Gender equality has been a core principle of the European project since 1957. Championed both by European institutions and all Member States, gender equality has been enshrined in cross-cutting public policies and special measures to promote the emancipation, independence and freedom of women. This 9th European conference on gender equality in higher education and research provides a special opportunity to advance in this direction. This is why the Minister for Naitonal Education, Higher Education and Rearch wished to provide with a compilation of key figures regarding equality between the sexes in the field of higher education and research. The 35 key figures herein illustrate the situation concerning gender equality in EU countries in light of recent statistical data on students, graduates, staff (research professors, researchers, support staff, etc.) and on higher education and research governance bodies.
A travers 35 chiffres clés se trouve illustrée la situation de l’égalité femmes-hommes, dans les pays de l’Union européenne et en France, à la lumière de données statistiques récentes sur les étudiant.e.s, les diplômé.e.s, les personnels (enseignant.e.s-chercheur.e.s, chercheur.e.s, personnels de soutien...) et les instances de gouvernance de l’Enseignement supérieur et la Recherche.
Ces chiffres clés permettent de mesurer les progrès accomplis mais aussi le chemin qui reste à parcourir et les leviers à mobiliser. Ils constituent ainsi, pour toutes et tous, un éclairage précieux pour l’action que nous avons à conduire, chacun à notre niveau de responsabilité.
En 2015-2016, l’enseignement supérieur compte plus de 2 550 000 inscrits en France. Les effectifs d’étudiants croissent sans interruption depuis sept ans. Cette année, la hausse concerne toutes les filières mais à des degrés divers. Les inscriptions à l’université demeurent prédominantes. L’enseignement privé rassemble près d’un étudiant sur cinq. En un an, les inscriptions ont augmenté dans toutes les régions à l’exception de la Corse.
En 2014-2015, près de 141000 étudiants préparent un diplôme d’ingénieur habilité par le ministère de l'Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Près de 33000 diplômes ont été décernés en 2014, soit une augmentation de 22% en 10 ans.
Le diplôme d’ingénieur fait suite à cinq années d’études après le baccalauréat, dont les trois dernières en cycle d’ingénieur.
Les parcours sont variés : la moitié des entrants en première année de cycle d’ingénieur proviennent de CPGE et 21% d’un cycle préparatoire intégré. Les voies d’accès parallèles permettent de diversifier le recrutement des entrants en cycle ingénieur : 13% sont titulaires d’un DUT et 7% d’un BTS ou d’une licence.
Les femmes, bien que représentant presque la moitié des lauréats d’un baccalauréat scientifique, ne sont que 29% en école d’ingénieurs. Certaines universités et écoles d’ingénieurs proposent des masters LMD des domaines de l’ingénierie et du génie pouvant déboucher sur un emploi d’ingénieur. En 2014, 6300 étudiants de ces masters ont obtenu leur diplôme.
En 2015-2016, le nombre d'étudiants inscrits dans une formation d'ingénieur (hors formations d'ingénieur en partenariat) s'élève à 146 447. La hausse des effectifs par rapport à 2014-2015 atteint +4,0 %. Elle est particulièrement marquée dans les écoles privées (+6,2 %).
Sept étudiants sur dix sont formés dans des établissements publics, soit dépendant du M.E.N.E.S.R. ( 82 000 étudiants) soit sous tutelle d'autres ministères (20 000 étudiants).
Les écoles privées accueillent trois étudiants sur dix (44 000 étudiants).
En 2012-2013, dans la zone O.C.D.E., près de 3 millions d’étudiants sont scolarisés en dehors de leur pays d’origine. La mobilité internationale est estimée pour la première fois pour l’ensemble des pays de cette zone. La France est le quatrième pays d’accueil, avec 230 000 étudiants étrangers mobiles accueillis, derrière les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie. Les étudiants chinois représentent un quart des étudiants mobiles accueillis dans l’O.C.D.E., et l’ensemble des étudiants asiatiques en représentent la moitié.
La France se distingue par une forte proportion d’étudiants mobiles originaires d’Afrique (41 %).
La part d’étudiants mobiles augmente avec le niveau d’études, passant de 5 % dans les formations courtes à un quart en doctorat.
En France, cette part est de 40 % en doctorat.
Réciproquement, près de 72 000 étudiants français sont scolarisés dans un autre pays de l’O.C.D.E., dont 65 % dans un pays limitrophe. La France est le cinquième pays en termes de mobilité de ses étudiants, derrière la Chine, l’Inde, l’Allemagne et la Corée du Sud.
Cette note de synthèse présente un ensemble d'indicateurs relatifs aux vœux d'orientation dans l'enseignement supérieur pour la rentrée de l'année 2016-2017. Elle est accompagnée de la diffusion de ces mêmes indicateurs déclinés plus finement ou croisés par sexe, académie, série de baccalauréat, le cas échéant mention disciplinaire.
Les élèves préparant le baccalauréat et inscrits sur A.P.B. à la session 2016 ont émis en moyenne 7,6 vœux.
En premier vœu, 38,2% des candidats demandent une licence. Dans plusieurs mentions de licence demandées, la part des femmes atteint des proportions extrêmes (91,4% en sciences du langage, 10,3% en informatique). Pour les candidats de la série littéraire, la proportion dépasse 70%. Presque un élève de terminale sur cinq de la série scientifique (17,9%) demande une C.P.G.E. en premier vœu.
Les élèves préparant un bac professionnel (80,5%), mais aussi à un moindre degré les candidats des séries technologiques (49,4%), privilégient les S.T.S. en premier vœu. Les vœux de rang ultérieur reproduisent souvent les choix de filière du premier vœu.
En 2015-2016, le nombre d'étudiants inscrits à l'université est de 1 593 300 (+4,0 % par rapport à 2014-2015). Hors double inscriptions en C.P.G.E. ("hors C.P.G.E."), l'augmentation est ramenée à +2,4 % (+35 500 inscriptions). Les effectifs d'étudiants présentent des évolutions contrastées selon les groupes disciplinaires, en continuité par rapport à l'an passé. Un fort dynamisme continue d'être observé en 2015-2016 en sciences (+4,3 % hors C.P.G.E.) ainsi qu'en Arts, Lettres, Langues, SHS (+3,7 % hors. C.P.G.E.). En revanche, les effectifs varient peu en droit et en économie-gestion par rapport à l'an passé.
A la rentrée 2015, les effectifs en classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) sont de nouveau en hausse et atteignent quasiment les 86 000 étudiants. La filière scientifique concentre près des deux tiers des effectifs, filière dans laquelle les femmes représentent moins d’un tiers des inscrits. Les établissements publics accueillent 83 % des effectifs, contre 17 % pour les établissements privés.
Différents parcours permettent aux étudiants de se former en économie ou en gestion. Dès l’obtention du baccalauréat ou après deux années de classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE), ils peuvent intégrer un cursus à l’université, un IUT ou une école de commerce.
L’université, sur laquelle se concentre cette étude, propose des formations dans les filières des sciences de gestion, sciences économiques, administration économique et sociale (AES) et pluri sciences éco-gestion.
Cette variété renvoie à des contenus de formation et des débouchés différents. Pour ces différentes filières, la principale voie d’accès est toujours le bac ES.
Toutefois, généraliste et pluridisciplinaire, l’AES accueille une grande diversité de profils, et notamment des bacheliers technologiques et professionnels, tandis que la voie sciences économiques, à contenu théorique, attire les bacheliers S.
Au final, selon la filière, entre 30 % et 50 % des étudiants obtiennent leur licence en 3 ou 4 ans. Près du tiers des étudiants diplômés de licence poursuit en master. Selon la filière, de 46 % à 61 % d'étudiants de master sont diplômés en 2 ans.
A la rentrée 2015, les effectifs en sections de techniciens supérieurs (S.T.S.) sont en légère hausse et dépassent désormais les 256 000 étudiants en formation initiale (hors apprentissage). Les établissements sous tutelle du Ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche regroupent plus de 90 % des étudiants dans ces filières. Parmi les nouveaux entrants dans ces sections, les bacheliers technologiques sont les plus nombreux.
En 2015-2016, selon les prévisions effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat, des choix d’orientation observés les années précédentes et des premières informations disponibles sur l’année en cours, les effectifs étudiants augmenteraient de 1,6 % dans l’ensemble de l’enseignement supérieur. Ceci correspond à environ 40 000 étudiants supplémentaires en un an. Les flux d’entrée dans l’enseignement supérieur seraient légèrement supérieurs à ceux de l’an dernier, sous l’effet d’une augmentation du nombre de bacheliers dans les séries générales.
À l’horizon 2024, le nombre de bacheliers augmenterait significativement par rapport à 2014, sous l’effet principalement du dynamisme démographique. Si les tendances en termes d’orientation, de poursuite d’études et de démographie se prolongeaient, l’enseignement supérieur pourrait rassembler plus de 2,81 millions d’étudiants en 2024, soit 335 000 étudiants de plus qu’en 2014.
Le taux de réussite est stable en licence, avec 40 % d'étudiants diplômés en 3 ou 4 ans, ainsi qu'en DUT, pour lequel 3 étudiants sur 4 sont diplômés en 2 ou 3 ans. Le taux de réussite calculé, fortement corrélé au baccalauréat détenu, n'intègre pas les diplômes obtenus à l'issue de réorientations hors université. La réussite en Master est de 65 % en 2 ou 3 ans, en constante progression.
Cette note présente les principaux résultats de l’enquête sur les stages dans l’enseignement supérieur effectuée en 2015 et portant sur l’année universitaire 2013-2014. Elle concerne les étudiants en formation initiale, hors apprentissage et contrat de professionnalisation. Les trois premières éditions de l’enquête portaient uniquement sur les inscrits en université en cursus licence et master, en formations d’ingénieurs et en instituts universitaires de technologie. A partir de 2014, le champ a été élargi aux universités de technologie, aux formations d’ingénieurs rattachées aux universités, à Paris-Dauphine ainsi qu’aux instituts d’études politiques.
Les étudiants dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d’outremer n’ont jamais été aussi nombreux : 2 470 700 à la rentrée 2014. Leur nombre a continué à progresser (+ 1,6 % en un an, soit plus de 38 400 étudiants supplémentaires), en particulier à l’université (+ 2,1 % en un an).
En cinq ans, l’enseignement supérieur a accueilli plus de 150 000 nouveaux étudiants (+ 7 %). L’augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles d’ingénieur.
En revanche, les effectifs des écoles de commerce reconnues à diplôme visé se stabilisent après des années de forte augmentation.
Les effectifs en CPGE progressent modérément (+ 0,8 %). Les formations courtes (en instituts universitaires de technologie et sections de techniciens supérieurs) enregistrent des effectifs stables.
A la rentrée 2014, toutes les académies sauf deux gagnent des étudiants. L’enseignement privé représente un peu plus d’un étudiant sur six. Les femmes demeurent majoritaires parmi les étudiants. Les étudiants étrangers représentent un étudiant sur huit.
En 2014-2015, 1 531 300 étudiants sont inscrits dans les universités françaises. Ils étaient 1 499 600 en 2013-2014. Les effectifs augmentent de 2,1 %, une croissance un peu moins forte que celle observée l’an passé (+ 2,5 %).
En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 2,2 %) et en cursus master (+ 2,3 %) mais diminuent en cursus doctorat (-1,7 %).
Les inscriptions des nouveaux bacheliers à l’université sont très dynamiques (+ 2,9 %), même si cette hausse est partiellement imputable aux inscriptions parallèles en CPGE.
Les inscriptions progressent très vivement dans les disciplines scientifiques et sont aussi très dynamiques en sciences humaines et sociales.
Le nombre de nouveaux bacheliers technologiques augmente fortement en IUT (+ 7,0 %). La proportion d’étudiants étrangers à l’université se replie légèrement à 14,3 %, tout comme celle des étudiants étrangers non titulaires d’un baccalauréat français (11,0 %). La part des étudiants étrangers en cursus doctorat se maintient à 41,5 %.
En janvier 2014, environ 57 000 étudiants sont inscrits en première année commune aux études de santé (PACES). Mise en place à la rentrée universitaire 2010, elle regroupe désormais les quatre filières de médecine, odontologie, pharmacie et maïeutique.
Parmi les étudiants inscrits pour la première fois en PACES en 2010-2011 et ayant validé leur premier semestre, 37 % d’entre eux ont intégré une deuxième année d’études médicales en un ou deux ans. En raison, notamment, des réorientations plus fréquentes prévues par la réforme de la PACES pour les étudiants en difficulté dès la fin du premier semestre, ce taux est légèrement supérieur à celui de la génération précédente (2009-2010).
Si la réforme de la PACES n’a pas modifié les caractéristiques sociodémographiques des étudiants de première année, dont l’origine sociale est marquée par une surreprésentation des classes favorisées, elle a néanmoins une incidence sur les profils de ceux parvenant à intégrer l’une des quatre filières médicales, en particulier la maïeutique où les étudiants admis sont désormais presque exclusivement des femmes.
Interrogés sur leur situation à la rentrée 2013, 59 % des bacheliers entrés dans l’enseignement supérieur en 2008 sont titulaires d’un diplôme. Parallèlement, 24 % poursuivent des études sans être encore diplômés, du fait du cursus choisi ou d’un retard dans leur parcours. Enfin, 17 % ne sont pas diplômés et sont sortis de l’enseignement supérieur.
La moitié des bacheliers entrés en première année de licence ont obtenu leur diplôme. Si seuls trois étudiants sur dix entrés en PCEM ou PCEP sont inscrits en deuxième cycle, les réorientations réussies sont nombreuses dans les filières courtes, plus de la moitié des inscrits enIUT et 22 % des inscrits de S.T.S. ont obtenu un diplôme de niveau bac + 3. Après être entrés en CPGE, 84 % des étudiants sont inscrits dans une école de niveau bac + 5 ou en master. Parmi les bacheliers entrés dans des formations paramédicales et sociales ou des préparations à celles-ci, 45 % ont obtenu un diplôme. Seuls 10 % des étudiants entrés dans des écoles post-bac sont sortis sans diplôme.
Cette note de synthèse présente les principaux indicateurs sur le parcours et la réussite des étudiants à l’Université : taux de passage de L1 en L2 et de M1 en M2, taux d’obtention de la Licence, du Master et du DUT. Elle est accompagnée de la publication de ces indicateurs déclinés par université (voir encadré). Ces informations sont publiées pour la troisième année consécutive. Les résultats de la session 2014 devraient être disponibles au deuxième trimestre 2016.
L’atlas régional des effectifs étudiants présente une approche territorialisée des formations de l’enseignement supérieur français.
Organisé par région, il propose une vision à la fois synthétique et précise des territoires de l’enseignement supérieur : ses représentations cartographiques permettent une vision claire et globale de la répartition des effectifs et ses tableaux donnent le détail de ces effectifs par agglomération et commune selon les types de formation.
En 2014-2015, le nombre d’étudiants inscrits à l’université est de 1 518 100, soit une hausse de 1,2 % en un an. Les effectifs sont en hausse dans les cursus licence (+ 1,2 %) et master (+1,6 %), et diminuent en cursus doctorat (-2,4 %).
À la rentrée 2014, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d’orientation observés les années précédentes, les effectifs étudiants augmenteraient de 1,6 % dans l’ensemble de l’enseignement supérieur. Les flux d’entrée dans le supérieur seraient également plus élevés que ceux de l’an dernier, sous l’effet d’un surcroît important de bacheliers professionnels et d’une légère remontée des taux de poursuite d’études des bacheliers généraux et technologiques.
À l’horizon 2023, le nombre de bacheliers augmenterait significativement pour toutes
les séries par rapport à 2013, en raison principalement du dynamisme démographique.
La mise en place de l’orientation prioritaire a permis d’augmenter le taux de poursuite et les effectifs des bacheliers professionnels en STS, et des bacheliers des séries technologiques en IUT.
Si les tendances en termes d’orientation, de poursuite d’études et de démographie se prolongeaient, les effectifs étudiants augmenteraient de 9 % entre 2013 et 2023.
En 2013-2014, 1 505 600 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d’outre-mer et l’université de Lorraine).
Ils étaient 1 468 300 en 2012-2013.
Les effectifs augmentent de 2,5 %.
En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 2,5 %) et en cursus master (+ 3,0%), mais ils diminuent en cursus doctorat (-1,2 %).
Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université est très dynamique (+4,5%).
Dans les disciplines de santé, ils sont en forte hausse (+ 7,6 %).
Les bacheliers généraux sont plus nombreux dans les disciplines générales (+7,0 %), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques augmente fortement en IUT (+13,5 %) et les bacheliers professionnels se dirigent légèrement moins vers l’université.
Le nombre d’étudiants étrangers à l’université est en hausse de 0,9 % : leur part atteint 14,5 %. Elle reste stable en cursus doctorat (41,4 %).
Tableaux de synthèse : bourses sur critères sociaux et aides au mérite : par académie, sexe et nature de l'établissement. Comparaison 2012-2013 et 2013-2014. Tableaux détaillés : boursiers sur critères sociaux : par origine socioprofessionnelle et échelon, par tranche de revenus et nombre de points de charge ; échelon. Ensemble des bourses : nature de l'établissement, année d'études et type de bourse. Sur critères sociaux : étudiants étrangers : nature de l'établissement, année d'études et nationalité ; ressortissants de l'Union européenne : nature de l'établissement et nationalité ; étudiants français à l'étranger : par académie et échelon. En annexe : codes de formation (AGLAE).
Cette note de synthèse présente les principaux indicateurs sur le parcours et la réussite des étudiants à l’Université : taux de passage de L1 en L2 et de M1 en M2, attractivité des M1 et M2, taux d’obtention de la Licence, du Master et du DUT.
Elle est accompagnée de la publication de ces indicateurs déclinés par université. Ces informations, publiées pour la deuxième année consécutive, ont vocation à être diffusées chaque année. Les résultats de la session 2013 devraient être disponibles en février 2015.
Un quart des bacheliers 2008 déclarent avoir rencontré des difficultés financières au cours de leur première année d’études supérieures. La proportion est plus élevée parmi les étudiants boursiers. Pour autant, certains étudiants qui ne perçoivent ni aide financière de leur famille ni bourse déclarent moins souvent de difficultés financières parce qu’ils logent chez leurs parents. Un score de difficultés financières est donc estimé pour chaque étudiant en fonction de ses caractéristiques sociales, ressources et conditions de logement. Au-delà des inégalités de niveau scolaire, les difficultés financières estimées pèsent sur les choix d’orientation post-bac, la réussite en première année et la probabilité d’obtenir rapidement un diplôme.
À niveau scolaire équivalent, les étudiants les plus en difficulté financière échouent plus souvent que les autres. La perception d’une allocation d’études réduit alors significativement ce risque d’échec.
32% des 990 000 étudiants inscrits en formation initiale en licence, master, formations d’ingénieurs et instituts universitaires de technologie (hors formations des enseignants, instituts d’études politiques et universités de technologie) dans les universités françaises ont suivi un stage en 2011-2012.
Cette proportion est stable par rapport à l’année précédente. Elle augmente à mesure que l’on progresse dans les cursus. Les stages sont courants dans les formations professionnalisantes et se développent dans les formations générales, notamment en deuxième et en troisième années de licence générale.
Si la grande majorité des stages se déroulent dans la région de l’université, près d’un sur dix a lieu à l’étranger. 63 % des stages durent deux mois ou plus. La moitié des stages sont gratifiés. Parmi eux, un étudiant sur cinq reçoit une gratification se situant au dessus de 600 euros mensuels.
En 2013-2014, selon les données provisoires, le nombre d’étudiants inscrits à l’université est de 1 498 200, soit une hausse de 2,4 %. Les effectifs sont en hausse dans les cursus licence (+ 2,5 %) et master (+ 2,8 %), et diminuent, au même rythme que l’année précédente, en cursus doctorat (- 1,3 %).
L’atlas régional des effectifs étudiants présente une approche territorialisée des formations de l’enseignement supérieur français.
Organisé par région, il propose une vision à la fois synthétique et précise des territoires de l’enseignement supérieur : ses représentations cartographiques permettent une vision claire et globale de la répartition des effectifs et ses tableaux donnent le détail de ces effectifs par agglomération et commune selon les types de formation.
Parmi les bacheliers 2008 qui ont poursuivi des études supérieures en France métropolitaine, 68 % sont encore dans l’enseignement supérieur la quatrième année après le baccalauréat, dont 30 % avec déjà un diplôme du supérieur. 32 % ne sont plus dans l’enseignement supérieur, dont 14 % en sont sortis sans diplôme. Au total, près de la moitié des bacheliers 2008 entrés dans l’enseignement supérieur avaient déjà obtenu un diplôme du supérieur au bout de trois ans. 35 % des inscrits en première année de licence en 2008 ont obtenu une licence au bout de trois ans et 28 % sont en master. Dans les fi lières courtes, 7 étudiants d’IUT sur 10 obtiennent leur diplôme au bout de deux ans, et 6 étudiants de STS sur 10. La quatrième année, plus de 7 étudiants de CPGE sur 10 sont inscrits dans une école de niveau bac + 5, les élèves des classes littéraires se tournant davantage vers l’université. La part des poursuites dans des écoles post-bac et des formations paramédicales est en forte hausse depuis dix ans.
Les étudiants dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer n’ont jamais été aussi nombreux : près de 2 387 000 à la rentrée 2012. Leur nombre a continué à progresser (+ 1,5 %), en particulier grâce à un afflux de nouveaux bacheliers. L’augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé et les écoles d’ingénieurs. La diminution des effectifs amorcée il y a deux ans pour les instituts universitaires de technologie se confirme ; en revanche, le nombre d’entrants en classes préparatoires est en hausse. L’enseignement privé se renforce encore et représente plus d’un étudiant sur six. Les femmes demeurent plus souvent diplômées de l’enseignement supérieur que les hommes. Le nombre d’étudiants étrangers progresse très peu (+ 0,2 %) : les étudiants étrangers représentent un étudiant sur huit. Le nombre d’étudiants chinois continue sa progression : + 2 %. Plus des trois quarts des académies gagnent des étudiants.
En 2012-2013, 1 468 300 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d’outre-mer et l’université de Lorraine). Ils étaient 1 456 100 en 2011-2012. Les effectifs augmentent de 0,8 %.
Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université augmente dans les filières générales (+ 2,3 %).
Ils se dirigent davantage vers les filières de sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) ainsi que vers les sciences économiques. Dans les disciplines de santé, le nombre de nouveaux bacheliers est en forte hausse (+ 7,4 %).
Les doctorants sont moins nombreux à la rentrée 2012 qu’en 2011 et le nombre d’étudiants en cursus master augmente de 1,5 %.
En I.U.T., les effectifs diminuent faiblement. Le nombre d’étudiants étrangers à l’université est en baisse de 1,8 % : leur part est à 14,8 % et reste stable en cursus doctorat (41,4 %).
Tableaux de synthèse : bourses sur critères sociaux et aides au mérite : par académie, sexe et nature de l'établissement. Comparaison 2011-2012 et 2012-2013. Tableaux détaillés : boursiers sur critères sociaux : par origine socioprofessionnelle et échelon, par tranche de revenus et nombre de points de charge ; échelon. Ensemble des bourses : nature de l'établissement, année d'études et type de bourse. Sur critères sociaux : étudiants étrangers : nature de l'établissement, année d'études et nationalité ; ressortissants de l'Union européenne : nature de l'établissement et nationalité ; étudiants français à l'étranger : par académie et échelon. En annexe : codes de formation (AGLAE).
Le parcours des étudiants en premier cycle est ponctué de réorientations et de redoublements. Ainsi, seul un étudiant sur deux passe directement en deuxième année de licence (un sur quatre redouble et un sur quatre se réoriente ou abandonne ses études supérieures), alors que parmi ceux qui parviennent en troisième année de licence générale, près de sept étudiants sur dix obtiennent le diplôme en un an (neuf sur dix en licence professionnelle). En DUT, le passage en seconde année est élevé : il concerne sept étudiants sur dix. Le taux de réussite en seconde année l’est également : près de neuf étudiants sur dix ont obtenu leur diplôme à la session 2011. En STS, le taux de passage en seconde année est de 85 %. À la session 2011, le taux de réussite au BTS est de 72 % et augmente de deux points par rapport à 2010. Ces taux varient selon les caractéristiques des étudiants et l’établissement dans lequel ils effectuent leurs études. Mais au final, si l’on retient comme définition de l’échec en premier cycle le fait d’être sorti de l’enseignement supérieur sans diplôme, alors le taux d’échec en France est de l’ordre de 19 %, soit dix points de moins que la moyenne de l'OCDE.
À la rentrée 2013, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d’orientation observés les années précédentes, les effectifs étudiants augmenteraient de 1,5 % dans l’ensemble de l’enseignement supérieur.
Les flux d’entrée dans le supérieur seraient par contre du même niveau que l’an dernier, alors que le nombre de bacheliers a diminué à la session 2013. À l’horizon 2022, le nombre de bacheliers généraux augmenterait de 12,9 % par rapport à 2012, tandis que les effectifs de bacheliers technologiques diminueraient de 3,2 %. Les effectifs de bacheliers professionnels connaîtraient un réajustement après le pic conjoncturel de 2012 (- 8,6 % entre 2012 et 2022), mais resteraient supérieurs aux effectifs de 2011 (+ 12,2 %). Suite à cet afflux de bacheliers généraux, si les tendances en termes d’orientation et de poursuite d’études se prolongeaient, les effectifs étudiants augmenteraient de 8 % à l’université entre 2012 et 2022, 12,3 % en CPGE, 4,1 % en IUT et 0,1 % en STS. L’enseignement supérieur pourrait ainsi rassembler près de 2,6 millions d’étudiants en 2022, soit 200 000 de plus qu’à la rentrée 2012.
Durant l’année universitaire 2011-2012, plus de 91 000 enseignants (personnes physiques) ont été en fonction dans les établissements publics d’enseignement supérieur relevant du seul ministre chargé de l’enseignement supérieur (ces effectifs seraient de près de 97 000 en incorporant l’ensemble des doctorants contractuels, y compris ceux qui n’assurent pas des fonctions d’enseignement). Cette population progresse constamment, avec 500 personnes de plus que l’année précédente, soit + 0,6 %. Parmi ces enseignants, 56 500 appartiennent aux corps des enseignants-chercheurs – y compris les corps à statuts spécifiques – dont les effectifs ont progressé de 7,4 % en dix ans. 13 100 enseignants du second degré et 21 500 enseignants non permanents participent à cet encadrement universitaire.
Les écoles d’ingénieurs préparent à un large éventail de formations (diplôme d’ingénieur, master, doctorat...). Réparties sur l’ensemble du territoire, elles rassemblent 166 000 élèves, dont 130 000 préparent un diplôme d’ingénieur habilité par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Leurs effectifs ont doublé en vingt ans.
27 % des étudiants entrants en première année de licence (L1) obtiennent leur licence trois ans plus tard et 12 % des étudiants ont besoin d’une année supplémentaire pour valider leur diplôme. L’âge d’obtention du baccalauréat et surtout la série du baccalauréat sont les variables qui influent le plus sur la réussite en licence .
Les étudiants dans l'enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer n'ont jamais été aussi nombreux : près de 2 350 000 à la rentrée 2011. Leur nombre a continué à progresser (+ 1,2 %), en particulier grâce à un afflux de nouveaux bacheliers. L'augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé et lesécoles d'ingénieurs. La diminution des effectifs amorcée l'an dernier pour les instituts universitaires de technologie et pour les entrants en classes préparatoires se confirme. L'enseignement privé se renforce encore et représente plus d'un étudiant sur six. Les femmes demeurent plus souvent diplômées de l'enseignement supérieur que les hommes. Le nombre d'étudiants étrangers progresse (+ 1,3 %) dans la même proportion que celui des étudiants français : les étudiants étrangers représentent un étudiant sur huit. Le nombre d'étudiants chinois est reparti légèrementà la hausse : + 2 %. Les trois quarts des académies gagnent des étudiants.
En 2011-2012, 1 406 000 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y comprisles universités d’outre-mer). Ils étaient 1 455 000 en 2010-2011. La diminution provient de la création du grand établissement "Université de Lorraine" qui n’entre plus stricto sensu dans le champ "universités". À champ constant, les effectifs augmentent de 0,8 %. Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université augmente dans les filières générales (+ 2,8 %) . Ils se dirigent davantage vers les filières de sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) ainsi que vers les sciences économiques et l’administration économique et sociale. Dans les disciplines de santé, le nombre de nouveaux bacheliers est en baisse de 2,7 %. Les doctorants sont moins nombreux à la rentrée 2011 qu’en 2010 et le nombre d’étudiants en cursus master reste stable. En IUT , les effectifs diminuent faiblement. Le nombre d’étudiants étrangers à l’université est stable : leur part reste à 15,2 %, et à 41,3 % en cursus doctorat.
À la rentrée 2012, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d'orientation observés les années précédentes, les effectifs étudiants augmenteraient de 1,5 % dans l'ensemble de l'enseignement supérieur. Les flux d'entrée dans le supérieur seraient plus importants. Cette hausse serait notamment liée à un nouvel afflux de bacheliers professionnels lors de la session 2012 du baccalauréat . À l'horizon 2021, le nombre de bacheliers généraux augmenterait de 12,1 % par rapport à 2011, tandis que les effectifs de bacheliers technologiques diminueraient de 9,6 %. Les effectifs de bacheliers professionnels connaîtraient un réajustement après le pic conjoncturel de 2012 (- 9,5 % entre 2012 et 2021), mais resteraient supérieurs aux effectifs de 2011 (+ 9,7 %). Suite à cet afflux de bacheliers généraux, si les tendances en termes d'orientation et de poursuite d'études se prolongeaient, les effectifs étudiants augmenteraient de 11 % à l'université entre 2011 et 2021, 9,5 % en CPGE et 4,5 % en IUT. La hausse en STS serait plus modérée (3,1%).
L'évolution des orientations prises par les bacheliers S se caractérise principalement par une dispersion croissante de leurs choix : en 2008, seuls 21 % s'inscrivent en licence, alors que c'était le cas de 35 % d'entre eux il y a dix ans. Cette baisse n'affecte cependant que les licences de sciences, et plus généralement les bacheliers S se dirigent de moins en moins vers les formations scientifi ques traditionnelles. Dans le même temps, ils vont de plus en plus souvent en médecine (ou pharmacie) ou dans les écoles recrutant après le baccalauréat dans des domaines très variés. Ces évolutions concernent tous les lauréats de la série S, quelle que soit leur spécialité ou leur mention. Trois ans plus tard, les bacheliers S sont plus nombreux en licence, en particulier de sciences, où ils poursuivent leurs études après être passés par un IUT , une classe préparatoire ou un premier cycle d'études médicales. Mais 36 % se retrouvent dans des écoles, d'ingénieurs ou paramédicales principalement.
Huit bacheliers sur dix entrant en première année de licence (L1) déclarent être dans une formation qui correspond à ce qu’ils souhaitaient faire comme études en fin de terminale. Pourtant, 38 % n’avaient pas placé cette formation en tête de leur choix d’orientation. Certains ont été acceptés dans une formation autre que leur licence actuelle sans pour autant s’y inscrire ; les autres (25 % de l’ensemble) peuvent être considérés comme s’étant inscrits en L1 "par défaut" . Ces inscrits sont moins satisfaits de leur orientation et du fonctionnement d’Admission Post-Bac (APB), et ont moins souvent bénéfi cié de certaines mesures du Plan Réussite en Licence. La satisfaction à l’égard de l’information sur l’orientation trouvée avant d’entrer à l’université continue à croître, Internet devenant la source d’information la plus citée. Les trois quarts des primo-inscrits en L1 souhaitent poursuivre leurs études dans leur licence, et plus de la moitié jusqu’au master. De moins en moins d’étudiants souhaitent devenir enseignants (31 % contre 45 % en 2006).
La réforme de la voie professionnelle augmente considérablement les effectifs de bacheliers professionnels. Bien que ce baccalauréat ait d’abord vocation à préparer les jeunes à une insertion professionnelle immédiate, leur nombre dans l’enseignement supérieur progresse également, aussi bien sous statut scolaire que par alternance. 42 % des lauréats poursuivent leurs études à l’issue du baccalauréat . Ils s’inscrivent très majoritairement en sections de techniciens supérieurs, où ils obtiennent des résultats mitigés : près de la moitié d’entre eux obtiennent leur diplôme. Lorsqu’ils rejoignent les formations générales à l’Université, ils sont très peu nombreux à y obtenir leur licence. Un quart d’entre eux ont arrêté leurs études un an après leur inscription en première année de licence.
À la rentrée 2011, 79 800 étudiants sont inscrits en classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE), effectif en hausse de 0,7 % par rapport à l'année précédente. Les effectifs augmentent dans les trois filières : scientifique (+ 0,2 %), économique et commerciale (+ 0,6 %) et littéraire (+ 3,1 %) . Les CPGE recrutent majoritairement des bacheliers généraux (95 %). Les bacheliers technologiques sont de plus en plus nombreux et leur part augmente depuis 2001, en particulier dans la filière économique où ils représentent 10 % des bacheliers nouvellement inscrits. La part des femmes croît légèrement depuis 2001, mais la parité n'est toujours pas atteinte (42 %). Cependant, la part des femmes est différente selon la filière : moins d'un tiers des étudiants en formation scientifique sont des femmes, alors qu'elles sont 74 % en lettres. 50 % des préparationnaires sont issus d'un milieu très favorisé et un peu plus d'un quart sont boursiers.
L’Atlas régional 2012 reflète la diversité du système français d’enseignement supérieur. Il présente, sous forme de cartes, de graphiques et de tableaux, la répartition des étudiants sur le territoire français, par filières, par grands secteurs disciplinaires ou par cycles d’étude. Il donne aussi le détail de ces effectifs par agglomération selon les types de formation. Cet atlas est un outil indispensable pour une bonne appréhension de la structuration territoriale de l’enseignement supérieur et pour l’élaboration de stratégies territoriales.
En 2010-2011, 1 440 000 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d'outre-mer). Le nombre de nouveaux bacheliers s'inscrivant à l'université augmente dans les filières générales (+ 0,9 %). Ils se dirigent davantage vers les filières de sciences et techniques des activités physiques et sportives ( STAPS), sciences et lettres. En revanche, ils sont moins nombreux à se diriger vers les filières de droit et d'économie. Dans les disciplines de santé, dont la première année commune aux études de santé a été nouvellement mise en place à la rentrée 2010, le nombre de nouveaux bacheliers est en baisse de 4,1 %. Les doctorants sont moins nombreux à la rentrée 2010 qu'en 2009 et le nombre d'étudiants en cursus master stagne. En IUT , les effectifs baissent de 1,4 %. Ils s'étaient stabilisés l'an dernier après trois années de hausse. Les étudiants étrangers à l'université sont plus nombreux que les années précédentes et leur part atteint 15,2 %. En cursus doctorat, ils représentent 41,3 % de la population étudiante.
Les étudiants dans l'enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer n'ont jamais été aussi nombreux : 2 318 700 à la rentrée 2010. Leur nombre a légèrement progressé (+ 0,2 %), après la hausse particulièrement marquée de 2009 (+ 3,6 %). L'augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé. En revanche, contrairement aux dernières années, les effectifs diminuent pour les instituts universitaires de technologie et pour les classes préparatoires. L'enseignement privé se renforce encore et représente plus d'un étudiant sur six. Les femmes demeurent plus souvent diplômées de l'enseignement supérieur que les hommes. Le nombre d'étudiants étrangers progresse (+ 2,3 %), alors que celui des étudiants français diminue (- 0,1 %) : les étudiants étrangers représentent 12,3 % des étudiants. La forte progression des Chinois s'interrompt : elle n'est plus que de 0,2 %. Moins de la moitié des académies gagne des étudiants.
À la rentrée 2011, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d'orientation observés les années précédentes, les effectifs étudiants augmenteraient de 1,7 % dans l'ensemble de l'enseignement supérieur. Les flux d'entrée dans le supérieur seraient plus importants suite à l'augmentation du nombre de bacheliers lors de la session 2011 et la plus grande propension des bacheliers généraux et technologiques à poursuivre leurs études à l'université. À l'horizon 2020, les nombres de bacheliers généraux et technologiques augmenteraient de 2,3 % par rapport à 2010. La réforme du baccalauréat professionnel en trois ans, mise en place depuis la rentrée 2009, serait susceptible de provoquer une forte croissance du nombre de bacheliers professionnels (+ 70 000). Suite à cet afflux de bacheliers, si les tendances en termes d'orientation et de poursuite d'études se prolongeaient, les effectifs étudiants augmenteraient de 10,1 % à l'université entre 2010 et 2020, 1,2 % en IUT et 7,4 % en CPGE. Les bacheliers professionnels poursuivant surtout en STS, les effectifs de cette filière augmenteraient de 6,8 % entre 2010 et 2020.
En 2007-2008, 3,3 millions d'étudiants suivent une formation hors de leur pays d'origine dont 2,7 dans un pays de l' OCDE Leur nombre a quadruplé en trente ans et les pays de destination sont de plus en plus diversifiés. La France est la troisième destination d'accueil de ces étudiants , à égalité avec l'Allemagne. Dans la zone OCDE, près de la moitié des étudiants étrangers sont originaires d'Asie ; 18 % sont de nationalité chinoise. L'origine des étudiants étrangers varie d'un pays à l'autre, elle est liée à des facteurs géographiques, historiques, économiques et linguistiques. La proportion d'étudiants étrangers augmente avec le niveau d'études, environ 6 % pour les cursus professionnalisants courts et 21 % pour le niveau doctorat. Enfin, un peu plus de 62 000 étudiants français sont scolarisés à l'étranger ; ils choisissent principalement un pays limitrophe.
Un étudiant sur quinze, en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer, suit une formation artistique, culturelle ou de communication, soit 155 000 étudiants en 2009. Ils sont principalement inscrits dans les formations artistiques ou culturelles (113 000). Très variées, ces formations sont fortement féminisées, plus souvent proposées dans un établissement d’enseignement privé que l’ensemble de l’enseignement supérieur et fortement concentrées à Paris . Le poids de l’université dans ce secteur a diminué en dix ans. Les cursus licence et doctorat sont davantage représentés que dans les autres formations universitaires. En plein essor, les formations de communication sont essentiellement universitaires (79,6 %) et elles sont très fortement féminisées.
À la rentrée 2009, huit bacheliers 2008 sur dix sont toujours scolarisés dans l'enseignement supérieur et la très grande majorité poursuivent dans la même voie. La réussite dans les filières courtes est élevée : neuf sur dix de ceux qui s'étaient inscrits en STS ou IUT continuent l'année suivante. Mais un quart de ceux qui étaient entrés en classe préparatoire ou en licence après leur baccalauréat ne s'y réinscrit pas. 52 % des étudiants en licence passent en deuxième année ; l'issue de la première année varie sensiblement selon le parcours antérieur des bacheliers et leur motivation à l'entrée à l'université. Ainsi, les taux de passage sont beaucoup plus élevés lorsqu'ils ont eu une mention ou ont fait le choix de leur formation. La deuxième année, les étudiants ressentent moins de difficultés à s'organiser et se disent plus satisfaits de leurs études, en particulier à l'université. Mais la plupart s'estiment mal informés sur leurs possibilités de réorientation et de poursuite d'études.
En janvier 2010, 49 050 étudiants sont inscrits en première année de médecine (PCEM1), dont 29 240 bacheliers de la session 2009. La quasi-totalité d'entre eux sont titulaires d'un baccalauréat scientifique et près des deux tiers sont des femmes. Le plus souvent « à l'heure » ou en avance dans leurs études, ils sont majoritairement issus de milieux sociaux favorisés ou très favorisés. Si leur réussite est similaire à celle des bacheliers entrés en 2007, 26,4 % des bacheliers de 2009 entrés en PCEM1 accéderont à la deuxième année de médecine (11,2 % après un an et 15,2 % après deux ans), 3,6 % aux études d'odontologie et 3,1 % aux études de sage-femme. Finalement, un tiers (33,1 %) des étudiants inscrits en PCEM1 poursuivront dans des études médicales (PCEM2, odontologie ou sage-femme).
Les écoles d'ingénieurs préparent à un large éventail de formations (diplôme d'ingénieur, master, mastère spécialisé, doctorat...). Elles rassemblent 150 000 élèves , dont 119 200 préparent un diplôme d'ingénieur habilité parle ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche après avis ou décision de la Commission des titres d'ingénieur (CTI). 60 % des futurs ingénieurs sont formés par des écoles sous tutelle du MESR. Le diplôme d'ingénieur fait suite à cinq années d'études après le baccalauréat mais les parcours pour l'obtenir sont diversifiés. La durée des formations dans les écoles varie de trois à cinq ans en fonction du niveau d'entrée de l'étudiant. Si la voie d'intégration des écoles d'ingénieurs la plus fréquente reste celle des classes préparatoires aux grandes écoles, les admissions sur titre s'effectuent à tous les niveaux. 70 % des élèves inscrits en première année d'école post baccalauréat sont des bacheliers de l'année, essentiellement des bacheliers scientifiques. Bien que les filles restent minoritaires, leur part ne cesse de progresser et domine dans les formations de l'agriculture et des sciences appliquées. Plus de 28 000 diplômes ont été décernés en 2009.
En vingt ans, les effectifs des écoles d'ingénieurs ont plus que doublé. De 52 000 à la rentrée 1988, 108 000 élèves sont inscrits dans une formation d'ingénieurs en 2008. La croissance des effectifs a concerné toutes les académies, néanmoins la hausse n'a pas été de même ampleur partout. Pendant la même période, les effectifs féminins ont triplé. En 2008, les femmes représentent 27 % des inscrits en formation d'ingénieurs. La progression du nombre d'étudiants étrangers y est supérieure à celle des étudiants français (ils représentent 57 % de la croissance totale des effectifs entre 2003 et 2008). Les élèves de nationalité étrangère sont plus souvent présents dans ces écoles que dans l'ensemble de l'enseignement supérieur (13,4 % contre 11,9 % en 2008). Les élèves-ingénieurs restent très largement originaires de milieux de cadres et professions intellectuelles supérieures (55 % d'entre eux en sont issus). Inversement, les enfants d'ouvriers ou d'employés sont peu présents dans ces formations (16 %).
Les sections de techniciens supérieurs (STS) relèvent de l'enseignement supérieur court professionnalisant et rassemblent 223 700 étudiants (hors établissements sous tutelle du ministère en charge de l'agriculture) en formation initiale et sous statut scolaire. Ces sections recrutent après le baccalauréat et proposent théoriquement deux années de formation en vue d'obtenir le brevet de technicien supérieur (BTS). La rentrée 2010 se caractérise par une hausse légère des effectifs dans les spécialités de la production et dans les domaines des services. Le secteur des services est le plus attractif pour les étudiants poursuivant leurs études en STS, mais la proportion des inscrits dans ce secteur stagne depuis 2008. La part des femmes en STS reste stable, quel que soit le secteur de formation. Le nombre de bacheliers technologiques continue de diminuer en STS, mais représente toujours plus de la moitié (56 %) de l'effectif global ; le nombre de bacheliers généraux baisse pour la première fois depuis 2005. En revanche, le nombre de titulaires d'un baccalauréat professionnel croît de 2,8 % à la rentrée 2010.
Cet atlas 2009-2010 présente les effectifs d’étudiants inscrits dans les établissements et les formations de l’enseignement supérieur, recensés dans les systèmes d’information et enquêtes du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et de la vie associative, des ministères en charge de l’Agriculture, de la Pêche, de la Santé et des Sports. L’unité géographique utilisée dans cet ouvrage est l’unité urbaine, que l’on peut assimiler à l’agglomération ; pour l’Île-de-France et les Collectivités d’outre-mer, l’unité géographique retenue est la commune.
En 2009-2010, 87 800 étudiants suivent une formation dans l'une des 84 écoles de management reconnues et habilitées à délivrer un diplôme visé, soit une hausse de 18,6 % par rapport à la rentrée 2008. Les nouveaux inscrits viennent soit d'obtenir le baccalauréat et se dirigent vers les écoles recrutant au niveau baccalauréat ; soit de classes préparatoires aux grandes écoles, de l'université, de STS ou d'IUT et s'orientent vers les écoles recrutant au niveau bac + 2. Les hommes sont légèrement majoritaires,mais la proportion de femmes ne cesse d'augmenter. Les étudiants étrangers sont de plus en plus nombreux à suivre un cursus dans une école de commerce et de gestion.Commeles étudiantes, les étrangers sont moins présents dans le cycle de formation principale et davantage représentés dans le master of business administration (MBA).
Les étudiants dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départementsd’outre-mer n’ont jamais été aussi nombreux : 2 316 000 à la rentrée 2009. Leur nombre a très fortement progressé (+ 3,7 %), soit la plus forte hausse depuis 1993.
Les premières inscriptions à l’université augmentent davantage que les bacheliers de l’année. La hausse des effectifs étudiants concerne presque toutes les formations, sauf les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM). Elle est particulièrement nette pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé.
L’enseignement privé se renforce et les femmes sont plus souvent diplômées de l’enseignement supérieur que les hommes. Toutes les académies gagnent des étudiants, sauf celle de Dijon qui conserve son niveau de 2008. Le nombre d’étudiants étrangers (+ 4,8 %) progresse davantage que celui des étudiants français (+ 3,5 %) : ils représentent 12,0 % des étudiants. Les Chinois progressent toujours très rapidement et constituent le deuxième contingent d’étudiants étrangers, après les Marocains.
À la rentrée 2010, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d'orientation observés les années précédentes, les effectifs d'étudiants augmenteraient de 1,4 % dans l'ensemble de l'enseignement supérieur. Pour la rentrée 2010, on constate une poursuite d'études en hausse en santé et en droit, une diminution des inscriptions en première année à l'université, mais, tous cursus confondus, une hausse d'effectifs à l'université (hors IUT). À l'horizon 2019, on prévoit 20 000 entrées supplémentaires dans les quatre principales filières : universités, STS, CPGE, formations d'ingénieurs non universitaires. En encadré : principales hypothèses retenues pour les prévisions.
En 2009-2010, 1 450 000 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d’outre-mer). Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université augmente dans les filières générales (+ 3,5 %). Ils se dirigent en particulier davantage vers les filières de droit, sciences économiques et en sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS).
En revanche, les doctorants sont moins nombreux à la rentrée 2009 qu’en 2008. Les étudiants étrangers à l’université sont plus nombreux que les années précédentes et leur part atteint 15,5 %.
En cursus doctorat, ils représentent 41,0 % de la population étudiante. En IUT, les effectifs se stabilisent après trois années de hausse.
Ceux des IUFM intégrés aux universités continuent de baisser de 6,5 %.
Au cours des dix dernières années, on constate une diminution des inscriptions des nouveaux bacheliers en licence, au profit d'écoles recrutant directement après le baccalauréat. Les bacheliers généraux sans mention sont les plus nombreux à se diriger vers ces écoles, mais ils interrompent davantage leurs études. Les bacheliers technologiques s'inscrivent moins à l'université, mais aussi en STS. Neuf nouveaux bacheliers sur dix ont eu l'orientation qu'ils voulaient ; par contre, un nouvel étudiant sur trois se dit peu intéressé par les matières étudiées. En encadrés : le rôle croissant d'internet dans l'information pour le choix de l'orientation ; source : les panels de bacheliers.
Cet atlas 2010 présente les effectifs d’étudiants inscrits en 2008-2009 dans les établissements et les formations de l’enseignement supérieur, recensés dans les systèmes d’information et enquêtes du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, du ministère de l’Éducation nationale, des ministères en charge de l’Agriculture, de la Pêche, de la Santé et des Sports. L’unité géographique utilisée dans cet ouvrage est l’unité urbaine, que l’on peut assimiler à l’agglomération ; pour l’Île-de-France et les Collectivités d’outre-mer, l’unité géographique retenue est la commune.
A la rentrée 2009, les sections de techniciens supérieurs ont accueilli près de 222 000 étudiants. On constate une hausse des effectifs dans les spécialités de la production et dans les domaines des services. La part des bacheliers technologiques diminue, mais le nombre de titulaires d'un baccalauréat professionnel ne cesse d'augmenter : 84 % de ces bacheliers professionnels passent en 2ème année. En encadré : sources et définitions.
En 2008, 78,2 % des nouveaux bacheliers sont accueillis dans l'enseignement supérieur. Les filières générales de l'université accueillent essentiellement des bacheliers généraux : droit, sciences économiques, AES pour les bacheliers économiques ; lettres, langues, sciences humaines, art, pour les bacheliers littéraires ; sciences, STAPS, disciplines médicales pour les bacheliers scientifiques. Les IUT accueillent des bacheliers généraux à 68,5 %, tandis que les bacheliers technologiques se dirigent plutôt vers les STS. Les classes préparatoires accueillent essentiellement des bacheliers généraux. Pour les écoles de commerce, plus d'un bachelier sur deux est titulaire d'un baccalauréat économique. En encadrés : l'ouverture des filières aux différentes séries de baccalauréat ; sources et champ.
En 2008, le nombre d'étudiants étrangers dans l'enseignement supérieur a augmenté de 2,3 % ; leur part est de 11,9 %. Plus du tiers d'entre eux étudie dans une académie francilienne. Le tableau 1 présente, par type d'établissement, les effectifs et le poids des étrangers en 1998-99, en 2003-2004 et en 2008-2009 ; le tableau 2 donne leur répartition par nationalité et formation. La nationalité la plus représentée est la nationalité marocaine ; la nationalité en plus forte augmentation est la nationalité chinoise. En cartes : proportion d'étudiantes selon le pays d'origine ; part des étudiants étrangers par académie. En encadré : source et définitions. Note sur les grands établissements.
En 2008-2009, 1 410 000 étudiants sont inscrits dans les universités publiques françaises. Les Instituts Universitaires de formation des maîtres (IUFM) sont intégrés dans une université de rattachement, à l'exception de ceux des Antilles et de la Guyane. On constate une désaffection des nouveaux bacheliers pour les cursus universitaires de sciences et de lettres ; ils s'inscrivent davantage en droit et en administration économique et sociale. La part des étudiants étrangers augmente de 1,5 % ; la part des filles est de 57 % (hors IUFM). Un tableau répartit les effectifs universitaires par académie et établissement, en distinguant les étudiants en IUFM et hors IUFM. En encadré : source et définitions.
Cet atlas présente les effectifs d’étudiants inscrits dans les établissements et les formations de l’enseignement supérieur, recensés dans les systèmes d’information et enquêtes du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, du ministère de l’éducation nationale, du ministère de l’Agriculture et de la Pêche et du ministère de la Santé et des Sports.
Cet atlas présente les effectifs d'étudiants inscrits dans les établissements et les formations de l'enseignement supérieur, recensés dans les systèmes d'information et enquêtes du ministère de l'Éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, du ministère de l'Agriculture et de la pêche et du ministère de la Santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative.
Cette première édition de « L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche », loin de se résumer à un état des lieux d'un système a vocation à devenir un outil d'information à l'usage de tous les citoyens. Illustrant les choix politiques et stratégiques faits pour la Nation, il rend compte de l'efficacité des politiques publiques dans un souci de transparence : démocratisation de l'enseignement supérieur, réussite à l'université, devenir des étudiants, effort de recherche, production scientifique, situation des personnels...
This atlas presents the numbers of students enrolled in institutions and programmes of higher education, as recorded in the information systems and surveys of the Ministry of National Education, Higher Education and Research, the Ministry of Agriculture, Food, Fishing and Rural Affairs and the Ministry of the Family and Social Protection. The combination of the above resources can sometimes lead to an incremental number of duplicate records of students enrolled in the higher education system. This is because the same student may enrol in several programmes and may be counted more than once if assigned a different identification number for each enrolment.
The geographic unit used in the present document is the 'urban unit', or agglomeration; for the Ile-de-France region, the commune is the geographic unit of reference.
Cet atlas présente les effectifs d'étudiants inscrits dans les établissements et les formations de l'enseignement supérieur, recensés dans les systèmes d'information et enquêtes du ministère de l'Éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, du ministère de l'Agriculture, de l'alimentation, de la pêche et des affaires rurales et du ministère de la Famille et de la protection sociale.
Cet atlas 2004-2005 présente les effectifs d’étudiants inscrits dans les établissements et les formations de l’enseignement supérieur, recensés dans les systèmes d’information et enquêtes du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, des ministères en charge de l’Agriculture, de la Pêche, de la Santé et des Sports. L’unité géographique utilisée dans cet ouvrage est l’unité urbaine, que l’on peut assimiler à l’agglomération ; pour l’Île-de-France et les Collectivités d’outre-mer, l’unité géographique retenue est la commune.
Cet atlas 2003-2004 présente les effectifs d’étudiants inscrits dans les établissements et les formations de l’enseignement supérieur, recensés dans les systèmes d’information et enquêtes du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, des ministères en charge de l’Agriculture, de la Pêche, de la Santé et des Sports. L’unité géographique utilisée dans cet ouvrage est l’unité urbaine, que l’on peut assimiler à l’agglomération ; pour l’Île-de-France et les Collectivités d’outre-mer, l’unité géographique retenue est la commune.
Cet atlas 2002-2003 présente les effectifs d’étudiants inscrits dans les établissements et les formations de l’enseignement supérieur, recensés dans les systèmes d’information et enquêtes du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, des ministères en charge de l’Agriculture, de la Pêche, de la Santé et des Sports. L’unité géographique utilisée dans cet ouvrage est l’unité urbaine, que l’on peut assimiler à l’agglomération ; pour l’Île-de-France et les Collectivités d’outre-mer, l’unité géographique retenue est la commune.