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318 results for « etudiants »



NI SIES 23.03 - La mobilité géographique à l’entrée dans l’enseignement supérieur
SIES A2.1
À la rentrée 2020, presque un néo-bachelier sur cinq change d’académie au moment de son entrée dans l’enseignement supérieur. En dehors des problématiques liées à l’insularité et à l’exception de quelques académies, l’offre de formation globale est plutôt bien répartie sur le territoire hexagonal. Mais, par leur offre locale les académies ne sont pas toutes confrontées au même phénomène : certains territoires voient partir leurs étudiants quand d’autres les gardent et attirent des étudiants supplémentaires. Si être très bon élève et avoir une mention au baccalauréat favorise la mobilité, le principal facteur de mobilité reste la possibilité de poursuivre dans la formation de son choix. Le néo-bachelier, qui n’a pas trouvé la formation qu’il souhaite dans son académie ou qui n’a pas été retenu près de chez lui, n’hésite pas à changer d’académie pour entreprendre les études désirées. Les académies de Grenoble, Amiens et Limoges font partie des territoires qui ont le taux de néo-bacheliers mobiles le plus important : plus de trois étudiants sur dix quittent leur académie de baccalauréat. Pour Grenoble et Amiens, ils vont dans l’académie voisine particulièrement attractive : Lyon et Lille. L’académie de Limoges est particulière, puisque si elle perd 1 400 bacheliers, 2 300 viennent s’y inscrire pour leur première année.
NI SIES 22.13 - Profil, parcours et réussite des néo-bacheliers en première année du premier cycle d’études de santé
SIES A2.1
À partir de la rentrée 2020, la première année commune aux études de santé (PACES) a été remplacée par deux nouvelles voies d’accès : le parcours d’accès spécifique santé (PASS) et la licence accès santé (L.AS). À cette date, 34 800 bacheliers 2020 sont inscrits en première année d’études de santé, des effectifs en hausse de 2 % par rapport à l’année précédente. Près des trois quarts d’entre eux choisissent le parcours PASS. Un an après, en lien avec la mise en place du numerus apertus (encadré 1), le nombre de néobacheliers admis en deuxième année de santé a bondi de 33%, passant de 6 500 pour la promotion précédente à 8 400. Le taux de passage en 1 an des néobacheliers progresse de 6 points, pour atteindre 25 % pour cette première promotion issue de la réforme. Dans l’ensemble, les débuts de parcours des néobacheliers sont plus linéaires avec davantage de réussite en 1 an, des redoublements limités et un accès facilité en deuxième année de licence pour les étudiants non admis en deuxième année d’études de santé : à la rentrée 2021, 19% sont inscrits en deuxième année de licence, dont plus de la moitié en L.AS. En revanche, cette première année de mise en œuvre de la réforme n’a pas permis une diversification des profils des admis en deuxième année, malgré une ouverture à d’autres types de candidats, notamment en L.AS.
NI SIES 22.02 - Les bacheliers 2014 entrés dans l’enseignement supérieur : où en sont-ils à la rentrée 2020 ?
SIES A2.1
À la rentrée 2020, les trois quarts des bacheliers 2014 qui ont poursuivi leurs études directement après le baccalauréat ne sont plus étudiants. Cette proportion, de 69 % pour les bacheliers qui s’étaient inscrits en licence à la rentrée 2014, est de 82 % pour ceux qui s’étaient inscrits en DUT et de 91 % pour ceux qui étaient en STS.

Qu’ils soient encore en études ou non à la rentrée 2020, huit bacheliers 2014 sur dix inscrits dans l’enseignement supérieur directement après leur baccalauréat ont obtenu au moins un diplôme de l’enseignement supérieur au cours de leur parcours estudiantin. Le plus haut diplôme obtenu est de niveau bac +5 pour 22 % de ceux qui poursuivent encore des études et pour 29 % de ceux qui sont sortis de l’enseignement supérieur.

Parmi les sortants, les femmes sont plus souvent diplômées que les hommes : 84 % contre 76 %. Si 72 % des inscrits en licence ont obtenu un diplôme de l’enseignement supérieur, ils sont 78 % dans ce cas parmi les inscrits en STS et 93 % parmi les inscrits en DUT. Les diplômés inscrits en DUT après leur baccalauréat sont ceux qui détiennent le plus souvent un diplôme de niveau bac +5.

Parmi les diplômés de niveau bac +5 à la rentrée 2020, sortis de l’enseignement supérieur, un tiers des bacheliers 2014 étaient inscrits en licence à la rentrée 2014 et près d’un sur cinq en CPGE.
NI SIES 21.12 - Les étudiants inscrits dans les universités françaises en 2020-2021
SIES A2.1
En 2020-2021, 1 650 000 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DROM, soit une hausse de 0,9 % en un an. En incluant les établissements expérimentaux, cet effectif s’élève à 1 696 000.

À périmètre universitaire strict, les inscriptions en cursus licence (61 % des inscriptions universitaires) continuent leur progression (+1,7 %) : en licence générale, elles augmentent de 5,6 %. Cette hausse est liée à la forte augmentation des néobacheliers (+4,8 %) et à la création des licences accès santé (LAS) où 13 000 étudiants sont inscrits en première année.

En cursus master (35 % des inscriptions), le nombre d’étudiants reste stable (-0,1 %). En master LMD, filière où sont inscrits près de six étudiants sur dix de ce cursus, le nombre d’étudiants progresse légèrement (+0,8 %), malgré la baisse des effectifs en première année (-1,7 %), notamment dans les masters dédiés aux métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation MEEF (-5,7 %). Le nombre d’étudiants en formation d’ingénieurs diminue légèrement (-1,2 %), après plus de dix années de hausse.

Les effectifs d’étudiants inscrits en cursus doctorat, quant à eux, continuent à diminuer (-2,3 %). Dans le contexte de la crise sanitaire, le nombre d’étudiants étrangers en mobilité internationale (190 000) diminue de 6,0 % et représente 11,5 % des étudiants universitaires (-0,9 point).
NI SIES 21.03 - Parcours des étudiants suivant un aménagement loi ORE
SIES A2.1
La loi ORE votée le 8 mars 2018 a pour objectif d'améliorer l'orientation et la réussite des étudiants. Dans ce cadre, les nouveaux bacheliers entrant en licence, notamment, peuvent bénéficier d'une individualisation de leur parcours afin d'améliorer leurs résultats en première année post bac. À la rentrée 2019, 25 600 étudiants en première année de licence générale suivent un aménagement de parcours, soit une hausse de près de 11 000 étudiants en un an. Ce sont 9,3 % des néo?bacheliers de licence qui suivent un aménagement de parcours (+ 3,7 points en un an). Les universités sont de plus en plus nombreuses à les mettre en place, passant de 46 à 62. Les étudiants concernés ont pour la plupart reçu comme proposition d'acceptation une réponse conditionnée « oui si » sur la plateforme Parcoursup. Ils ont très rarement obtenu une mention au baccalauréat et ont souvent accumulé un retard scolaire, facteurs statistiquement moins favorables à la réussite. Si 45 % des néo-bacheliers inscrits en première année de licence en 2018 sont passés en L2 en 2019, c'est le cas d'environ 30 % des nouveaux bacheliers inscrits avec un aménagement pédagogique. Parmi les étudiants bénéficiant d'un aménagement de durée de la licence, 25 % ont acquis le nombre d'E.C.T.S. attendus, dont 5 % sont passés en L2. Parmi ceux qui n'ont pas atteint l'objectif fixé pour cette première année, 62 % sont réinscrits en L1.
NI SIES 20.19 - Les étudiants inscrits dans les universités françaises en 2019-2020
SIES A2.1
Début 2020, de grands ensembles universitaires se sont créés ou modifiés par décrets, en application de l'ordonnance sur les établissements expérimentaux. En 2019-2020, 1 675 100 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DROM. À périmètre constant, soit celui en vigueur en 2019, 1 635 400 sont inscrits à la rentrée 2019, soit une hausse de 1,3 % par rapport à l'année précédente. Le nombre d'étudiants en cursus licence poursuit son augmentation (+ 2,0 %) tandis que celui en cursus master reste stable (+ 0,5 %). Les inscriptions en doctorat diminuent à nouveau et plus fortement (- 2,9 %). Même si les effectifs en 1ère année de licence générale augmentent de 1,4 %, le nombre de néo-bacheliers y diminue de 1,1 % par rapport à 2018-2019, année de hausse accentuée du nombre de néo-bacheliers liée au boom démographique de l'an 2000. En master LMD, les effectifs de 1ère année continuent de diminuer (- 1,6 %) et ceux en 2ème année sont à nouveau quasi-stables (+ 0,9 %). Les étudiants en formation d'ingénieurs universitaires sont, quant à eux, toujours plus nombreux (+ 3,5 %).Le nombre d'étudiants étrangers en mobilité internationale stagne par rapport à la rentrée dernière : 202 100 sont accueillis dans les universités françaises en 2019-2020, soit 12,4 % des étudiants de ces établissements.
NI SIES 20.16 - Réussite et assiduité en première année de licence : impact de la loi ORE, nouveaux indicateurs
SIES A2.1
Pour l'année 2018-2019, le taux de passage en 2e année de licence des néo-bacheliers est de 45,4%. Après quelques années de stabilité, autour de 40%, ce taux a augmenté de 4,4 points entre 2016 et 2018. Cette hausse semble imputable à deux effets, liés à la loi ORE : un changement de structure de la population en 1re année de licence et le bénéfice des accompagnements pédagogiques à l'égard des entrants à l'université. Une mesure de la réussite par l'obtention d'au moins 60 ECTS conduit à des résultats semblables : 43,5% des néo-bacheliers ont acquis 60 ECTS ou plus à l'issue d'une 1re année universitaire en 2018-2019, pour 39, % en 2016-2017. Le taux de passage en 2e année peut être examiné en prenant en compte l'assiduité des étudiants, mesurée, a minima, par la présence de l'étudiant à au moins un examen dans l'année, ou, avec un critère plus exigeant, par la présence de l'étudiant à au moins un examen de chaque UE où il est inscrit. La moitié des néo-bacheliers ne répond pas à ce dernier critère ; cependant, 28% d'entre eux sont admis et inscrits en 2e année à la rentrée suivante. On peut calculer un taux de passage limité aux néo?bacheliers respectant le critère minimal d'assiduité, soit 90% de ceux inscrits en L1 : il atteint 50,3%, soit 4,9 points de plus que pour l'ensemble des néo?bacheliers.
Baccalauréat holders from the class of 2008 who went on to higher education: where are they four years later?
SIES A2.1
Of those students who passed their baccalauréat in 2008 and who went on to study in metropolitan France, 68% were still in higher education four years later, and 30% of these already had a higher education diploma. 32% were no longer in higher education and 14% had left without a diploma. In all, almost half of the class of 2008 who went on to higher education already had a diploma at the end of three years. 35% of those who enrolled in the first year of a Bachelor's degree course in 2008 obtained their degree after three years and 28% were in a Master's programme. In the short courses, 7 out of 10 students in University technology institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) obtained their diploma after two years, and the same for 6 out of 10 students in the Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS). In their fourth year, more than 7 out of 10 students from classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE) were enrolled in a further education school doing a course at baccalauréat + 5 years study level, with students from the arts and humanities classes preferring universities. The proportion of students going on to post-baccalauréat schools and paramedical courses increased significantly over the last ten years.
NI DEPP 14.05 - Diplômés de l'enseignement supérieur : situations contrastées en Europe
DEPP MIREI
En 2012, en moyenne dans l’Union européenne, 35,8 % des personnes de 30 à 34 ans ont un diplôme de l’enseignement supérieur. En dépit d’une progression sensible de la proportion de diplômés depuis 2003 dans la plupart de l’Union, seuls douze pays, dont la France (43,6 %), ont atteint ou dépassé la cible européenne.



Ces disparités reflètent pour une part l’histoire du développement de l’enseignement supérieur, intervenu plus tôt dans les pays du Nord de l’Europe.

Dans le cas de l’Allemagne et de l’Autriche, la faible proportion de diplômés du supérieur renvoie d’une part, à une certaine concurrence des filières professionnelles post-secondaires, l’accès au supérieur demeurant l’apanage des élèves de la filière académique (Gymnasium), et d’autre part, à l’emprise du système d’apprentissage concernant plus de la moitié d’une classe d’âge. La faible proportion des diplômés peut également trahir un retard dans la poursuite d’études (Italie, Roumanie, Malte). À l’opposé, une forte proportion de diplômés peut s’expliquer par l’immigration d’actifs très qualifiés (Luxembourg, Chypre, Irlande).

En 2009 dans l'Union européenne (21 pays), seuls 19 % des étudiants dont les parents sont sans diplôme accèdent à des diplômes de l'enseignement supérieur. Ce chiffre est de 25 % en France.
Success and failure in first cycle programmes
SIES A2.1
The study path of students in first cycle programmes is marked by course changes and repeat years. In fact, only one in two students moves up directly from first year into the second year of the Bachelor's degree programme (one in four repeats the year and one in four changes course or gives up their higher education studies completely), while of those reaching the third year of the general Bachelor's degree programme, almost seven out of ten students obtain their diploma in just one year (nine out of ten for the vocational degree). For the University technology diploma delivered by the IUT (¦Diplôme universitaire de technologie - ¦DUT), the number of students moving into the second year is high, with seven out of ten students. The pass rate in second year is also high: almost nine students out of ten obtained their diploma at the 2011 session. In Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS), 85% of students move into second year. At the 2011 session, the pass rate for the Advanced technician diploma (¦Brevet de technicien supérieur - ¦BTS) was 72%, two points higher than in 2010. These rates vary depending on the type of students and the type of institution in which they are studying. However, overall, if the definition of failure in the first cycle of study is the fact of leaving higher education with no diploma, then the failure rate in France is around 19%, ten points below the OECD average.
Forecasts for student numbers in higher education for academic years 2013 to 2022
SIES A2.1
At the start of the 2013-14 academic year, according to forecasts based on the provisional results of the baccalauréat and the course choices seen in previous years, student numbers seemed set to increase by 1.5% across all higher education as a whole.
However, the numbers of students entering higher education remained the same as last year, while the number of baccalauréat holders decreased at the 2013 session. Looking ahead to 2022, the number of general baccalauréat holders will probably increase by 12.9% compared with 2012, while the number of technological baccalauréat holders seems set to decline by 3.2%. Numbers of students with a vocational baccalauréat will see an adjustment after the cyclical peak of 2012 (-8.6% between 2012 and 2022), but are likely to remain higher than in 2011 (+12.2%). Following this influx of general baccalauréat holders, if trends in terms of career guidance and continuing education were to continue, student numbers would increase by 8% in universities between 2012 and 2022, by 12.3% in classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE), by 4.1% in Technological university institutes (Institut universitaire de technologie - IUT) and by 0.1% in the Advanced technician’s sections (Section de technicien supérieur - STS). Higher education could therefore include almost 2.6 million students in 2022, or 200,000 more than at the start of 2012.
Forecasts of student numbers in higher education for academic years 2012 to 2021
SIES A2.2
At the start of the 2012-13 academic year, according to forecasts based on the provisional results of the baccalauréat and the course choices seen in previous years, student numbers seemed set to increase by 1.5% across higher education as a whole.
The number of students entering higher education increased, with this rise probably linked with the new influx of students with a vocational baccalauréat from the 2012 exam session. Looking ahead to 2021, the number of general baccalauréat holders will probably increase by 12.1% compared with 2011, while the number of technological baccalauréat holders seems set to decline by 9.6%. Numbers of students with a vocational baccalauréat will adjust after the cyclical peak of 2012 (-9.5% between 2012 and 2021), but are likely to remain higher than in 2011 (+9.7%). Following this influx of general baccalauréats, if trends in terms of career guidance and continuing education were to continue, student numbers would likely increase by 11% in universities between 2011 and 2021, 9.5% in classes preparing for admission to Grandes Écoles (Classe préparatoire aux grandes écoles - CPGE) and 4.5% in Technological university institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT). The increase in Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS) will probably be more moderate (3.1%).
Forecasts of student numbers in higher education for academic years 2011 to 2020
SIES A2.2
At the start of the 2011-12 academic year, according to forecasts based on the provisional results of the baccalauréat and the course choices seen in previous years, student numbers looked set to increase by 1.7% across all of higher education. Numbers of students entering were higher following the increase in the number of baccalauréat candidates at the 2011 session and the trend among the general and technological baccalauréat holders to pursue their studies at university. Looking ahead to 2020, numbers of general and technological baccalauréat holders are likely to increase by 2.3% compared with 2010. The reform of the vocational baccalauréat over three years, which was started in 2009, will probably cause a significant increase in the number of vocational baccalauréat holders (+70,000). After this influx, if the trends in terms of career guidance and continuing education were to continue, student numbers would rise between 2010 and 2020 by 10.1% in universities, by 1.2% in Technological university institutes (¦Institut universitaire de technologie - ¦IUT) and by 7.4% in classes preparing for admission to Grandes Écoles (¦Classe préparatoire aux grandes écoles - ¦CPGE). As vocational baccalauréat holders are more likely to continue their studies in Advanced technician’s sections (¦Section de technicien supérieur - ¦STS), numbers in this study track are also likely to rise by 6.8% between 2010 and 2020.
NI DEPP 07.47 - Les étudiants inscrits dans les universités publiques françaises en 2006.
SIES A2.1
En 2006-2007, 1 404 100 étudiants sont inscrits dans les 81 universités publiquesfrançaises et les deux centres universitaires de formation et de recherche. Les inscriptions de nouveaux bacheliers diminuent (moins 2,4 % en cursus licence) mais les effectifs en cursus master et doctorat restent stables. Les formations de santé rencontrent pour la cinquième année consécutive une forte augmentation, mais les effectifs de STAPS diminuent à nouveau. Les étudiants du cursus licence représentent 62,9 % de l'ensemble, ceux du cursus master 32,2 % et ceux du cursus doctorat 4,9 %. Quatre tableaux donnent la répartition des étudiants par discipline et cursus LMD, la part des nouveaux bacheliers qui entrent à l'université, les effectifs universitaires par académie et université et l'évolution (en %) par rapport à l'année précédente, la proportion de femmes, d'étudiants étrangers et de non-bacheliers de nationalité étrangère dans les effectifs universitaires (en %). Complément sur les étudiants inscrits dans un grand établissement, dans un institut national polytechnique (INP) ou dans une université technologique (UT) : répartition selon le cursus LMD des effectifs dans ces établissements. Un graphique met en relief l'évolution du nombre d'étudiants étrangers non-bacheliers entre 2005 et 2006. En encadrés : source et définitions ; pour en savoir plus.
French Ministry of Higher education and Research