Au 31 décembre 2022, les centres de formation d’apprentis accueillent 576 000 étudiants préparant un diplôme de l’enseignement supérieur. Cela représente une hausse de 20 % en un an et de 78 % en deux ans. Près d’un tiers de ces apprentis sont inscrits en STS, 16 % en écoles de commerce et 29 % dans diverses autres formations principalement privées. 44 % des étudiants en STS effectuent leur année en apprentissage, tout comme 68 % des étudiants en licence professionnelle, 12 % des étudiants en IUT et 27 % des étudiants en écoles de commerce. Un sixième des apprentis sont formés à Paris et près d’un tiers en Ile-de-France. Dans les formations d’ingénieur et les écoles de commerce, les apprentis sont en moyenne d’origine sociale moins favorisée que les étudiants « scolaires », mais pas dans les formations universitaires. 48 % des apprentis sont des femmes.
À la rentrée 2022, 107 300 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie (IUT) pour préparer un BUT ou un DUT, effectif en baisse de 6,8 % par rapport à 2021-2022. À cette rentrée ouvrait la deuxième année du bachelor universitaire de technologie (BUT) créé en 2021. Les inscriptions diminuent nettement en deuxième année : -12,5 %. Les inscriptions prises en apprentissage progressent fortement et représentent 12 % des effectifs. Le nombre de nouveaux entrants en IUT baisse de 2,4 % après une baisse de 5,9 % l’an dernier. Parmi ces nouveaux entrants, plus de quatre étudiants sur dix sont des bacheliers technologiques, part en légère hausse en un an (+ 1,5 point).
En 2020-2021, 323 300 étudiants sont inscrits en apprentissage dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements et régions d’outre-mer, soit une hausse de 80 % en deux ans. 44 % des apprentis sont des femmes et 28 % sont formés en Ile-de-France. Plus d’un tiers des étudiants effectuant un apprentissage sont en section de techniciens supérieurs (STS) et près de 80 % dans six grandes filières de formation (STS, IUT, licence professionnelle, master, formation d’ingénieur, école de commerce). Dans ces filières, 16 % des étudiants inscrits sont en apprentissage. Par rapport aux autres étudiants en formation initiale, les apprentis sont plus souvent issus des baccalauréats technologiques et professionnels. En outre dans les formations d’ingénieurs et les écoles de commerce, les étudiants en apprentissage sont moins souvent issus des classes préparatoires aux grandes écoles et ont des origines sociales plus diverses que les autres étudiants. Enfin, les étudiants qui effectuent la dernière année de leur formation en apprentissage obtiennent autant ou davantage leur diplôme que les autres, selon la filière de formation.
Depuis la rentrée 2021, les étudiants de première année s’inscrivent dans un bachelor universitaire de technologie (BUT) et ceux de deuxième année continuent de préparer un diplôme universitaire de technologie (DUT). À cette rentrée, 115 100 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie (IUT) pour préparer un DUT ou un BUT, effectif en baisse de 4,9 % par rapport à 2020-2021. Le nombre de nouveaux entrants en IUT diminue de 5,9 % après une légère augmentation l’an dernier (+ 1 %). Quatre sur dix sont des bacheliers technologiques, part en hausse de près de 7 points en un an.
En 2021-2022, 1 634 200 étudiants sont inscrits en université ( hors autres établissements membres ou composantes des établissements expérimentaux). Stables dans l’ensemble (+0,3 %) par rapport à 2020-2021, les effectifs augmentent nettement en cursus master (+ 2,9 %) tandis qu’ils diminuent de 1,2 % en cursus licence, les nouveaux bacheliers étant nettement moins nombreux (- 4,1 %). En doctorat, après plus de dix années de baisse, les effectifs se stabilisent (+0,6 %). Si en disciplines générales, les inscriptions sont en hausse, notamment en sciences, celles en IUT diminuent de près de 5 %. Les étudiants en mobilité internationale reviennent dans les universités françaises et leur nombre retrouve son niveau d’avant la crise sanitaire. Sur le périmètre élargi aux établissements expérimentaux, les effectifs universitaires s’établissent à 1 687 800.
À la rentrée 2020, 120 900 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie (IUT) pour préparer un diplôme universitaire technologique, effectif stable (+ 0,3 %) par rapport à 2019-2020. Le nombre de nouveaux entrants en IUT augmente de 1,0 % après la diminution équivalente de l'an dernier. Ce sont les nouveaux bacheliers pour lesquels les inscriptions sont les plus dynamiques (+ 2,1 %), principalement pour les bacheliers technologiques (+ 3,5 %). Un an après l'obtention du DUT, sept diplômés sur dix poursuivent leurs études. À la rentrée 2021, le DUT va devenir un diplôme intermédiaire, avec la création du Bachelor Universitaire de Technologie (BUT) en trois ans.
À la rentrée 2020, selon les données provisoires établies au 20 octobre, 284 800 nouveaux bacheliers sont inscrits en première année de cursus licence à l'université. Cette hausse des effectifs, de 5,2 % par rapport à l'année précédente, est liée à l'augmentation du taux de réussite au baccalauréat en juin 2020 et à l'accroissement des capacités d'accueil. Le nombre de nouveaux bacheliers progresse moins fortement en IUT (+1,7 %) que dans les disciplines générales de l'université (6,0 %).
A la rentrée 2019, 120 600 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie, progressant faiblement (+ 0,7 %) par rapport à 2018-2019. Le nombre de nouveaux entrants en IUT diminue de 1,3 % après la forte hausse de l'an dernier. En particulier, les nouveaux bacheliers intégrant cette formation sont moins nombreux, quelle que soit la série du baccalauréat, la baisse étant toutefois moins marquée pour les néo-bacheliers technologiques. Un an après l'obtention du D.U.T. les trois quarts des diplômés poursuivent leurs études. De fait, le DUT va devenir un diplôme intermédiaire, avec la création du Bachelor Universitaire de Technologie (BUT) en trois ans mis en place en 2021.
En 2018-2019, 119 700 étudiants sont inscrits en institut universitaire de technologie, effectif en progression de 2,5 % par rapport à la rentrée 2017. Le nombre de néo-bacheliers entrés en IUT (+ 6,9 % soit + 3 300 inscrits) s'accroît vivement, sous l'effet du boom démographique de l'an dernier. Parmi les nouveaux entrants dans cette formation, près d'un tiers ont obtenu un baccalauréat technologique, part en hausse de 2,3 points, les néo-bacheliers de cette série étant particulièrement plus nombreux en IUT (+ 14,8 %).
Près de deux bacheliers sur trois suivent une formation en STS, IUT. ou licence après l'obtention de leur baccalauréat, un quart sont dans d'autres formations et 13 % ne prolongent pas leurs études dans l'enseignement supérieur. Les étudiants peuvent passer d'une formation à l'autre soit du fait de réorientation ou de poursuite après l'obtention d'un premier diplôme. Des redoublements peuvent aussi intervenir. Les durées moyennes pour obtenir un BTS vont ainsi de 2,2 années pour ceux qui y sont rentrés directement, à 3,4 ans pour ceux passés par une licence auparavant. Ces durées, ainsi que les taux de réussite et de poursuite fluctuent fortement selon les caractéristiques des bacheliers : dans le parcours licence, deux bacheliers généraux sur trois sont diplômés en moyenne en 3,4 ans, contre un bachelier professionnel sur dix, au bout de 4,2 années.
Les bacheliers généraux, qui représentent les deux tiers des primo-entrants dans les instituts universitaires technologiques, sont ceux qui y réussissent le mieux : les trois-quarts d’entre eux sont diplômés en deux ans et plus de huit sur dix en 3 ans. Les deux-tiers des bacheliers technologiques de 2014 inscrits en IUT ont obtenu leur diplôme en 2 ou 3 ans. Meilleure est la mention au baccalauréat, plus élevés sont les taux de réussite.
En 2018-2019, selon les données provisoires établies au 20 octobre, le nombre d’inscriptions des nouveaux bacheliers en première année de cursus licence à l’université est de 288 000, en progression de +7,2% par rapport aux données provisoires établies à la même date pour l’année universitaire 2017-2018. Hors doubles inscriptions des étudiants en CPGE, l’augmentation s’élève à +7,4%, soit 19 600 inscriptions supplémentaires. La hausse du nombre d’inscriptions est très élevée aussi bien en IUT (+7,3%) qu’à l’université hors IUT (+7,4% hors CPGE). Cette forte progression est liée à l’augmentation exceptionnelle du nombre des candidats et donc des lauréats au baccalauréat en 2018, du fait du boom démographique de l’an 2000, ainsi qu’à l’accroissement des capacités d’accueil à l’université mises en place en anticipation de cet afflux. La hausse qui sera mesurée sur les données définitives pourrait néanmoins différer, car il n’est pas exclu que l’introduction d’un nouveau système de gestion des vœux à l’entrée dans l’enseignement supérieur ait pu modifier le rythme des inscriptions.
En 2017-2018, 1 642 200 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM. Les effectifs augmentent de 1,2 % (1,0 % hors inscriptions parallèles en Classes préparatoires aux grandes écoles et à l’université). En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 1,6 % et + 1,4 % hors doubles inscriptions) et en cursus master (+ 0,5 %), mais diminuent en cursus doctorat (- 0,7 %). Les nouveaux bacheliers sont toujours plus nombreux à l’université (+ 1,3 % et + 0,8 % hors double inscriptions) mais cette hausse est plus de deux fois moins élevée que l’année précédente. Le nombre de nouveaux bacheliers est également en hausse dans les IUT (+1,5 %). Le nombre de nouveaux bacheliers généraux dans les disciplines générales se stabilise (- 0,2 % hors inscriptions en CPGE), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques continue à augmenter en IUT (+ 1,5 %). La part des étudiants étrangers à l’université augmente légèrement : ils représentent 14,6 % des inscriptions.
La poursuite d’études des bacheliers et le niveau des diplômes obtenus dans l’enseignement supérieur ont progressé en 6 ans. La part des bacheliers 2008 ayant atteint ou dépassé un niveau bac + 5 atteint 32 %. Elle est supérieure de 6 points à celles des bacheliers 2002. Parallèlement, la proportion de bacheliers entrés dansle supérieur et sortis sans diplôme est restée stable à environ 20 %. Ces résultats masquent de fortes disparités entre types ou séries de baccalauréat, ou encore selon le niveau scolaire à la sortie du lycée et selon l’origine sociale. Ainsi, 15 % des bacheliers généraux entrés dans le supérieur en sortent non diplômés, mais 28 % des bacheliers technologiques et 50 % des bacheliers professionnels. Plus d’un enfant de cadres sur deux sort de l’enseignement supérieur diplômé d’un bac + 5 ou plus contre seulement 13 % des enfants d’ouvriers. La filière d’entrée détermine largement le niveau de diplôme atteint à la sortie du supérieur. Près de la moitié des entrants en IUT sortent diplômés à un niveau au moins égal à bac + 5 : c’est quatre fois plus que ceux poursuivant en STS.
Les présentes données sont issues de l’enquête «inscriptions» du système d’information sur le suivi de l’étudiant (SISE Universités). Les données 2016-2017 sont définitives. En revanche les données 2017-2018 sont provisoires. La date d’observation est fixée au 15 janvier de chaque année universitaire. Le champ couvert par cette note est constitué des 112 IUT de France métropolitaine et DOM. Sont concernés dans cette note les étudiants préparant un Diplôme Universitaire de Technologie (DUT).
Lors des procédures d’orientation, quatre lycéens sur dix font le choix de l’université (hors IUT) comme premier voeu sur le portail d’admission post-bac, antérieur à la mise en place de ParcourSup. Les filières courtes, STS et IUT, sont aussi très prisées, demandées, par environ 45 % des lycéens. Les voeux exprimés dépendent en partie de l’offre de formation locale, de la série du baccalauréat et du niveau scolaire de l’élève, ce qui induit des variations entre académies. Un peu plus du quart des néo-bacheliers émet prioritairement un souhait de poursuite d’études hors de son académie d’origine. Ces voeux de mobilité sont très importants chez les lycéens résidant dans les départements et régions d’outremer et la Corse, mais aussi dans les académies limitrophes de Paris. Inversement, les trois académies de la région parisienne, mais aussi celles de Lyon et de Limoges, se distinguent par leur forte attractivité.
En 2016-2017, 1 623 500 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM. Ils étaient 1 593 200 en 2015-2016. Les effectifs augmentent de 1,9 %. En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 2,8 %) et en cursus master (+ 0,8 %), mais diminuent en cursus doctorat (- 2,3 %). Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université continue à croître (+ 3,1 %) mais les inscriptions parallèles des étudiants de CPGE expliquent plus de la moitié de cette hausse, qui s’élève à + 1,8 % sans ces inscriptions. Le nombre d’étudiants est également en légère hausse dans les IUT (+0,3 %). Les bacheliers généraux sont toujours plus nombreux dans les disciplines générales (+3,8 % hors inscriptions en CPGE), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques augmente en IUT (+1,8 %) et les bacheliers professionnels se dirigent nettement moins vers l’université (-2,7 %). La part des étudiants étrangers à l’université est stable : ils représentent 14,2 % des inscriptions.
En 2017-2018, le nombre d’inscriptions des nouveaux bacheliers en première année de cursus licence à l’université progresse de +1,4 % par rapport à l’année précédente (données provisoires). Hors doubles inscriptions des étudiants en CPGE, l’augmentation est ramenée à +0,7 %, soit 1 700 inscriptions supplémentaires. Le taux de poursuite des bacheliers à l’université est en baisse pour toutes les séries du baccalauréat. Ainsi, le nombre de bacheliers scientifiques progresse de 2,1% à la session 2017 mais le nombre d’inscrits universitaires hors IUT progresse de 1,1%. Le nombre d’inscrits recule même très fortement (-14,8 %) pour les bacheliers professionnels, alors que le nombre de lauréats au baccalauréat diminue de seulement 1,7 %. Les évolutions sont contrastées par discipline.
La hausse des inscriptions de nouveaux bacheliers à l’université est de 0,7 % hors doubles inscriptions en CPGE, selon les données provisoires
En forte croissance, les nouveaux bacheliers s’inscrivent proportionnellement moins à l’université que l’an passé
Cette note de synthèse présente les principaux résultats sur le parcours et la réussite des néobacheliers (bacheliers qui s’inscrivent à l’université à la rentrée suivant l’obtention de leur baccalauréat) en DUT (Diplôme universitaire de technologie). Elle est accompagnée de la publication d'indicateurs déclinés par université.
En DUT, le taux de passage de la première à la deuxième année est de 71,6 %. Celui-ci varie fortement selon la série du bac : de 44 % pour les bacheliers professionnels à 79% pour les bacheliers généraux.
Les deux tiers des inscrits en IUT obtiennent leur diplôme en deux ans. La réussite en trois ans atteint 76,8 % (+11 points).
Les inscrits dans les spécialités des services ont un taux de réussite en 2 ou 3 ans de 5 points plus élevé que celui des étudiants des spécialités de la production (78,8% contre 73,9%).
La réussite en DUT est corrélée à la mention obtenue au baccalauréat, toutes séries confondues. Ainsi 70% des bacheliers admis au premier groupe (sans mention mais sans rattrapage) décrochent le sésame en trois ans, quand ils sont près de 88 % des bacheliers ayant obtenu une mention Bien.
En 2016-2017, le nombre d’étudiants inscrits en institut universitaire de technologie (IUT) est de 116 600, en légère augmentation par rapport à 2015-2016 (+0,3 %). Ils sont 63 400 à être inscrits en 1ère année d’IUT (en baisse de 0,3 %) et 53 200 à l’être en 2ème année d’IUT (en hausse de 1,1 %).
Selon les données relatives aux vœux d’orientation exprimés sur la plate-forme admission post-bac (APB) en 2017, un candidat au baccalauréat émet en moyenne 7,7 vœux. En premier vœu, 39,1 % des candidats demandent une licence, 28,8 % une section de technicien supérieur, 13,7 % une admission en IUT, 8,3% une classe préparatoire aux grandes écoles. Parmi les premiers vœux désignant une L1, 4 mentions de licence recueillent 50 % des demandes : la PACES (17 %), le droit (14%), les STAPS (11 %) et la psychologie (7 %). Les parts des femmes et des hommes varient considérablement selon les mentions de licence. Ainsi, 83,9 % des premiers vœux exprimés en psychologie émanent de candidates, contre 26,7 % en STAPS. La volonté d’intégrer une filière se traduit par une accumulation de vœux dans la filière demandée. Ainsi, les étudiants demandant une CPGE – respectivement une STS - en premier vœu font en moyenne 8,2 vœux –respectivement 4,5 vœux - dans cette même filière.
Les bacheliers 2014 sont 79 % à s’inscrire dans une formation de l’enseignement supérieur à la rentrée suivante. Les taux de poursuite par série de baccalauréat sont quasi inchangés par rapport à la précédente enquête, réalisée auprès des bacheliers 2008. Toutefois, le taux de poursuite moyen diminue, du fait de la proportion accrue de bacheliers professionnels au sein de la cohorte 2014, lesquels poursuivent moins leurs études que les bacheliers des autres séries. La majorité des étudiants suit une formation correspondant à la filière demandée en premier voeu sur la plateforme Admission Post-Bac. Les proportions sont de 55% en IUT, 62 % en STS, 70 % en CPGE et 77 % en licence. La satisfaction vis-à-vis des formations suivies s’améliore par rapport à celle des bacheliers 2008, particulièrement pour les étudiants en licence. De même, les perspectives d’études longues progressent : 54 % des bacheliers 2014 envisagent d’atteindre au moins un bac + 5, contre 48 % six ans plus tôt.
En 2015-2016, 1 593 200 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM (y compris l’université de Lorraine). Ils étaient 1 531 300 en 2014-2015. Les effectifs inscrits augmentent de 4,0 %, hausse partiellement imputable à la montée en charge des inscriptions parallèles des étudiants de CPGE. L’accroissement est ramené à + 2,8 % hors cet effet. En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 4,9 %, et + 2,9 % hors doubles inscriptions) et en cursus master (+ 3,2 %), mais diminuent en cursus doctorat (- 1,6 %). Les bacheliers généraux sont plus nombreux que l’an passé dans les disciplines générales (+ 6,9 % hors doubles inscriptions en CPGE), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques diminue en IUT (- 2,0 %) et les bacheliers professionnels se dirigent nettement moins vers l’université. La part des étudiants étrangers à l’université est de 14,1 %. Elle baisse légèrement par rapport à 2014-2015 (- 0,2 point), principalement en cursus doctorat (- 0,4 point).
Différents parcours permettent aux étudiants de se former en économie ou en gestion. Dès l’obtention du baccalauréat ou après deux années de classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE), ils peuvent intégrer un cursus à l’université, un IUT ou une école de commerce.
L’université, sur laquelle se concentre cette étude, propose des formations dans les filières des sciences de gestion, sciences économiques, administration économique et sociale (AES) et pluri sciences éco-gestion.
Cette variété renvoie à des contenus de formation et des débouchés différents. Pour ces différentes filières, la principale voie d’accès est toujours le bac ES.
Toutefois, généraliste et pluridisciplinaire, l’AES accueille une grande diversité de profils, et notamment des bacheliers technologiques et professionnels, tandis que la voie sciences économiques, à contenu théorique, attire les bacheliers S.
Au final, selon la filière, entre 30 % et 50 % des étudiants obtiennent leur licence en 3 ou 4 ans. Près du tiers des étudiants diplômés de licence poursuit en master. Selon la filière, de 46 % à 61 % d'étudiants de master sont diplômés en 2 ans.
Cette note présente les principaux résultats de l’enquête sur les stages dans l’enseignement supérieur effectuée en 2015 et portant sur l’année universitaire 2013-2014. Elle concerne les étudiants en formation initiale, hors apprentissage et contrat de professionnalisation. Les trois premières éditions de l’enquête portaient uniquement sur les inscrits en université en cursus licence et master, en formations d’ingénieurs et en instituts universitaires de technologie. A partir de 2014, le champ a été élargi aux universités de technologie, aux formations d’ingénieurs rattachées aux universités, à Paris-Dauphine ainsi qu’aux instituts d’études politiques.
Les étudiants dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d’outremer n’ont jamais été aussi nombreux : 2 470 700 à la rentrée 2014. Leur nombre a continué à progresser (+ 1,6 % en un an, soit plus de 38 400 étudiants supplémentaires), en particulier à l’université (+ 2,1 % en un an).
En cinq ans, l’enseignement supérieur a accueilli plus de 150 000 nouveaux étudiants (+ 7 %). L’augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles d’ingénieur.
En revanche, les effectifs des écoles de commerce reconnues à diplôme visé se stabilisent après des années de forte augmentation.
Les effectifs en CPGE progressent modérément (+ 0,8 %). Les formations courtes (en instituts universitaires de technologie et sections de techniciens supérieurs) enregistrent des effectifs stables.
A la rentrée 2014, toutes les académies sauf deux gagnent des étudiants. L’enseignement privé représente un peu plus d’un étudiant sur six. Les femmes demeurent majoritaires parmi les étudiants. Les étudiants étrangers représentent un étudiant sur huit.
En 2014-2015, 1 531 300 étudiants sont inscrits dans les universités françaises. Ils étaient 1 499 600 en 2013-2014. Les effectifs augmentent de 2,1 %, une croissance un peu moins forte que celle observée l’an passé (+ 2,5 %).
En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 2,2 %) et en cursus master (+ 2,3 %) mais diminuent en cursus doctorat (-1,7 %).
Les inscriptions des nouveaux bacheliers à l’université sont très dynamiques (+ 2,9 %), même si cette hausse est partiellement imputable aux inscriptions parallèles en CPGE.
Les inscriptions progressent très vivement dans les disciplines scientifiques et sont aussi très dynamiques en sciences humaines et sociales.
Le nombre de nouveaux bacheliers technologiques augmente fortement en IUT (+ 7,0 %). La proportion d’étudiants étrangers à l’université se replie légèrement à 14,3 %, tout comme celle des étudiants étrangers non titulaires d’un baccalauréat français (11,0 %). La part des étudiants étrangers en cursus doctorat se maintient à 41,5 %.
Interrogés sur leur situation à la rentrée 2013, 59 % des bacheliers entrés dans l’enseignement supérieur en 2008 sont titulaires d’un diplôme. Parallèlement, 24 % poursuivent des études sans être encore diplômés, du fait du cursus choisi ou d’un retard dans leur parcours. Enfin, 17 % ne sont pas diplômés et sont sortis de l’enseignement supérieur.
La moitié des bacheliers entrés en première année de licence ont obtenu leur diplôme. Si seuls trois étudiants sur dix entrés en PCEM ou PCEP sont inscrits en deuxième cycle, les réorientations réussies sont nombreuses dans les filières courtes, plus de la moitié des inscrits enIUT et 22 % des inscrits de S.T.S. ont obtenu un diplôme de niveau bac + 3. Après être entrés en CPGE, 84 % des étudiants sont inscrits dans une école de niveau bac + 5 ou en master. Parmi les bacheliers entrés dans des formations paramédicales et sociales ou des préparations à celles-ci, 45 % ont obtenu un diplôme. Seuls 10 % des étudiants entrés dans des écoles post-bac sont sortis sans diplôme.
À la rentrée 2014, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d’orientation observés les années précédentes, les effectifs étudiants augmenteraient de 1,6 % dans l’ensemble de l’enseignement supérieur. Les flux d’entrée dans le supérieur seraient également plus élevés que ceux de l’an dernier, sous l’effet d’un surcroît important de bacheliers professionnels et d’une légère remontée des taux de poursuite d’études des bacheliers généraux et technologiques.
À l’horizon 2023, le nombre de bacheliers augmenterait significativement pour toutes
les séries par rapport à 2013, en raison principalement du dynamisme démographique.
La mise en place de l’orientation prioritaire a permis d’augmenter le taux de poursuite et les effectifs des bacheliers professionnels en STS, et des bacheliers des séries technologiques en IUT.
Si les tendances en termes d’orientation, de poursuite d’études et de démographie se prolongeaient, les effectifs étudiants augmenteraient de 9 % entre 2013 et 2023.
En 2013-2014, 1 505 600 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d’outre-mer et l’université de Lorraine).
Ils étaient 1 468 300 en 2012-2013.
Les effectifs augmentent de 2,5 %.
En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 2,5 %) et en cursus master (+ 3,0%), mais ils diminuent en cursus doctorat (-1,2 %).
Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université est très dynamique (+4,5%).
Dans les disciplines de santé, ils sont en forte hausse (+ 7,6 %).
Les bacheliers généraux sont plus nombreux dans les disciplines générales (+7,0 %), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques augmente fortement en IUT (+13,5 %) et les bacheliers professionnels se dirigent légèrement moins vers l’université.
Le nombre d’étudiants étrangers à l’université est en hausse de 0,9 % : leur part atteint 14,5 %. Elle reste stable en cursus doctorat (41,4 %).
Cette note de synthèse présente les principaux indicateurs sur le parcours et la réussite des étudiants à l’Université : taux de passage de L1 en L2 et de M1 en M2, attractivité des M1 et M2, taux d’obtention de la Licence, du Master et du DUT.
Elle est accompagnée de la publication de ces indicateurs déclinés par université. Ces informations, publiées pour la deuxième année consécutive, ont vocation à être diffusées chaque année. Les résultats de la session 2013 devraient être disponibles en février 2015.
32% des 990 000 étudiants inscrits en formation initiale en licence, master, formations d’ingénieurs et instituts universitaires de technologie (hors formations des enseignants, instituts d’études politiques et universités de technologie) dans les universités françaises ont suivi un stage en 2011-2012.
Cette proportion est stable par rapport à l’année précédente. Elle augmente à mesure que l’on progresse dans les cursus. Les stages sont courants dans les formations professionnalisantes et se développent dans les formations générales, notamment en deuxième et en troisième années de licence générale.
Si la grande majorité des stages se déroulent dans la région de l’université, près d’un sur dix a lieu à l’étranger. 63 % des stages durent deux mois ou plus. La moitié des stages sont gratifiés. Parmi eux, un étudiant sur cinq reçoit une gratification se situant au dessus de 600 euros mensuels.
Parmi les bacheliers 2008 qui ont poursuivi des études supérieures en France métropolitaine, 68 % sont encore dans l’enseignement supérieur la quatrième année après le baccalauréat, dont 30 % avec déjà un diplôme du supérieur. 32 % ne sont plus dans l’enseignement supérieur, dont 14 % en sont sortis sans diplôme. Au total, près de la moitié des bacheliers 2008 entrés dans l’enseignement supérieur avaient déjà obtenu un diplôme du supérieur au bout de trois ans. 35 % des inscrits en première année de licence en 2008 ont obtenu une licence au bout de trois ans et 28 % sont en master. Dans les fi lières courtes, 7 étudiants d’IUT sur 10 obtiennent leur diplôme au bout de deux ans, et 6 étudiants de STS sur 10. La quatrième année, plus de 7 étudiants de CPGE sur 10 sont inscrits dans une école de niveau bac + 5, les élèves des classes littéraires se tournant davantage vers l’université. La part des poursuites dans des écoles post-bac et des formations paramédicales est en forte hausse depuis dix ans.
Les étudiants dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer n’ont jamais été aussi nombreux : près de 2 387 000 à la rentrée 2012. Leur nombre a continué à progresser (+ 1,5 %), en particulier grâce à un afflux de nouveaux bacheliers. L’augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé et les écoles d’ingénieurs. La diminution des effectifs amorcée il y a deux ans pour les instituts universitaires de technologie se confirme ; en revanche, le nombre d’entrants en classes préparatoires est en hausse. L’enseignement privé se renforce encore et représente plus d’un étudiant sur six. Les femmes demeurent plus souvent diplômées de l’enseignement supérieur que les hommes. Le nombre d’étudiants étrangers progresse très peu (+ 0,2 %) : les étudiants étrangers représentent un étudiant sur huit. Le nombre d’étudiants chinois continue sa progression : + 2 %. Plus des trois quarts des académies gagnent des étudiants.
En 2012-2013, 1 468 300 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d’outre-mer et l’université de Lorraine). Ils étaient 1 456 100 en 2011-2012. Les effectifs augmentent de 0,8 %.
Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université augmente dans les filières générales (+ 2,3 %).
Ils se dirigent davantage vers les filières de sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) ainsi que vers les sciences économiques. Dans les disciplines de santé, le nombre de nouveaux bacheliers est en forte hausse (+ 7,4 %).
Les doctorants sont moins nombreux à la rentrée 2012 qu’en 2011 et le nombre d’étudiants en cursus master augmente de 1,5 %.
En I.U.T., les effectifs diminuent faiblement. Le nombre d’étudiants étrangers à l’université est en baisse de 1,8 % : leur part est à 14,8 % et reste stable en cursus doctorat (41,4 %).
Le parcours des étudiants en premier cycle est ponctué de réorientations et de redoublements. Ainsi, seul un étudiant sur deux passe directement en deuxième année de licence (un sur quatre redouble et un sur quatre se réoriente ou abandonne ses études supérieures), alors que parmi ceux qui parviennent en troisième année de licence générale, près de sept étudiants sur dix obtiennent le diplôme en un an (neuf sur dix en licence professionnelle). En DUT, le passage en seconde année est élevé : il concerne sept étudiants sur dix. Le taux de réussite en seconde année l’est également : près de neuf étudiants sur dix ont obtenu leur diplôme à la session 2011. En STS, le taux de passage en seconde année est de 85 %. À la session 2011, le taux de réussite au BTS est de 72 % et augmente de deux points par rapport à 2010. Ces taux varient selon les caractéristiques des étudiants et l’établissement dans lequel ils effectuent leurs études. Mais au final, si l’on retient comme définition de l’échec en premier cycle le fait d’être sorti de l’enseignement supérieur sans diplôme, alors le taux d’échec en France est de l’ordre de 19 %, soit dix points de moins que la moyenne de l'OCDE.
À la rentrée 2013, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d’orientation observés les années précédentes, les effectifs étudiants augmenteraient de 1,5 % dans l’ensemble de l’enseignement supérieur.
Les flux d’entrée dans le supérieur seraient par contre du même niveau que l’an dernier, alors que le nombre de bacheliers a diminué à la session 2013. À l’horizon 2022, le nombre de bacheliers généraux augmenterait de 12,9 % par rapport à 2012, tandis que les effectifs de bacheliers technologiques diminueraient de 3,2 %. Les effectifs de bacheliers professionnels connaîtraient un réajustement après le pic conjoncturel de 2012 (- 8,6 % entre 2012 et 2022), mais resteraient supérieurs aux effectifs de 2011 (+ 12,2 %). Suite à cet afflux de bacheliers généraux, si les tendances en termes d’orientation et de poursuite d’études se prolongeaient, les effectifs étudiants augmenteraient de 8 % à l’université entre 2012 et 2022, 12,3 % en CPGE, 4,1 % en IUT et 0,1 % en STS. L’enseignement supérieur pourrait ainsi rassembler près de 2,6 millions d’étudiants en 2022, soit 200 000 de plus qu’à la rentrée 2012.
Les étudiants dans l'enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer n'ont jamais été aussi nombreux : près de 2 350 000 à la rentrée 2011. Leur nombre a continué à progresser (+ 1,2 %), en particulier grâce à un afflux de nouveaux bacheliers. L'augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé et lesécoles d'ingénieurs. La diminution des effectifs amorcée l'an dernier pour les instituts universitaires de technologie et pour les entrants en classes préparatoires se confirme. L'enseignement privé se renforce encore et représente plus d'un étudiant sur six. Les femmes demeurent plus souvent diplômées de l'enseignement supérieur que les hommes. Le nombre d'étudiants étrangers progresse (+ 1,3 %) dans la même proportion que celui des étudiants français : les étudiants étrangers représentent un étudiant sur huit. Le nombre d'étudiants chinois est reparti légèrementà la hausse : + 2 %. Les trois quarts des académies gagnent des étudiants.
En 2011-2012, 1 406 000 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y comprisles universités d’outre-mer). Ils étaient 1 455 000 en 2010-2011. La diminution provient de la création du grand établissement "Université de Lorraine" qui n’entre plus stricto sensu dans le champ "universités". À champ constant, les effectifs augmentent de 0,8 %. Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université augmente dans les filières générales (+ 2,8 %) . Ils se dirigent davantage vers les filières de sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) ainsi que vers les sciences économiques et l’administration économique et sociale. Dans les disciplines de santé, le nombre de nouveaux bacheliers est en baisse de 2,7 %. Les doctorants sont moins nombreux à la rentrée 2011 qu’en 2010 et le nombre d’étudiants en cursus master reste stable. En IUT , les effectifs diminuent faiblement. Le nombre d’étudiants étrangers à l’université est stable : leur part reste à 15,2 %, et à 41,3 % en cursus doctorat.
À la rentrée 2012, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d'orientation observés les années précédentes, les effectifs étudiants augmenteraient de 1,5 % dans l'ensemble de l'enseignement supérieur. Les flux d'entrée dans le supérieur seraient plus importants. Cette hausse serait notamment liée à un nouvel afflux de bacheliers professionnels lors de la session 2012 du baccalauréat . À l'horizon 2021, le nombre de bacheliers généraux augmenterait de 12,1 % par rapport à 2011, tandis que les effectifs de bacheliers technologiques diminueraient de 9,6 %. Les effectifs de bacheliers professionnels connaîtraient un réajustement après le pic conjoncturel de 2012 (- 9,5 % entre 2012 et 2021), mais resteraient supérieurs aux effectifs de 2011 (+ 9,7 %). Suite à cet afflux de bacheliers généraux, si les tendances en termes d'orientation et de poursuite d'études se prolongeaient, les effectifs étudiants augmenteraient de 11 % à l'université entre 2011 et 2021, 9,5 % en CPGE et 4,5 % en IUT. La hausse en STS serait plus modérée (3,1%).
L'évolution des orientations prises par les bacheliers S se caractérise principalement par une dispersion croissante de leurs choix : en 2008, seuls 21 % s'inscrivent en licence, alors que c'était le cas de 35 % d'entre eux il y a dix ans. Cette baisse n'affecte cependant que les licences de sciences, et plus généralement les bacheliers S se dirigent de moins en moins vers les formations scientifi ques traditionnelles. Dans le même temps, ils vont de plus en plus souvent en médecine (ou pharmacie) ou dans les écoles recrutant après le baccalauréat dans des domaines très variés. Ces évolutions concernent tous les lauréats de la série S, quelle que soit leur spécialité ou leur mention. Trois ans plus tard, les bacheliers S sont plus nombreux en licence, en particulier de sciences, où ils poursuivent leurs études après être passés par un IUT , une classe préparatoire ou un premier cycle d'études médicales. Mais 36 % se retrouvent dans des écoles, d'ingénieurs ou paramédicales principalement.
91 % des jeunes diplômés 2008 de master qui ont fait le choix d’arrêter leurs études après l’obtention du diplôme sont en emploi trente mois après leur entrée dans la vie active. Le pourcentage est le même pour le petit nombre de diplômés de DUT qui sont dans le même cas et il est de 92 % pour ceux, beaucoup plus nombreux, de licence professionnelle qui vérifient les mêmes conditions. Certains diplômés de master accèdent plus difficilement à l’emploi ou bénéficient de conditions d’embauche moins favorables. Il en est ainsi pour les diplômés de lettres, langues et arts, pour les diplômés issus d’un milieu social moins favorisé, ou pour les femmes. Dans 44 % des cas, l’emploi qu’un diplômé de master occupe trente mois après l’obtention de son diplôme ne se situe pas dans la région de son université d’origine. L’Île-de-France accueille à elle seule 30 % des diplômés dans ce cas et 15 % d’entre eux occupent un poste à l’étranger.
En 2010-2011, 1 440 000 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d'outre-mer). Le nombre de nouveaux bacheliers s'inscrivant à l'université augmente dans les filières générales (+ 0,9 %). Ils se dirigent davantage vers les filières de sciences et techniques des activités physiques et sportives ( STAPS), sciences et lettres. En revanche, ils sont moins nombreux à se diriger vers les filières de droit et d'économie. Dans les disciplines de santé, dont la première année commune aux études de santé a été nouvellement mise en place à la rentrée 2010, le nombre de nouveaux bacheliers est en baisse de 4,1 %. Les doctorants sont moins nombreux à la rentrée 2010 qu'en 2009 et le nombre d'étudiants en cursus master stagne. En IUT , les effectifs baissent de 1,4 %. Ils s'étaient stabilisés l'an dernier après trois années de hausse. Les étudiants étrangers à l'université sont plus nombreux que les années précédentes et leur part atteint 15,2 %. En cursus doctorat, ils représentent 41,3 % de la population étudiante.
Les étudiants dans l'enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer n'ont jamais été aussi nombreux : 2 318 700 à la rentrée 2010. Leur nombre a légèrement progressé (+ 0,2 %), après la hausse particulièrement marquée de 2009 (+ 3,6 %). L'augmentation des effectifs demeure particulièrement élevée pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé. En revanche, contrairement aux dernières années, les effectifs diminuent pour les instituts universitaires de technologie et pour les classes préparatoires. L'enseignement privé se renforce encore et représente plus d'un étudiant sur six. Les femmes demeurent plus souvent diplômées de l'enseignement supérieur que les hommes. Le nombre d'étudiants étrangers progresse (+ 2,3 %), alors que celui des étudiants français diminue (- 0,1 %) : les étudiants étrangers représentent 12,3 % des étudiants. La forte progression des Chinois s'interrompt : elle n'est plus que de 0,2 %. Moins de la moitié des académies gagne des étudiants.
À la rentrée 2011, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d'orientation observés les années précédentes, les effectifs étudiants augmenteraient de 1,7 % dans l'ensemble de l'enseignement supérieur. Les flux d'entrée dans le supérieur seraient plus importants suite à l'augmentation du nombre de bacheliers lors de la session 2011 et la plus grande propension des bacheliers généraux et technologiques à poursuivre leurs études à l'université. À l'horizon 2020, les nombres de bacheliers généraux et technologiques augmenteraient de 2,3 % par rapport à 2010. La réforme du baccalauréat professionnel en trois ans, mise en place depuis la rentrée 2009, serait susceptible de provoquer une forte croissance du nombre de bacheliers professionnels (+ 70 000). Suite à cet afflux de bacheliers, si les tendances en termes d'orientation et de poursuite d'études se prolongeaient, les effectifs étudiants augmenteraient de 10,1 % à l'université entre 2010 et 2020, 1,2 % en IUT et 7,4 % en CPGE. Les bacheliers professionnels poursuivant surtout en STS, les effectifs de cette filière augmenteraient de 6,8 % entre 2010 et 2020.
À la rentrée 2009, huit bacheliers 2008 sur dix sont toujours scolarisés dans l'enseignement supérieur et la très grande majorité poursuivent dans la même voie. La réussite dans les filières courtes est élevée : neuf sur dix de ceux qui s'étaient inscrits en STS ou IUT continuent l'année suivante. Mais un quart de ceux qui étaient entrés en classe préparatoire ou en licence après leur baccalauréat ne s'y réinscrit pas. 52 % des étudiants en licence passent en deuxième année ; l'issue de la première année varie sensiblement selon le parcours antérieur des bacheliers et leur motivation à l'entrée à l'université. Ainsi, les taux de passage sont beaucoup plus élevés lorsqu'ils ont eu une mention ou ont fait le choix de leur formation. La deuxième année, les étudiants ressentent moins de difficultés à s'organiser et se disent plus satisfaits de leurs études, en particulier à l'université. Mais la plupart s'estiment mal informés sur leurs possibilités de réorientation et de poursuite d'études.
En 2009-2010, 87 800 étudiants suivent une formation dans l'une des 84 écoles de management reconnues et habilitées à délivrer un diplôme visé, soit une hausse de 18,6 % par rapport à la rentrée 2008. Les nouveaux inscrits viennent soit d'obtenir le baccalauréat et se dirigent vers les écoles recrutant au niveau baccalauréat ; soit de classes préparatoires aux grandes écoles, de l'université, de STS ou d'IUT et s'orientent vers les écoles recrutant au niveau bac + 2. Les hommes sont légèrement majoritaires,mais la proportion de femmes ne cesse d'augmenter. Les étudiants étrangers sont de plus en plus nombreux à suivre un cursus dans une école de commerce et de gestion.Commeles étudiantes, les étrangers sont moins présents dans le cycle de formation principale et davantage représentés dans le master of business administration (MBA).
À la rentrée 2010, selon les projections effectuées à partir des résultats provisoires au baccalauréat et des choix d'orientation observés les années précédentes, les effectifs d'étudiants augmenteraient de 1,4 % dans l'ensemble de l'enseignement supérieur. Pour la rentrée 2010, on constate une poursuite d'études en hausse en santé et en droit, une diminution des inscriptions en première année à l'université, mais, tous cursus confondus, une hausse d'effectifs à l'université (hors IUT). À l'horizon 2019, on prévoit 20 000 entrées supplémentaires dans les quatre principales filières : universités, STS, CPGE, formations d'ingénieurs non universitaires. En encadré : principales hypothèses retenues pour les prévisions.
En 2009-2010, 1 450 000 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d’outre-mer). Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université augmente dans les filières générales (+ 3,5 %). Ils se dirigent en particulier davantage vers les filières de droit, sciences économiques et en sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS).
En revanche, les doctorants sont moins nombreux à la rentrée 2009 qu’en 2008. Les étudiants étrangers à l’université sont plus nombreux que les années précédentes et leur part atteint 15,5 %.
En cursus doctorat, ils représentent 41,0 % de la population étudiante. En IUT, les effectifs se stabilisent après trois années de hausse.
Ceux des IUFM intégrés aux universités continuent de baisser de 6,5 %.
En 2008, 78,2 % des nouveaux bacheliers sont accueillis dans l'enseignement supérieur. Les filières générales de l'université accueillent essentiellement des bacheliers généraux : droit, sciences économiques, AES pour les bacheliers économiques ; lettres, langues, sciences humaines, art, pour les bacheliers littéraires ; sciences, STAPS, disciplines médicales pour les bacheliers scientifiques. Les IUT accueillent des bacheliers généraux à 68,5 %, tandis que les bacheliers technologiques se dirigent plutôt vers les STS. Les classes préparatoires accueillent essentiellement des bacheliers généraux. Pour les écoles de commerce, plus d'un bachelier sur deux est titulaire d'un baccalauréat économique. En encadrés : l'ouverture des filières aux différentes séries de baccalauréat ; sources et champ.
En 2008, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur est demeuré à son niveau de 2007, mettant ainsi fin à deux années de diminution. Cette diminution affecte surtout les universités, alors que les écoles d'ingénieurs et les écoles de commerce reconnues à diplôme visé demeurent particulièrement attractives. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions aux évolutions entre 2007 et 2008, la répartition des effectifs universitaires (hors IUT) selon le cursus depuis 2004-2005, la répartition par académie des principales filières de l'enseignement supérieur en 2008-2009, le poids des différentes filières du supérieur. Six graphiques illustrent l'évolution des effectifs de l'enseignement supérieur, l'évolution des enseignements privé et public depuis 1998, la part des filles dans les différentes formations, la part des étudiants à l'université par académie, la proportion d'étrangers et leur répartition par continent d'origine.
Plus de trois bacheliers sur quatre s'inscrivent dans l'enseignement supérieur dès l'obtention de leur diplôme. Les bacheliers généraux continuent presque tous dans l'enseignement supérieur long ; les bacheliers S se dirigent vers les classes préparatoires aux grandes écoles ou les études médicales. Les bacheliers technologiques sont principalement attirés par les formations courtes (IUT et STS). Seuls 22 % des bacheliers professionnels accèdent à l'enseignement supérieur, principalement les sections de techniciens supérieurs, mais aussi le 1er cycle universitaire. En encadré : définitions de la double inscription et des taux de poursuite des bacheliers d'une académie.
En 2006, 429 000 stagiaires ont suivi un stage de formation continue dans un établissement d'enseignement supérieur public, dont 81% dans les universités. Les employeurs sont les principaux financeurs de la formation continue auprès des universités. On constate une forte augmentation des inscrits en formations courtes ; la préférence se confirme pour les diplômes nationaux, dont plus d'un tiers sont de niveau 2 (licences professionnelles) et près d'un tiers de niveau 1 (masters professionnels). En encadrés : sources, champ et définitions ; zoom sur l'activité propre des IUT en formation continue.
En 2006, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur a diminué de 1,1 %. La diminution affecte surtout les universités et les IUFM, alors que les écoles de commerce reconnues à diplôme visé et les classes préparatoires aux grandes écoles continuent de progresser. Six tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions à la baisse entre 2006 et 2007, la répartition des effectifs universitaires (hors IUT) selon le cursus depuis 2004-2005, le poids des différentes filières du supérieur, la répartition par académie des principales filières de l'enseignement supérieur en 2007-2008, la répartition des étudiants français selon la PCS du chef de famille ; quatre graphiques illustrent l'évolution des effectifs de l'enseignement supérieur, la part des filles dans les différentes formations, la proportion d'étrangers, la part des étudiants à l'université par académie.
Près de la moitié des bacheliers qui s'inscrivent dans l'enseignement supérieur connaissent une mobilité géographique après leur baccalauréat. 14 % des bacheliers seulement quittent leur académie. Ceux qui entrent dans un IUT ou une classe préparatoire sont les plus nombreux à migrer. La mobilité est d'autant moins fréquente que la taille de l'unité urbaine dans laquelle se trouve un lycéen est importante. Cinq cartes illustrent les différents flux des nouveaux bacheliers entrant en licence, ou des étudiants entrant en 1ère ou 2ème année de master, vers la province ou vers l'Ile-de-France. En encadré : sources.
En 2007-2008, 1 368 539 étudiants sont inscrits dans les universités publiques françaises dont 62,3 % en cursus licence, 32,8 % en cursus master et 4,9 % en cursus doctorat. Les effectifs diminuent globalement et sur l'ensemble du territoire, à l'exception des académies de Corse et des Antilles-Guyane, et notamment dans les filières générales et augmentent au sein des formations de santé, dans les IUT. Pour la deuxième année consécutive, le nombre de nouveaux bacheliers entrant à l'université est inférieur au taux d'évolution des bacheliers. La part des filles, déjà majoritaire parmi la totalité des inscrits, augmente dans tous les cursus mais reste cependant minoritaire dans le cursus doctorat. Le nombre total d'étudiants étrangers diminue, mais ils sont plus nombreux en cursus master et surtout en cursus doctorat où ils représentent 38,9 % des effectifs totaux. Les étudiants étrangers non titulaires d'un baccalauréat représentent 78 % des étudiants étrangers. En encadré : source et définitions.
Un panel de 17 830 élèves entrés en 6ème en 1995 a été mis en place par le ministère de l'Education nationale pour étudier leur situation scolaire au début de chaque année. 98 % des élèves qui se sont orientés en classe préparatoire sont parvenus au baccalauréat en 2002 et 2003. Près de la moitié des bacheliers qui ont eu une mention bien ou très bien vont en classe préparatoire. Les orientations des bacheliers généraux varient selon leur origine sociale : 46 % vont en 1er cycle universitaire, 35 % vont en CPGE, les autres en IUT ou STS ou autres formations. Quatre ans plus tard, près des trois quarts des élèves inscrits en CPGE ont rejoint une grande école. Indication des sources en encadré.
A la rentrée 2006, 2 254 400 étudiants sont inscrits dans les principales filières de l'enseignement supérieur. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières, les bacheliers, le taux de poursuite des bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, la comparaison entre le scénario tendanciel et le scénario de cadrage, les effectifs des universités et établissements assimilés hors IUT. En encadré : principales hypothèses retenues pour les prévisions.
En 2006, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur a diminué de 1,3 %. La baisse des effectifs concerne principalement les universités et les IUFM. Les filières des grandes écoles, par contre, continuent de progresser. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions à la hausse ou à la baisse entre 2001 et 2006, la répartition par académie des principales filières et l'évolution par rapport à 2005-2006, le poids des différentes filières du supérieur ; cinq graphiques illustrent l'évolution des effectifs de bacheliers, de l'enseignement supérieur, universitaires (hors IUT) par cycle, la proportion d'étrangers, la répartition des étudiants étrangers selon leur origine.
En 2004, la formation continue dans l'enseignement supérieur accueille 427 000 stagiaires, dont une part toujours plus grande de demandeurs d'emploi et d'individuels payants. L'enquête a porté sur l'ensemble des établissements publics sous tutelle du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Huit tableaux donnent l'évolution de la formation continue dans l'enseignement supérieur entre 2002 et 2004, la répartition des stagiaires par type de statut, les diplômes délivrés en formation continue, les publics de particuliers inscrits aux conférences inter-âges, les vingt premières universités qui proposent des formations à distance, la répartition des stagiaires selon les spécialités de formation en 2002-2004 dans les universités (y compris IUT et INP), la répartition des recettes de la formation continue dans les universités et INP, écoles et CNAM (en %). En graphiques : répartition des stagiaires selon le type de formations dans les universités, évolution de la durée de formation par statut des stagiaires des universités entre 2002 et 2004. En encadré : le champ de l'enquête.
A la rentrée 2005, près de 111 300 étudiants sont inscrits à la préparation du diplôme universitaire de technologie, soit une hausse de 200 étudiants par rapport à la rentrée 2004. Sept tableaux répartissent le taux d'accueil en IUT des bacheliers 2005 selon la série du baccalauréat, l'effectifs total et les nouveaux bacheliers par spécialité de DUT, par sexe, les nouveaux bacheliers entrant en première année d'IUT par académie, le taux de réussite en deux et trois ans des étudiants qui ne se sont pas réorientés : par spécialité, par série du baccalauréat, par sexe et secteur, par établissement. En encadré : source et définitions.
D'après les premières estimations, le nombre d'étudiants inscrits à la rentrée 2006 dans les principales formations de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS), augmenterait de 0,1 %. Cinq tableaux mettent en lumière l'évolution des effectifs et les flux d'entrée en première année pour les années 1990-91, 1995-96, 2000-2001, 2005-2006 et 2006-2007, l'évolution des nouveaux bacheliers de 1990 à 2006, les effectifs inscrits en 2006 dans les universités et établissements assimilés (hors IUT) et, par académie, l'évolution des inscriptions en première année, entre 2005-2006 et 2006-2007. En encadré : définitions, sources et méthode d'estimation des effectifs.
A la rentrée 2005, le nombre d'étudiants dans l'enseignement supérieur français progresse très faiblement : la hausse générale est due aux étudiants étrangers ; le nombre d'étudiants français diminue. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs de l'enseignement supérieur, en évolution, par type d'établissement et avec la part des femmes, les principales contributions à la hausse entre 2001 et 2005, les poids des différentes filières du supérieur en 2005-2006, la répartition par académie des principales filières en 2005-2006 et l'évolution par rapport à 2004-2005, la répartition des étudiants français selon la PCS du chef de famille en 2004 ; quatre graphiques illustrent l'évolution des effectifs de bacheliers, les taux d'accès d'une génération à l'enseignement supérieur par série du baccalauréat et par type de formation, l'évolution des effectifs universitaires (hors IUT) par cycle. En encadré : définitions.
Près de neuf bacheliers 2002 sur dix ont poursuivi leurs études après l'obtention du baccalauréat. A l'université, 45 % des bacheliers 2002 inscrits en licence sont parvenus en troisième année sans redoubler. 71 % de ceux entrés en IUT et 63 % de ceux inscrits en STS sont diplômés en deux ans. Deux tiers des bacheliers 2002 élèves en CPGE économiques ont intégré une grande école après deux années d'études ; plus de 50 % des bacheliers élèves en CPGE scientifiques. En encadré : source.
Les effectifs dans les six principales filières de l'enseignement supérieur comptent 1 923 700 inscriptions, soit 0,2 % de moins que l'année précédente. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur, les bacheliers, le taux de poursuite des bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, les entrants en troisième année en disciplines générales des universités et établissements assimilés et les effectifs des universités et établissements assimilés hors IUT. En encadré : champ de l'étude, définitions et méthodologie, pour en savoir plus.
D'après les premières estimations, 1 788 500 étudiants seraient inscrits à la rentrée 2005 dans les quatre principales filières de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS), soit une augmentation de 0,5 %. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs des principales filières de l'enseignement supérieur, les nouveaux bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières, l'évolution des inscriptions en première année dans l'enseignement supérieur (carte) et les effectifs inscrits à l'université (hors IUT). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites dans l'encadré.
A la rentrée 2004, 334 200 étudiants sont inscrits en IUT ou STS ; parmi eux, 31 % sont inscrits en IUT, 69 % dans une section de technicien supérieur. Les étudiants inscrits dans ces deux filières représentent 15% de l'ensemble des effectifs de l'enseignement supérieur court professionnalisant dans sa globalité. Cinq tableaux présentent l'évolution des effectifs de 1995-1996 à 2004-2005, répartissent les étudiants en IUT et STS par spécialité (services ou production) et par sexe, selon leur origine de baccalauréat, les effectifs par type de préparation, par sexe et par secteur. Le tableau 1 donne l'évolution des effectifs de 1995-96 à 2004-2005 ; le tableau 5 présente le taux d'accueil en IUT et STS des bacheliers selon la série du baccalauréat (formation initiale uniquement). En graphique : répartition des académies en fonction des taux d'accueil. En encadrés : sources et définitions.
Les effectifs dans les six principales filières de l'enseignement supérieur comptent 1927400 inscriptions, soit 0,2 % de plus que l'année précédente. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur, les bacheliers, le taux d'accueil des bacheliers dans les principales filières de l'enseignement supérieur, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, les entrants en troisième année en disciplines générales à l'université et les effectifs des universités hors IUT. Champ de l'étude, définitions et méthodologie en encadré.
A la rentrée 2002, après l'obtention du baccalauréat, 88 % des bacheliers ont poursuivi leurs études. Un an après, 93,5 % suivent toujours une formation. Cinq tableaux répartissent (en pourcentages) le devenir des étudiants suivant l'orientation prise la première année après le bac, ceux qui sont inscrits à l'université, par filière, en classe préparatoire, en STS ou en IUT, suivant qu'ils continuent dans la même filière ou prennent une autre orientation. Quatre autres tableaux illustrent l'opinion qu'ont les nouveaux bacheliers, au cours de leur 2ème année d'études, sur leur filière de formation, les difficultés rencontrées, la satisfaction sur l'information reçue, le soutien pédagogique apporté. En graphiques : temps de travail personnel hebdomadaire, type de logement, pratique d'activités sportives ou artistiques. Source en encadré.
Le choix d'orientation des bacheliers de la série S est guidé par l'importance qu'ils accordent au contenu des études qu'ils vont suivre et à leur insertion professionnelle. La baisse des inscriptions en DEUG scientifiques s'observe depuis 1995 (40 % contre 26 % en 2004 ; six sur dix s'orientent vers un premier cycle universitaire, deux sur dix vers une CPGE et deux sur dix encore vers une STS ou un IUT. Sept tableaux montrent les taux d'accueil des bacheliers S dans les principales filières du supérieur, les principales raisons avancées pour le choix de la série S (44 % par goût pour les matières scientifiques) et pour le choix de la filière, la part des bacheliers S inscrits en DEUG ayant déposé un dossier dans une filière sélective, la perception de leur formation et le diplôme ou concours envisagé à bac + 5, les principales attentes par rapport à leur futur métier. En graphiques : évolution des effectifs de bacheliers S et de nouveaux entrants en filière sciences, de 1995 à 2004, les opinions sur les débouchés assurés par les principales filières et sur la facilité à trouver du travail. En encadré : les raisons pour lesquelles les bacheliers S ne s'inscrivent pas dans un DEUG scientifique.
A la rentrée 2003, 330 100 étudiants sont inscrits en IUT ou STS ; parmi eux, 31 % sont inscrits en IUT, 69 % dans une section de technicien supérieur. Plus généraliste que le BTS, le DUT offre moins de spécialités. Trois tableaux répartissent les étudiants en IUT et STS par spécialité de la production ou des services et par sexe, selon leur origine de baccalauréat, pour les STS, les effectifs par type de préparation, par sexe et par secteur. Le tableau 4 donne l'évolution des effectifs de 1995-96 à 2003-2004 ; le tableau 5 montre l'impact des différentes caractéristiques des étudiants en première année sur leur probabilité d'être inscrits en IUT plutôt qu'en STS. En graphiques : répartition des académies en fonction des taux d'accueil, évolution des effectifs dans les domaines de la production et des services de 1996 à 2003. En encadrés : création et organisation des STS et des IUT, sources et définitions.
D'après les premières estimations, 1 790 000 étudiants seraient inscrits à la rentrée 2004 dans les quatre principales filières de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS), soit une augmentation de 0,8 %. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs des principales filières de l'enseignement supérieur, les nouveaux bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières, l'évolution des inscriptions en première année dans l'enseignement supérieur (carte) et les effectifs inscrits à l'université (hors IUT). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites dans l'encadré.
A la rentrée 2003, les six principales filières de l'enseignement supérieur comptent 1924 400 inscriptions, soit 1,7 % de plus que l'année précédente. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur, les bacheliers, le taux d'accueil des bacheliers dans les principales filières de l'enseignement supérieur, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, les entrants en bac+3 en disciplines générales à l'université et les effectifs des universités hors IUT. Champ de l'étude, définitions et méthodologie en encadré.
D'après les premières estimations, le nombre d'inscriptions dans les quatre principales filières de l'enseignement supérieur (universités hors IUT, IUT, CPGE, STS) augmenterait en 2003-2004. Cinq tableaux mettent en lumière les effectifs des principales filières de l'enseignement supérieur, les nouveaux bacheliers, le flux d'entrée en première année dans les principales filières de l'enseignement supérieur, l'évolution des inscriptions en première année dans l'enseignement supérieur et les effectifs inscrits à l'université (hors IUT). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites dans l'encadré.
Effectifs d'étudiants inscrits dans les IUT de 1995-96 à 2002-2003, avec variation annuelle (tabl. I). Taux d'accueil des bacheliers 2001 et 2002 par série de bac (tabl. II et III). Effectifs et flux d'entrée par académie, taux d'accueil 1998-99, 1999-2000, 2000-2001, 2002-2003 (tabl. 4 et cartes). Effectif total, dont femmes, et nouveaux entrants par spécialité et type de bac, avec évolution par rapport à 2001-2002. Répartition des étudiants par CSP des parents (graphique). Encadrés : le concept de nouvel entrant ; le DNTS et les diplômes post-DUT ; source.
A la rentrée 2002, 1891 700 inscriptions ont été enregistrées dans les six principales filières de l'enseignement supérieur, soit 1, 4 % de plus que l'année précédente. Six tableaux mettent en lumière les effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur, les bacheliers, le taux d'accueil des bacheliers dans les principales filières de l'enseignement supérieur, le flux d'entrée en première année dans les principales filières post-baccalauréat, les entrants en bac+3 en disciplines générales à l'université et les effectifs des universités hors IUT. Champ de l'étude, définitions et méthodologie.
Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 2001-2002 ; part des nouveaux bacheliers entrant à l'université ; répartition des effectifs selon la discipline et le secteur universitaire ; répartition également par discipline selon les académies (y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs). Proportion de femmes en fonction de la discipline.
D'après les premières estimations, le nombre d'inscriptions dans les principales filières de l'enseignement supérieur diminuerait légèrement en 2002-2003. Le fléchissement des effectifs serait surtout notable dans le 1er cycle universitaire et également en IUT. Moins de jeunes bacheliers s'inscrivent en université ou en IUT, à l'inverse, un plus grand nombre d'entre eux ont choisi les STS et CPGE (Tableaux I et II). Une carte de France montre très clairement l'existence de variations académiques. Une analyse des effectifs, discipline par discipline, montre l'attrait des formations médicales et la désaffection pour le droit, les langues et les sciences. Le tableau V donne pour chaque académie une évolution des effectifs en 1ère année par type de formation. Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites dans l'encadré.
Evolution des effectifs et des flux d'entrée en IUT depuis 1995-1996. Taux d'accueil des bacheliers en IUT selon la série du baccalauréat. Effectif total et nouveaux bacheliers par spécialité de DUT. Entrants en première année de DUT selon la spécialité et le type de baccalauréat (année 2001-2002). Professions et catégories socio-professionnelles des parents des étudiants en DUT.
France sans TOM : Evolution : de 1991-92 à 2001-2002, public, privé, ensemble (graph. 1) ; de 1994-95 à 2001-2002, répartition public/privé, pour Education nationale, agriculture, autres ministères (tabl. I). Effectifs 2001-2002 : par ministère et type de formation, sexe, public, privé, total (tabl. II). Répartition des entrants en 1ère année par origine scolaire, hors ministère de l'agriculture (tabl. III), effectifs par domaine de spécialité selon le ministère (tabl. IV), effectifs par académie (tabl. V) ; répartition par CSP et sexe en pourcentage (graph. 2), effectifs et nombre d'établissements par académie (graph. 3), nombre d'élèves dans les filières STS au sein des établissements (graph. 4). Part des STS comparée à l'effectif en premier cycle universitaire (DEUG, IUT, STS) : carte. Encadré : sources et définitions.
Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 2000-2001; part des nouveaux bacheliers entrant à l'université ; répartition des effectifs selon la discipline et le secteur universitaire ; répartition également par discipline selon les académies (y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs). Proportion de femmes en fonction de la discipline.
Répartition des effectifs de l'ensemble de l'enseignement supérieur : 1990-91, 1995-96, 2000-2001. Effectifs dans les principales filières de l'enseignement supérieur : constat pour 2000-2001 et 2001-2002, prévisions pour 2002-2003 et 2003-2004. Bacheliers pour les sessions 2000 et 2001 (constat) et 2002, 2003 (prévisions) et leur taux d'accès dans les principales filières de l'enseignement supérieur : universités, IUT, STS, CPGE. Flux d'entrée en 1ère année dans les principales filières ; taux d'accès en deuxième cycle à l'université : évolution 1990, 1995 et de 1999 -2000 à 2003-2004 (pourcentages) ; effectifs universitaires par discipline. Encadré : champ de l'étude, définitions et méthodologie.
Effectifs d'étudiants inscrits dans les IUT de 1995-96 à 2000-2001, avec variation annuelle (tabl. I). Taux d'accueil des bacheliers 1999 et 2000 par série de bac (tabl. II et III). Effectifs et flux d'entrée par académie, taux d'accueil 1997-98, 1998-99, 1999-2000, 2000-2001 (tabl. IV et cartes). Effectif total, dont femmes, et nouveaux entrants par spécialité et type de bac, avec évolution par rapport à 1999-2000. Répartition des étudiants par CSP des parents (graphique). Encadrés : le concept de nouvel entrant ; le DNTS et les diplômes post-DUT ; source.
Le nombre d'inscriptions dans les principales filières semble se stabiliser depuis deux ans (tabl. IV) ; en effet, le fléchissement des effectifs en 1er cycle est compensé par la progression des 2e et 3e cycles. La baisse du nombre de nouveaux bacheliers (tabl. I) entraîne un recul du flux d'entrée dans toutes les disciplines universitaires, y compris IUT, alors que le nombre de nouveaux inscrits en STS et CPGE reste stable (tabl. II et III) ; il existe cependant des variations académiques (tabl. V). Les filières scientifiques ont perdu 5 % d'étudiants en 5 ans (encadré pp. 3-4). Sources et méthode d'estimation des effectifs sont décrites (p. 6).
Répartition des étudiants par académie et université et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, discipline, et évolution par rapport à 1999-2000 ; part des nouveaux bacheliers entrants à l'université. Part des femmes selon les disciplines et les cycles ; pourcentage d'étudiants étrangers. Répartition par discipline selon les académies, y compris les effectifs inscrits dans les IUT et filières d'ingénieurs.
Evolution des effectifs de l'enseignement supérieur par type d'établissement avec leur poids respectif. Evolution des effectifs du privé. Taux d'inscription des bacheliers dans l'enseignement supérieur (université, IUT, STS, CPGE, autres établissements) par type de bac. Evolution des effectifs par cycle, discipline, filière (filières courtes, filière des grandes écoles). Evolution géographique des effectifs universitaires et poids des différents cycles. Répartition par académie des principales filières de l'enseignement supérieur en 1999-2000. Encadrés : établissements et filières de l'enseignement supérieur ; définitions.
Rappels des effectifs de bacheliers en 1990, 1995, 1999 et 2000 (estimés en octobre). Flux d'entrée dans les principales filières du supérieur pour ces mêmes années et rappels des effectifs globaux d'étudiants inscrits, montrant une stabilité d'ensemble. Raisons de l'inscription en DEUG et filière souhaitée. Inscriptions par académie en université, IUT, STS, CPGE estimés en 2000-2001. En encadré : source et méthode d'estimation des effectifs ; résultats de l'enquête auprès d'un échantillon de nouveaux étudiants.
Sur les 25180 bacheliers de 1999 de l'académie de Grenoble, 12800 se sont inscrits dans une université (IUT inclus), dont 9870 dans l'académie et 2930 ailleurs (graph. 1 et 2) ; parallèlement, seulement 1220 nouveaux bacheliers d'une autre académie se sont inscrits dans l'académie de Grenoble. L'académie est donc déficitaire, avec des "sortants" en arts et en médecine surtout, cependant qu'IUT et sciences et technologies en général représentent les filières les plus attractives (graph. 3 et 4). Les proportions d'"entrants" et de "sortants" sont donc différentes selon la série du bac et la discipline choisie à l'université.
À la rentrée 1999, près de 117 400 étudiants sont inscrits dans les instituts universitaires de technologie de France métropolitaine et des DOM, soit une hausse du nombre des inscrits d'environ 2 800 (+ 2,5 %) par rapport à la rentrée 1998.
Le nombre de nouvelles inscriptions en première année de DUT s?accroît légèrement, tandis que les effectifs de deuxième année augmentent fortement (+ 13 %).
Le taux de poursuite d?études en DUT progresse pour les bacheliers ES mais baisse pour les bacheliers technologiques.
La capacité d?accueil des IUT est de 582 départements à la rentrée 1999 (contre 566 départements en 1998).
Après trois années de baisse, le nombre d?inscriptions dans les principales filières de l?enseignement supérieur est resté stable en 1999 : 1 878 000 inscriptions ont été enregistrées en université (dont IUT), IUFM, écoles d?ingénieurs, STS et CPGE.
Cette stabilité résulte d?une baisse des effectifs en premier et deuxième cycles universitaires (hors IUT), compensée par une
progression exceptionnelle du nombre d?étudiants en troisième cycle (+ 2,9 %) et de la poursuite du développement des filières STS et IUT.
En prévision pour 2000 et 2001, le nombre global d?inscriptions se maintiendrait à ce niveau. La part des formations courtes, IUT et STS, de 19 % en 1999, croîtrait légèrement et celle de l?université (hors IUT et IUFM) de 68 % aujourd?hui, diminuerait encore. Cependant, dans cette filière, seul le premier cycle universitaire perdrait des étudiants tandis que les ingénieurs universitaires seraient toujours plus nombreux.
Répartition des étudiants inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM, selon les universités, les académies, en 1999-2000 et évolution par rapport à l'année précédente. Effectifs par cycle, et évolution par rapport à 1998-99, dont les nouveaux bacheliers et les nouveaux entrants. Part des femmes selon les disciplines et les cycles. Répartition par discipline selon les académies. Effectifs inscrits dans les IUT et dans les filières d'ingénieurs.
Effectifs des nouveaux étudiants inscrits dans les principales filières de l'enseignement supérieur (université, par grandes discipline, en IUT, STS, CPGE). Rappels des effectifs de bacheliers en 1990, 1995, 1998 et 1999 (estimés en octobre). Flux d'entrée dans les principales filières du supérieur pour ces mêmes années et rappels des effectifs globaux d'étudiants inscrits. Inscriptions par académie en université, IUT, STS, CPGE (par ordre décroissant) estimés en 1999-2000 ; les filières qui augmentent et celles qui baissent.
Evolution des effectifs de l'enseignement supérieur par filière de 1988-89 à 1998-99 ; taux d'accès des bacheliers dans l'enseignement supérieur pour les mêmes années. Poids des différentes filières en 1998-99 (effectif, nouveaux bacheliers). Graphiques d'évolution de 1988-89 à 1998-99 : bacheliers, effectifs du supérieur, filière universitaire par cycle, par groupes de disciplines, filières courtes (STS, IUT, écoles paramédicales et sociales), grandes écoles (CPGE, ingénieurs, commerce...). Encadrés : l'enseignement supérieur français ; définitions.
Effectifs d'étudiants inscrits dans les IUT de 1995-96 à 1998-99, avec variation annuelle. Taux d'accueil des bacheliers 1995 et 1998 par bac ; taux d'accroissement des bacheliers en IUT. Effectifs et flux d'entrée par académie, proportion des bacheliers 95 et 98. Entrants par spécialité et bac. Spécialités : effectifs, dont filles, évolution par rapport à 1995-96. Graphique donnant la répartition des étudiants par CSP des parents. Poursuite d'études des diplômés 97. Encadrés : le DNTS ; poursuite d'études ; sources et définitions.
Etude de la poursuite d'études des nouveaux bacheliers, inscrits en DEUG à l'université : poursuite d'études dans la même voie ou en changeant de disciplines (sauf celles de santé qui donnent lieu à un concours), répartition selon le sexe, redoublement, réorientation vers d'autres filières comme IUT ou BTS, abandon. Devenir des bacheliers généraux en fonction de l'âge d'obtention du baccalauréat, devenir des bacheliers technolgiques. Observation de la réussite en fonction de la motivation qui a présidé à l'inscription du bachelier. Comparaison entre l'Ile-de-France et la province. Encadré concernant les poursuites d'études dans les autres filières du supérieur.
Origine des ressources pour la formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur, par type d'établissement. Chiffre d'affaires de formation continue des universités et INP. Répartition des stagiaires et des heures-stagiaires selon le dispositif et suivant le type de stagiaires. Répartition des actions selon la nature de l'action et le niveau de formation. Diplômes délivrés en formation continue : par les universités et INP, selon le niveau de diplôme et la filière disciplinaire ; par les IUT selon le département d'enseignement ; par le CNAM selon le type de diplôme, son niveau et la spécialité. Encadrés : l'organisation de la formation continue universitaire ; le réseau du CNAM ; le champ de l'enquête.
Estimation des effectifs de rentrée dans les principales filières de l'enseignement supérieur (université, IUT, CPGE, STS) ; analyse des comportements des bacheliers 98 suivant les disciplines universitaires ou les filières choisies. Bacheliers 90, 95, 97, 98 ; flux d'entrée en 1ère année par filière pour 1990-91, 1995-96, 1997-98 et 1998-99, variation entre les deux dernières années ; effectifs des principales filières pour les mêmes années. Par académie (France métro), évolution entre les rentrées 1997 et 1998 du flux d'entrée en université, en IUT, en CPGE ou STS publiques sous tutelle Education nationale. Encadré : sondage de rentrée auprès des nouveaux bacheliers entrés en DEUG en 1998 ; rentrée 1998, résultats provisoires et sources.