Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
L’État de l’emploi scientifique 2023 correspond à une publication statistique biennale. Il rassemble des études et statistiques permettant d'éclairer les différents domaines d'activité des personnels qui relèvent de l'emploi scientifique en France. Il couvre à la fois la recherche menée dans les organismes et les établissements d'enseignement supérieur et celle réalisée en entreprise.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 52 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Le nombre maximum d’emplois d’enseignants?chercheurs à pourvoir jusqu’au 31 décembre 2018 a été fixé par le ministère à 1 986 : 1 266 emplois de maîtres de conférences (MCF) et 720 emplois de professeurs des universités (PR). Les établissements ont publié 1 850 postes : 1 189 de MCF et 661 de PR. Après une légère hausse en 2016, le nombre de postes publiés par les établissements recule encore. La part des postes publiés « au fil de l’eau » (16 %) progresse de 6 points depuis 2014. Comme les années précédentes, plus de 9 emplois sur 10 sont pourvus. Sur les 224 enseignants?chercheurs recrutés par mutation, un quart le sont au titre de la mutation prioritaire.
Au cours de l’année universitaire 2017?2018, 19 100 enseignants non permanents (hors enseignants vacataires) sont en fonction dans les établissements publics de l’enseignement supérieur, soit 23 % de l’ensemble des personnels enseignants. En baisse régulière depuis 2009, le volume de la population enseignante non permanente se stabilise depuis deux années. Les doctorants? contractuels restent la catégorie la plus importante et parmi eux, le nombre de doctorants avec service d’enseignement recule légèrement tandis que les effectifs de doctorants avec unique? ment une mission de recherche continuent de progresser. La répartition des enseignants non permanents diffère selon les disciplines. La part des femmes varie en fonction des statuts.
Le bilan social 2016-2017 dresse un portrait de l’ensemble des personnels, enseignants et autres personnels de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche. Nous vous présentons la partie concernant les personnels exerçant leurs fonctions dans les établissements d’enseignement supérieur, au sein du réseau des œuvres universitaires et scolaires ou dans les directions de l’administration centrale en charge de l’enseignement supérieur, ainsi que les personnels de la recherche en exercice au sein des établissements publics à caractère scientifique et technologique (EPST).
L’État de l’emploi scientifique 2018 correspond à une publication statistique biennale. Elle rassemble des études et statistiques permettant d'éclairer les différents domaines d'activité des personnels qui relèvent de l'emploi scientifique en France. Il couvre à la fois la recherche menée dans les organismes et les établissements d'enseignement supérieur et celle réalisée en entreprise.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 51 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Au cours de l’année universitaire 2016-2017, 19 200 enseignants non permanents (hors enseignants vacataires) sont en fonction dans les établissements publics de l’enseignement supérieur, soit 23 % de l’ensemble des personnels enseignants. En recul depuis 2009, le volume de la population enseignante non permanente s’est stabilisé en 2017. Les doctorants-contractuels constituent la catégorie la plus importante. La répartition des enseignants non permanents diffère selon les disciplines.
En 2017, un tiers des enseignants-chercheurs promouvables à un avancement de grade ont été candidats avec des différences selon le grade d’accès. Parmi eux, 45% ont été promus. Le taux de promus le plus élevé concerne l’accès au grade de maître de conférences hors classe (56%). Ce taux varie sensiblement selon le groupe CNU. Les femmes sont moins souvent candidates que les hommes mais sont plus fréquemment promues.
Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 49 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
En 2016, les candidatures examinées à la qualification aux fonctions de maître de conférences et de professeur des universités diminuent par rapport à 2015 (16 500 contre 17 400), avec un taux de réussite à la qualification de 64% (63% en 2015). Au total, 10 634 qualifications ont été délivrées (8 675 aux fonctions de maître de conférences et 1 959 aux fonctions de professeur des universités) à 8 031 personnes (8 243 en 2015). Le taux de qualification des femmes est inférieur à celui des hommes avec des disparités selon les disciplines. La moitié des qualifiés de 2016 ont été dès cette année candidats aux concours de recrutement.
L'état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en France constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 49 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
En 2016, un tiers des enseignants-chercheurs promouvables à un avancement de grade ont été candidats avec des différences selon le grade d’accès. Parmi eux, 43% ont été promus. Le taux de promus le plus élevé concerne l’accès au grade de maître de conférences hors classe (54%). Ce taux varie sensiblement selon le groupe CNU. Les femmes sont moins souvent candidates que les hommes alors qu’elles sont plus fréquemment promues.