Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
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NI DEPP 20.10 - Résultats définitifs de la session 2019 du baccalauréat : les candidats
de la voie professionnelle obtiennent plus souvent une mention
qu’à la session 2018
Avec 759 100 candidats et 668 300 bacheliers, le taux de réussite atteint 88,0 % à la session 2019 : 91,1 % en général, 88,0 % en technologique et 82,4 % en professionnel. Il est stable dans la voie générale et diminue dans les voies technologique et professionnelle. La part de candidats de la voie professionnelle admis avec mention augmente et dépasse celle de la voie technologique pour la première fois depuis 2013. Les effectifs de candidats de la voie générale diminuent pour la première fois depuis 2011. Ceux de la voie technologique continuent de progresser mais plus modérément, et ceux de la voie professionnelle poursuivent leur baisse. Avec 80,0 %, la proportion de bacheliers dans une génération diminue de 0,9 point à la session 2019, les voies générale et technologique ne progressant pas cette année. En 2019, l’espérance d’obtenir le baccalauréat pour un élève de sixième sous statut scolaire est la plus forte dans les académies d’Ile-de-France, de Guadeloupe, de Martinique, de Rennes et de Toulouse. Dans toutes les académies, les voies générale et technologique sont prépondérantes dans l’accès au baccalauréat pour les élèves de sixième.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 52 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
À la session du baccalauréat de juin 2019, avec 88,1 % d’admis en France entière, le taux de réussite global est très légèrement inférieur à celui de 2018 (88,3 %). Il reste proche de 88 % depuis 2014. Le taux de réussite au baccalauréat général de 91,2 % est stable par rapport à celui de 2018 (+ 0,1 point). Celui du baccalauréat technologique, qui avait augmenté fortement de 2005 à 2014, perd 0,8 point avec 88,1 %, soit 2,3 points de moins depuis 2017. Dans la voie professionnelle, avec 82,3 %, le taux de réussite perd 0,3 point. Il reste compris entre 80,5 % et 82,6 % depuis 2014. En données provisoires, la part des bacheliers dans une génération atteint 79,7 % en 2019. Les candidats de la voie générale obtiennent le plus souvent leur diplôme avec mention.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 51 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
À la session du baccalauréat de juin 2018, avec 88,3 % d’admis en France entière, le taux de réussite global est légèrement supérieur à celui de 2017 (87,9 %). Il reste proche de 88 % depuis 2014.
Le taux de réussite au baccalauréat général, de 91,1 %, est en hausse par rapport à celui de 2017 (+ 0,4 point). Celui du baccalauréat technologique, qui avait augmenté fortement de 2005 à 2014, perd 1,6 point avec 88,9 % après trois années de relative stabilité. Dans la voie professionnelle, avec 82,6 %, le taux de réussite gagne 1,1 point. Il reste compris entre 80,0 % et 82,6 % depuis 2014. La part des bacheliers dans une génération gagne 1,3 point par rapport à 2017 et atteint 79,9 % en 2018. Les candidats de la voie générale obtiennent le plus souvent leur diplôme avec mention.
Avec 732 700 candidats et 643 800 bacheliers, le taux de réussite atteint 87,9 % à la session 2017 : 90,6 % en général, 90,4 % en technologique et 81,5 % en professionnel. Il diminue très légèrement dans la voie technologique, et de façon plus marquée dans les voies générale et professionnelle en recul de près d’un point. La proportion de bacheliers dans une génération fluctue entre 78 % et 79 % depuis quatre sessions. Elle augmente très légèrement cette année (+ 0,3 point), la hausse dans la voie générale étant partiellement compensée par la baisse dans la voie professionnelle. Elle atteint 79,1 % en 2017.
À la session 2017, l’espérance d’obtenir le baccalauréat pour un élève de sixième sous statut scolaire est la plus forte dans les académies d’Île-de-France, de Corse, de Lyon, de Rennes et de Toulouse. Dans toutes les académies, les voies générale et technologique sont prépondérantes dans l’accès au baccalauréat des jeunes de sixième.
En place depuis 2015 dans la voie professionnelle, l’unité facultative de mobilité concerne 3 % des candidats. Elle est plus répandue dans les spécialités autour des métiers de bouche et des services.
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 49 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
À la session du baccalauréat de juin 2017, avec 87,9 % d’admis en France entière, le taux de réussite global est légèrement inférieur à celui de 2016 (88,5%). Il reste proche de 88 % depuis 2014.
Le taux de réussite au baccalauréat général, de 90,7 %, est en baisse par rapport à celui de 2016 (- 0,7 point). Celui du baccalauréat technologique, qui avait augmenté fortement de 2005 à 2014, évolue peu depuis et s’établit à 90,5 % en 2017. Dans la voie professionnelle, avec 81,5 %, le taux de réussite perd 0,7 point. Il reste compris entre 80,0 % et 82,5 % depuis 2014. La part des bacheliers dans une génération est stable par rapport à 2016 (+ 0,1 point) et atteint 78,9 % en 2017. Les candidats de la voie générale obtiennent le plus souvent leur diplôme avec mention.
L'état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en France constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 49 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Avec 715 200 candidats et 633 500 bacheliers, le taux de réussite atteint 88,6 % à la session 2016 : 91,5 % en général, 90,7 % en technologique et 82,5 % en professionnel. Il progresse uniquement dans la voie professionnelle (+ 2 points). La proportion de bacheliers dans une génération fluctue autour de 78 % depuis trois sessions. Elle augmente cette année de 0,9 point grâce à la progression du nombre de candidats dans la voie générale et dans une moindre mesure à l’amélioration de la réussite dans la voie professionnelle. Elle atteint 78,8 % en 2016.
À la session 2016, l’espérance d’obtenir le baccalauréat pour un élève de sixième sous statut scolaire est la plus forte dans les académies d’Île-de-France, de Corse, de Lyon, de Martinique, de Nancy-Metz, de Rennes et de Toulouse. Dans toutes les académies, les voies générale et technologique sont prépondérantes dans l’accès au baccalauréat des jeunes de sixième.
Comparé aux autres voies, l’accès à l’oral de rattrapage est moins fréquent pour les candidats de la voie professionnelle, et la réussite y est beaucoup moins importante.
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À la session du baccalauréat de juin 2016, avec 88,5 % d’admis en France entière, le taux de réussite global est légèrement plus élevé que celui de 2015 (87,8 %).
Le taux de réussite au baccalauréat général, de 91,4 %, est identique à celui de 2015. Celui du baccalauréat technologique, qui avait augmenté fortement de 2005 à 2014, est stable depuis à 90,7 %. Dans la voie professionnelle, le taux de réussite gagne 1,9 point et dépasse son niveau de 2014 avec 82,2 %. On compte ainsi 3 100 bacheliers professionnels de plus qu’en 2015. La part des bacheliers dans une génération augmente de 77,7 % en 2015 à 78,6 % en 2016 en raison du plus grand nombre de candidats dans la voie générale.
L'état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en France constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 50 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Avec 703 900 candidats et 618 800 bacheliers, le taux de réussite est stable à la session
2015. Il atteint 87,9 % : 91,5 % en général, 90,7 % en technologique et 80,5 % en professionnel.
L’effectif de candidats a baissé de près de 50 000 dans la voie technologique depuis 2004, dont 4 500 depuis 2014. Sur la même période, la voie professionnelle a augmenté de 96 000 candidats et la voie générale de 29 000 dont 10 000 l’an dernier. Dans le même temps, la proportion de bacheliers dans une génération a gagné plus de 16 points et atteint 77,2 % en 2015.
L’espérance d’obtenir le baccalauréat en 2015 pour un élève de sixième sous statut scolaire est la plus forte dans les académies d’Île-de-France, de Limoges, de Lyon, de Rennes et de Toulouse.
Dans 9 % des cas, les candidats au baccalauréat ont suivi un parcours spécifi que en langue, beaucoup plus souvent dans la voie générale et la série Hôtellerie qu’ailleurs.
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À la session du baccalauréat de juin 2015, avec 87,8 % d’admis en France entière, le taux de réussite global est similaire à celui de 2014 (87,9 %).
Le taux de réussite au baccalauréat général remonte de 0,6 point, à 91,5 % et retrouve pratiquement son niveau de 2013. Celui du baccalauréat technologique, qui avait connu une forte augmentation en deux ans, plus de 7 points, est cette fois stable, à 90,6 %. Celui du baccalauréat professionnel, qui avait augmenté de façon spectaculaire en 2014 en gagnant 3,4 points, perd 1,6 point à 80,3 %. La part des bacheliers dans une génération recule à 77,2 % en 2015, contre 78,3 % en 2014 en raison du moins grand nombre de candidats.
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 49 fiches présente sur une double page, au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Avec 710 700 candidats et 625 700 lauréats, le taux de réussite augmente à la session 2014 du baccalauréat. Il atteint 88 % : 91 % dans les voies générale et technologique, 82 % dans la voie professionnelle. Il dépasse 90 % dans presque toutes les séries technologiques.
Seul le taux de réussite de la voie générale est en recul, surtout du fait des séries ES et L.
La réforme de la voie professionnelle a considérablement augmenté le nombre de bacheliers : entre 2010 et 2014, la proportion de bacheliers dans une génération a augmenté de plus de 12 points pour atteindre 77,4 %. Un tiers des candidats sont désormais dans la voie professionnelle et la part de ses bacheliers dans une génération est de 23,8 %. Enfi n, en portant à trois ans la durée du cursus dans les trois voies, la réforme de la voie professionnelle a aussi fortement contribué au rajeunissement des candidats.
Ce vingt-quatrième numéro de L’état de l’École rassemble les indicateurs statistiques essentiels pour analyser le système éducatif français et apprécier les politiques mises en œuvre. Structuré autour des moyens affectés à l’École, des conditions de scolarisation et des résultats des élèves, il s’attache à décrire les principales évolutions en cours et apporte l’éclairage des comparaisons internationales. Il souligne les efforts engagés ainsi que les progrès restant à accomplir, notamment en matière de lutte contre les inégalités liées à l’origine sociale des élèves.
La onzième édition de Géographie de l’école décrit les caractéristiques spatiales du système de formation français et s’efforce d’approfondir l’analyse des disparités territoriales au niveau infra-académique. Trente-cinq indicateurs, le plus souvent relatifs à l’année scolaire 2013-2014, sont actualisés, illustrés de nombreuses cartes ou graphiques et accompagnés de données détaillées au niveau local. Quatre études complètent ce panorama en proposant de caractériser précisément les territoires. L’ouvrage montre ainsi la diversité des contextes éducatifs et éclairent les évolutions enregistrées au cours de la dernière décennie.
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente sur une double page, au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Avec 678 200 candidats et 589 400 lauréats, le taux de réussite augmente à la session 2013 du baccalauréat. Il atteint 87 % : 92 % dans la voie générale, 87 % dans la voie technologique et 79 % dans la voie professionnelle. Dans la voie technologique, la hausse du taux de réussite compense presque entièrement la perte de candidats. Dans la voie professionnelle, le taux de réussite au baccalauréat augmente très légèrement après trois années de baisse.
Entre 2008 et 2013, la proportion de bacheliers dans une génération augmente de 11,4 points pour atteindre 73,7 %. La réforme de la voie professionnelle a considérablement augmenté le nombre de bacheliers. Elle aura eu pour effet de porter la part de ces bacheliers dans une génération à 20,1 %.
Publication annuelle de la direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance, RERS présente un vaste ensemble d’indicateurs statistiques. Déclinée en plus de 180 thématiques, cette information constitue une référence pour toute réflexion sur l’évolution du système d’enseignement et de recherche français.
À résultats en baisse, porte la part d’une génération obtenant le baccalaréat à 77,5 % contre la session de juin 2012, avec 84,5 % d’admis en France métropolitaine et dans les DOM hors Mayotte, le taux de réussite global au baccalauréat présente une légère baisse (- 1,1 pt) par rapport à la session 2011. Les taux de réussite au baccalauréat général et au baccalauréat technologique augmentent respectivement de 1,4 et de 1 point tandis que celui du baccalauréat professionnel est en baisse de 5,6 points en 2012.
Le taux de réussite au baccalauréat s’établit à 89,6 % dans la voie générale, 83,4 % dans la voie technologique et 78,2 % dans la voie professionnelle. L’année 2012 a encore connu une forte progression du nombre des candidats au baccalauréat professionnel (+ 28 %) qui, malgré des 71,6 % l’an dernier. À la session de juin 2013, avec 86,8 % d’admis, le taux de réussite global au baccalauréat en France est en hausse (2,4 points) par rapport à la session 2012.
Les taux de réussite au baccalauréat général et au baccalauréat technologique augmentent respectivement de 2,4 et de 3,3 points. Les résultats du baccalauréat professionnel se stabilisent en 2013 (+ 0,5 point) après trois ans de forte baisse. Le taux de réussite au baccalauréat s’établit à 91,9 % dans la voie générale, 86,4 % dans la voie technologique et 78,6 % dans la voie professionnelle.
La réforme de la voie professionnelle étant achevée, le nombre des candidats au baccalauréat professionnel baisse de 17 % en 2013 (- 40 300) ce qui réduit la part d’une génération obtenant ce baccalauréat à 19,9 % contre 23,6 % l’an dernier. Au total, la part des bacheliers 2013 dans une génération est ramenée à 73,1 % contre 76,4 % en 2012.
Avec 721 800 candidats et 609 900 lauréats, le taux de réussite à la session 2012 du baccalauréat s’élève à 84,5 % : 89,6 % dans la voie générale, 83,2 % dans la voie technologique et 78,4 % dans la voie professionnelle.
Les candidats sous statut scolaire, en formation continue ou en apprentissage réussissent mieux que les autres candidats.
Les filles, ainsi que les candidats les plus jeunes, obtiennent de meilleurs résultats.
La généralisation de la réforme de la voie professionnelle a conduit à une augmentation conjoncturelle des effectifs des candidats et des lauréats de cette voie (+ 57 600 candidats et + 34 800 lauréats en un an).
Dans ce contexte, la proportion de bacheliers dans une génération augmente de 5,7 points par rapport à 2011 pour atteindre 76,7 %.
La réforme de la voie professionnelle aura eu pour effet de porter la part des bacheliers professionnels dans une génération à plus de 20 %.
La 6e édition de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche présente un état des lieux annuel et chiffré du système français d'enseignement supérieur et de recherche, ses évolutions, les moyens mis en oeuvre et leurs résultats. Ces données sont issues des services statistiques ministériels de différents ministères (MESR, MEN, MEFI) mais aussi d'autres organismes comme le CEREQ, l'OVE, l'INSEE, l'OST ou l'OCDE.
L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche permet de faire le bilan annuel chiffré du système d’enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme.
Financement, ressources humaines, accès au supérieur, parcours, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 42 fiches de la 5e édition (2011) de cet ouvrage.
A la session 2010 du baccalauréat, avec 531 800 lauréats, le taux de réussite à cet examen s'élève à 85,6 %. Il diminue de 0,6 point par rapport à l'année 2009. La proportion de bacheliers dans une génération progresse très faiblement et s'établit à 65,5 % en 2010. L'écart en faveur des filles (70,5 % contre 60,6 % pour les garçons) se resserre et passe sous la barre des 10 points.
L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche 2010 permet de faire le bilan annuel chiffré du système d’enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme. Financement, ressources humaines, accès au supérieur, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 35 fiches de la 4e édition (2010) de cet ouvrage.
As in previous editions, this 4th edition of The State of Higher Education and Research presents a detailed overview, backed up by figures, of current developments within the French system, the resources it deploys and its outcomes, situating it, wherever data permit, in relation to its international counterparts.