Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
L’État de l’emploi scientifique 2023 correspond à une publication statistique biennale. Il rassemble des études et statistiques permettant d'éclairer les différents domaines d'activité des personnels qui relèvent de l'emploi scientifique en France. Il couvre à la fois la recherche menée dans les organismes et les établissements d'enseignement supérieur et celle réalisée en entreprise.
Les droits différenciés concernent 50 700 étudiants extracommunautaires à la rentrée 2019, soit 38 % des étudiants extracommunautaires inscrits dans une formation concernée par leur mise en place. Introduits en 2019, les droits différenciés sont susceptibles de concerner les étudiants extracommunautaires nouvellement inscrits en diplôme national de licence, master ou cycle d’ingénieur à l’université. Parmi ces derniers, ceux dans le périmètre d'application sont désormais soumis à des droits d’inscription majorés par rapport aux droits communautaires, sous réserve d’exonération (par leur ambassade, l’établissement, etc.). Leur nombre a progressivement augmenté pour atteindre 96 600 à la rentrée 2021 (soit 70% des étudiants internationaux susceptibles d'être concernés). Seuls 6 % de ces étudiants directement concernés doivent s’acquitter d’un tarif plein et 17 % sont totalement exonérés (7 % d'exonérations d'établissement et 10 % d'autres exonérations); ces proportions sont plus élevées en école d’ingénieur. Plus d’un étudiant international venant d’Afrique sur deux, susceptible d'être concerné, est partiellement exonéré des droits différenciés.
En 2021-2022, 302 900 étudiants étrangers en mobilité internationale sont inscrits dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements et régions d’outre-mer. Ils représentent 11 % de l’ensemble des étudiants de l’enseignement supérieur. Après une année de baisse du nombre de mobilités internationales marquée par la crise sanitaire, la rentrée 2021 enregistre un retour à un nombre historiquement haut d’étudiants en mobilité internationale, dépassant pour la première fois la barre des 300 000 étudiants. En 2021-2022, la moitié des étudiants étrangers en mobilité internationale sont originaires du continent africain. Les étudiants asiatiques représentent 22 % de l’ensemble, suivis des européens (19 % dont 15 % de l’UE) et des américains (9 %). L’Ile-de-France et les académies frontalières accueillent relativement plus d’étudiants en mobilité internationale.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Ce bilan de la campagne Parcoursup 2019 se présente sous forme de tableaux et de cartes réunis dans des fiches académiques : chiffres clés et indicateurs permettent de connaître les vœux demandés par les candidats à l'entrée dans l'enseignement supérieur sur le territoire, les propositions faites à ces candidats par les établissements du territoire et enfin la formation finalement acceptée par les candidats.