités territoriales, notamment les régions, contribuent de manière significative à l’élaboration et à l’extension d'un environnement favorable à l'innovation, même si le financement par les différents échelons territoriaux en faveur de la recherche reste globalement modeste (7 % des financements publics) au regard des dépenses budgétaires de l'État dans ce domaine (voir encadré page 11). L'effort budgétaire en direction de la R&T s'inscrit largement dans la politique d'aménagement du territoire au travers des contrats de projet Etat-régions (CPER). Il s’inscrit également dans la politique des pôles de compétitivité, la mise en place des pôles de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) et plus récemment dans les actions du programme « Investissements d’avenir ». Cependant, ces interventions n'épuisent pas les formes d'actions locales en faveur de la R&T. Au travers des stratégies régionales d’innovation ou de développement économique, les régions définissent des axes prioritaires, thématiques ou organisationnels qui recevront particulièrement leur soutien. Ainsi, les collectivités territoriales s'impliquent directement dans le financement des projets de recherche des secteurs public et privé, de la formation par la recherche ou encore de l'équipement des laboratoires et du développement des structures de transfert technologique (plates-formes technologiques, incubateurs). Ces actions en matière de développement économique dépassent le seul cadre du transfert de compétences au titre des lois de décentralisation. Depuis 2003, l'enquête annuelle sur les budgets de R&T permet une mesure des budgets engagés ou dépensés par les collectivités territoriales pour le soutien à la recherche.
Depuis 2008, les collectivités territoriales dépensent chaque année plus d’un milliard d'euros en faveur de la recherche et du transfert de technologie (R&T). Avec 60 % des budgets R&T au profit d'opérations immobilières et de transfert de technologie, les collectivités territoriales, tous niveaux confondus, interviennent de manière concertée pour renforcer l’innovation et l’attractivité du territoire. Lorsqu’elles financent directement des travaux de R&D, les collectivités privilégient d’abord la recherche dans l’enseignement supérieur et les PME locales. De 2007 à 2010, 349 millions d’euros sont consacrés en moyenne par an au volet recherche du contrat de projet État-région (CPER). Dans ce cadre, les bâtiments universitaires absorbent 42 % des crédits immobiliers. Les conseils régionaux apportent 69 % des budgets R&T de métropole, soit 748 millions d’euros par an en moyenne de 2007 à 2010. Ils consacrent 15 % de leur budget R&T aux Pôles de compétitivité.
L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche permet de faire le bilan annuel chiffré du système d’enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme.
Financement, ressources humaines, accès au supérieur, parcours, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 42 fiches de la 5e édition (2011) de cet ouvrage.
L'Île-de-France conserve en 2008 son rôle prédominant dans la recherche et développement. Cependant, au-delà des effets de taille, en combinant différents indicateurs sur le niveau et la structure de la recherche publique et privée des régions, on obtient une cartographie alternative laissant apparaître quatre groupes de comportements relativement homogènes : les régions avec un fort potentiel de recherche, les régions où la recherche publique et les PME sont particulièrement actives, les régions proches du profil moyen, les régions où la recherche est surtout exécutée par les entreprises et où la recherche publique est d'abord menée par les universités. Une région, isolée par la spécialisation de ses activités de R&D , constitue un cinquième groupe. En fait, les régions françaises sont principalement différenciées par le poids des EPIC et des universités dans la recherche publique et par la place de la haute technologie dans la recherche privée.
En 2007, plus de 137 000 chercheurs (en personnes physiques) ont une activité de R&D en entreprise, ils étaient 81 000 en 1997, et deviennent pratiquement aussi nombreux que leurs homologues opérant dans les administrations. Les deux tiers d’entre eux sont regroupés dans six secteurs économiques : composants électroniques, services informatiques, automobile, aéronautique, instruments de mesure et pharmacie. La forte augmentation du nombre de chercheurs en entreprise au cours de ces dix dernières années profite en premier lieu aux services informatiques. Cette population est jeune et fortement masculine. En 2007, leur moyenne d’âge est inférieure à 40 ans. Ces chercheurs sont formés en école d’ingénieurs, pour plus de la moitié d’entre eux. Les femmes sont en moyenne plus jeunes et plus diplômées que les hommes.
L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche 2010 permet de faire le bilan annuel chiffré du système d’enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme. Financement, ressources humaines, accès au supérieur, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 35 fiches de la 4e édition (2010) de cet ouvrage.
As in previous editions, this 4th edition of The State of Higher Education and Research presents a detailed overview, backed up by figures, of current developments within the French system, the resources it deploys and its outcomes, situating it, wherever data permit, in relation to its international counterparts.
L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche permet de faire le bilan annuel chiffré du système d’enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme. Financement, ressources humaines, accès au supérieur, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets... sont les thèmes abordés dans les 35 fiches de la 3e édition (2009) de cet ouvrage.