Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, dans l'espace européen et au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Cette publication constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 53 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
L’État de l’emploi scientifique 2018 correspond à une publication statistique biennale. Elle rassemble des études et statistiques permettant d'éclairer les différents domaines d'activité des personnels qui relèvent de l'emploi scientifique en France. Il couvre à la fois la recherche menée dans les organismes et les établissements d'enseignement supérieur et celle réalisée en entreprise.
En 2012-2013, dans la zone O.C.D.E., près de 3 millions d’étudiants sont scolarisés en dehors de leur pays d’origine. La mobilité internationale est estimée pour la première fois pour l’ensemble des pays de cette zone. La France est le quatrième pays d’accueil, avec 230 000 étudiants étrangers mobiles accueillis, derrière les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie. Les étudiants chinois représentent un quart des étudiants mobiles accueillis dans l’O.C.D.E., et l’ensemble des étudiants asiatiques en représentent la moitié.
La France se distingue par une forte proportion d’étudiants mobiles originaires d’Afrique (41 %).
La part d’étudiants mobiles augmente avec le niveau d’études, passant de 5 % dans les formations courtes à un quart en doctorat.
En France, cette part est de 40 % en doctorat.
Réciproquement, près de 72 000 étudiants français sont scolarisés dans un autre pays de l’O.C.D.E., dont 65 % dans un pays limitrophe. La France est le cinquième pays en termes de mobilité de ses étudiants, derrière la Chine, l’Inde, l’Allemagne et la Corée du Sud.
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente sur une double page, au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
En 2007-2008, 3,3 millions d'étudiants suivent une formation hors de leur pays d'origine dont 2,7 dans un pays de l' OCDE Leur nombre a quadruplé en trente ans et les pays de destination sont de plus en plus diversifiés. La France est la troisième destination d'accueil de ces étudiants , à égalité avec l'Allemagne. Dans la zone OCDE, près de la moitié des étudiants étrangers sont originaires d'Asie ; 18 % sont de nationalité chinoise. L'origine des étudiants étrangers varie d'un pays à l'autre, elle est liée à des facteurs géographiques, historiques, économiques et linguistiques. La proportion d'étudiants étrangers augmente avec le niveau d'études, environ 6 % pour les cursus professionnalisants courts et 21 % pour le niveau doctorat. Enfin, un peu plus de 62 000 étudiants français sont scolarisés à l'étranger ; ils choisissent principalement un pays limitrophe.