Higher Education and Research, Facts and Figures presents an annual overview, backed up by figures, of developments within the French system, its resources and outcomes. Wherever the data permit, an international comparison is provided. A double page is devoted to each of the 49 themes, including a summary of the latest available data along with graphs, tables and comments.
L’atlas régional des effectifs étudiants présente une approche territorialisée des formations de l’enseignement supérieur français.
Organisé par région, il propose une vision à la fois synthétique et précise des territoires de l’enseignement supérieur : ses représentations cartographiques permettent une vision claire et globale de la répartition des effectifs et ses tableaux donnent le détail de ces effectifs par agglomération et commune selon les types de formation.
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 49 fiches présente sur une double page, au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
Tableaux de synthèse : bourses sur critères sociaux et aides au mérite : par académie, sexe et nature de l'établissement. Comparaison 2012-2013 et 2013-2014. Tableaux détaillés : boursiers sur critères sociaux : par origine socioprofessionnelle et échelon, par tranche de revenus et nombre de points de charge ; échelon. Ensemble des bourses : nature de l'établissement, année d'études et type de bourse. Sur critères sociaux : étudiants étrangers : nature de l'établissement, année d'études et nationalité ; ressortissants de l'Union européenne : nature de l'établissement et nationalité ; étudiants français à l'étranger : par académie et échelon. En annexe : codes de formation (AGLAE).
La onzième édition de Géographie de l’école décrit les caractéristiques spatiales du système de formation français et s’efforce d’approfondir l’analyse des disparités territoriales au niveau infra-académique. Trente-cinq indicateurs, le plus souvent relatifs à l’année scolaire 2013-2014, sont actualisés, illustrés de nombreuses cartes ou graphiques et accompagnés de données détaillées au niveau local. Quatre études complètent ce panorama en proposant de caractériser précisément les territoires. L’ouvrage montre ainsi la diversité des contextes éducatifs et éclairent les évolutions enregistrées au cours de la dernière décennie.
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente sur une double page, au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.
L’atlas régional des effectifs étudiants présente une approche territorialisée des formations de l’enseignement supérieur français.
Organisé par région, il propose une vision à la fois synthétique et précise des territoires de l’enseignement supérieur : ses représentations cartographiques permettent une vision claire et globale de la répartition des effectifs et ses tableaux donnent le détail de ces effectifs par agglomération et commune selon les types de formation.
En 30 ans, l'espérance de scolarisation à 15 ans a fortement augmenté (de 4,7 ans à 6,5 ans) avant de se stabiliser avec la baisse des redoublements. Le niveau d'études s'est nettement élevé. À leur sortie des études, plus de quatre jeunes sur dix ont en poche un diplôme de l'enseignement supérieur, contre moins de deux sur dix il y a 30 ans. Moins de jeunes quittent l'école sans diplôme, mais cela reste fréquent, surtout dans les milieux défavorisés. La généralisation de l'accès au baccalauréat, dans tous les milieux sociaux, masque une grande hétérogénéité des types de baccalauréat obtenu, plus souvent professionnels en bas de l'échelle sociale et généraux en haut. Ces différences se retrouvent dans l'enseignement supérieur, avec des poursuites d'études courtes plus fréquentes (BTS-DUT) pour les jeunes moins favorisés. Pour les jeunes sans diplôme, l'insertion professionnelle est difficile. Fin 2010, à leur arrivée sur le marché du travail, près de la moitié d'entre eux se retrouve au chômage.
Les étudiants dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer n’ont jamais été aussi nombreux : près de 2 387 000 à la rentrée 2012. Leur nombre a continué à progresser (+ 1,5 %), en particulier grâce à un afflux de nouveaux bacheliers. L’augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé et les écoles d’ingénieurs. La diminution des effectifs amorcée il y a deux ans pour les instituts universitaires de technologie se confirme ; en revanche, le nombre d’entrants en classes préparatoires est en hausse. L’enseignement privé se renforce encore et représente plus d’un étudiant sur six. Les femmes demeurent plus souvent diplômées de l’enseignement supérieur que les hommes. Le nombre d’étudiants étrangers progresse très peu (+ 0,2 %) : les étudiants étrangers représentent un étudiant sur huit. Le nombre d’étudiants chinois continue sa progression : + 2 %. Plus des trois quarts des académies gagnent des étudiants.
France métro, France sans TOM : évolution des effectifs d'étudiants par type d'établissement, pour 1990-91, 1995-96 et de 2000-2001 à 2012-2013. Répartition par secteur : privé, public ; public sous tutelle du ministère de l'éducation depuis 2000-2001 ; effectifs de femmes : 1990-91, 1995-96 et de 2000 à 2012 ; effectifs d'étrangers : 2000 à 2012. Académies (France métropolitaine, DOM, COM) : évolution des étudiants par type d'établissement, de 2000-01 à 2012-2013. Effectifs dans les COM + Nouvelle-Calédonie : total par type d'établissement pour 1990-91 et de 2000-2001 à 2011-2012 : total dont femmes, dont étrangers, dont public. À partir de 2011-2012, Mayotte est comptée dans les DOM. Liste des sigles.
Tableaux de synthèse : bourses sur critères sociaux et aides au mérite : par académie, sexe et nature de l'établissement. Comparaison 2011-2012 et 2012-2013. Tableaux détaillés : boursiers sur critères sociaux : par origine socioprofessionnelle et échelon, par tranche de revenus et nombre de points de charge ; échelon. Ensemble des bourses : nature de l'établissement, année d'études et type de bourse. Sur critères sociaux : étudiants étrangers : nature de l'établissement, année d'études et nationalité ; ressortissants de l'Union européenne : nature de l'établissement et nationalité ; étudiants français à l'étranger : par académie et échelon. En annexe : codes de formation (AGLAE).
Publication annuelle de la direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance, RERS présente un vaste ensemble d’indicateurs statistiques. Déclinée en plus de 180 thématiques, cette information constitue une référence pour toute réflexion sur l’évolution du système d’enseignement et de recherche français.
Les étudiants dans l'enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer n'ont jamais été aussi nombreux : près de 2 350 000 à la rentrée 2011. Leur nombre a continué à progresser (+ 1,2 %), en particulier grâce à un afflux de nouveaux bacheliers. L'augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé et lesécoles d'ingénieurs. La diminution des effectifs amorcée l'an dernier pour les instituts universitaires de technologie et pour les entrants en classes préparatoires se confirme. L'enseignement privé se renforce encore et représente plus d'un étudiant sur six. Les femmes demeurent plus souvent diplômées de l'enseignement supérieur que les hommes. Le nombre d'étudiants étrangers progresse (+ 1,3 %) dans la même proportion que celui des étudiants français : les étudiants étrangers représentent un étudiant sur huit. Le nombre d'étudiants chinois est reparti légèrementà la hausse : + 2 %. Les trois quarts des académies gagnent des étudiants.